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ACQUIS, -ISE, participe passé, adjectif et substantif masculin.

Publié le 04/10/2015

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ACQUIS, -ISE, participe passé, adjectif et substantif masculin.  

I.—  Emploi participe et adjectif. 

A.—  DROIT.  langue commune. Être acquis par, grâce à... : 

Ø 1. À la coemptio correspond l'usus; ce sont deux formes d'un même acte. Tout objet peut être acquis indifféremment de deux manières, par achat ou par usage; il en est de même de la propriété fictive de la femme.

NUMA-DENIS FUSTEL DE COULANGES, La Cité antique,  1864, page 405-406. 

B.—  Être acquis à. 

1. [En parlant d'une chose]  Appartenir à. Quelque chose est acquis à quelqu'un : 

Ø 2. (1583). Elle [la vente] est parfaite entre les parties, et la propriété est acquise de droit à l'acheteur à l'égard du vendeur, dès qu'on est convenu de la chose et du prix, quoique la chose n'ait pas encore été livrée ni le prix payé.

Code civil des Français (ou Code Napoléon)  1804, page 293. 

—  Au figuré, rare. Quelque chose est acquis à quelque chose : 

Ø 3. Metz et Bazaine, c'est acquis à l'histoire.

MAURICE BARRÈS, Scènes et doctrines du nationalisme, tome 1, 1902, page 28. 

Remarque : Cet emploi est quelque peu recherché, pour le plus usuel : appartient à; avec cette nuance que appartenir à l'histoire serait laudatif. (« ils sont une des gloires du passé »), alors que Maurice Barrès a voulu simplement exprimer cette constatation : « on ne peut plus les rayer de l'histoire ». 

2. Au figuré.  [En parlant d'une personne]  Être entièrement dévoué à. 

a) [À quelqu'un]  Quelqu'un est acquis à quelqu'un : 

Ø 4. Malgré notre souffrance,

S'il est grand par l'idée ou par la délivrance,

Nous l'aimons! Nous aimons sa lyre! Nous aimons

Son glaive flamboyant dans l'ombre sur les monts!

Nous pourrions lui garder rancune de vous autres;

Mais non, nous devenons ses soldats, ses apôtres,

Ses légions, son camp, sa tribu, ses amis.

Nous lui sommes acquis, nous lui sommes soumis, 

Il peut faire de nous ce qu'il veut...

VICTOR HUGO, La Légende des siècles, tome 6, 1883, page 302. 

b) [À quelque chose, à une cause]  Quelqu'un est acquis à quelque chose : 

Ø 5.... le docteur était le seul des Rougon qui lui serrât la main dans les rues et qui lui témoignât une sincère amitié. Aussi, en le voyant couvert encore de la poussière de la route, et le croyant acquis à la cause républicaine, le jeune homme montra-t-il une vive joie.

ÉMILE ZOLA, La Fortune des Rougon,  1871, pages 211-212. 

—  Par ironie.  [À un objet matériel]  Synonyme : être aliéné :  

Ø 6. Ces cinq cents francs chaque jour plus me pesèrent; je voudrais m'en débarrasser et je ne sais pas comment faire. Car enfin..., ou si quelqu'un me les a donnés sans erreur, au moins mérite-t-il une reconnaissance. Reconnaissant, je voudrais l'être, —  mais je ne sais pas envers qui.

Dans l'espoir d'un nouveau hasard qui me tirerait de ma peine, je porte sur moi le billet. Ni jour ni nuit je ne le quitte. J'y suis acquis. —  Avant j'étais banal mais libre. A présent j'appartiens à lui. Cette aventure me détermine; j'étais quelconque, je suis quelqu'un.

ANDRÉ GIDE, Le Prométhée mal enchaîné,  1899, pages 309-310. 

C.—  Être acquis. 

1. C'est acquis.  Il est acquis que... Cela est incontestable, considéré comme un fait sur lequel on ne reviendra plus : 

Ø 7. Celui-ci [M. Bertulus] , comme on sait, a déclaré qu'il n'y avait pas lieu de poursuivre, reconnaissant par là qu'il n'y a pas eu de faux commis. En effet, le faux constaté, l'instruction restait ouverte jusqu'à la main mise sur le coupable. Le non-lieu, c'est l'attestation judiciaire de l'authenticité de la lettre infâme signée Esterhazy. Voici qui est acquis.

GEORGES CLEMENCEAU, L'Iniquité,  1899, page 369. 

2. Substantif + acquis. 

a) (Confer acquérir I A 1). Dont on a la propriété : 

Ø 8. La patrie, pour eux, fut dans le maintien de leurs honneurs, la garantie de leurs richesses, la jouissance paisible de tous les biens acquis;...

EMMANUEL DIEUDONNÉ, COMTE DE LAS CASES, Le Mémorial de Sainte-Hélène, tome 2, 1823, page 315. 

Remarque : En emploi adjectival, acquis correspond plus rarement au sens I A 2 ou I A 3 de acquérir (en dehors de la nuance de sens définie infra sous b). Il tient alors généralement la fonction d'un attribut de l'objet : elle croyait ces connaissances bien acquises. 

—  DROIT.  Prescription acquise. Dont les délais sont écoulés : 

Ø 9. (2222). Celui qui ne peut aliéner, ne peut renoncer à la prescription acquise.

Code civil des Français (ou Code Napoléon)  1804, page 407. 

b) [Par opposition à ce qui est inné, en parlant d'un bien moral inexistant à la naissance]  Obtenu au bout d'un minimum de temps par un effort d'apprentissage ou par l'expérience personnelle : 

Ø 10. Ne croyant qu'à lui-même et non à la science, l'empirique peut se vanter de tout ce qu'il voudra et affirmer qu'il guérit tous les maux. Il trouvera toujours assez de gens qui le croiront pour l'encourager dans son charlatanisme; car l'humanité est ainsi faite qu'elle a besoin d'être trompée, qu'on aime mieux le merveilleux que le réel et qu'on préfère croire à la science infuse plutôt que croire à la science acquise. De même qu'aussi on est souvent plus porté à tirer vanité des facultés qu'on a apportées en naissant que de celles qu'on a acquises par le travail.

CLAUDE BERNARD, Principes de médecine expérimentale,  1878, pages 47-48. 

—  BIOLOGIE.  Caractère acquis. \" Caractère apparu dans le soma au cours de la vie individuelle, en réaction au jeu d'un facteur externe (...). Ces caractères sont acquis par le soma et non par le germen. Ils disparaissent donc obligatoirement lors de la mort. \" (Encyclopédie de la Pléiade, Biologie, 1965, page 1674) : 

Ø 11. En somme, l'hérédité d'une particularité acquise pourrait s'expliquer, dans les expériences de Brown-Séquard, par une intoxication du germe. La lésion, si bien localisée qu'elle paraisse, se transmettrait par le même processus que la tare alcoolique, par exemple. Mais n'en serait-il pas de même pour toute particularité acquise qui devient héréditaire? Il y a un point, en effet, sur lequel s'accordent ceux qui affirment et ceux qui nient la transmissibilité des caractères acquis : c'est que certaines influences, comme celle de l'alcool, peuvent s'exercer à la fois sur l'être vivant et sur le plasma germinatif dont il est détenteur. En pareil cas, il y a hérédité d'une tare, et tout se passe comme si le soma du parent avait agi sur son germen, quoiqu'en réalité germen et soma aient simplement subi, l'un et l'autre, l'action d'une même cause.

HENRI BERGSON, L'Évolution créatrice,  1907, pages 82-83. 

II.—  Substantif masculin.  [Par opposition aux dons naturels]  Connaissances, savoir-faire résultant de l'étude du travail, de l'expérience : 

Ø 12. Non seulement j'avais la confiance la plus absolue en Saint-Loup, en la loyauté de son amitié, et il l'avait trahie (...), mais il me semblait que, de plus, il eût dû être empêché de le faire (...) par cet extraordinaire acquis d'éducation qui pouvait pousser la politesse jusqu'à un certain manque de franchise.

MARCEL PROUST, À la recherche du temps perdu, Le Côté de Guermantes 2, 1921, page 399. 

STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 2 933. Fréquence relative littéraire : XIXe.  siècle : a) 5 287, b) 2 786; XXe.  siècle : a) 3 738, b) 4 220. 

 

Forme dérivée du verbe \"acquérir\"

 acquérir

ACQUÉRIR, verbe transitif.  

I.—  Emploi transitif. 

A.—  [Le sujet du verbe désigne un animé personne] 

1. DROIT.  langue commune.  [Le sujet du verbe est un substantif animé ou à valeur collectif; l'objet désigne un bien concret]  Devenir propriétaire d'un bien, à titre gratuit ou onéreux : 

Ø 1. L'État permettra, facilitera même dans tous les sujets, le développement de l'industrie honnête, propre à chaque sexe, et l'emploi de tous les moyens naturels et acquis par lesquels tout homme puisse s'occuper, et toute famille acquérir quelque propriété.

LOUIS-GABRIEL A. DE BONALD, Législation primitive considérée dans les derniers temps par les seules ténèbres de la raison, tome 2, 1802, page 87. 

Ø 2.... elle l' [la coiffe] avait ou achetée de ses deniers, ou trouvée dans son coffre de mariage, ou reçue de quelque galant, tous bons moyens d'acquérir des dentelles. Mais de quelque façon qu'elle les eût acquises, je vois seulement qu'elle en jouissait comme d'un de ces biens de fortune qu'on trouve et qu'on perd d'aventure et sur lesquels on n'a point de droit naturel.

ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Les Opinions de Monsieur Jérôme Coignard, 1893, page 265. 

Remarque : Syntagmes fréquents : acquérir une rente, des richesses, un immeuble, une somme, une terre, un terrain, une marchandise, des biens. 

—  Emploi absolu : 

Ø 3. Ils ne prévoyaient pas, ces vieux fondateurs du domaine de propriété, que le droit perpétuel et absolu de conserver son patrimoine, droit qui leur semblait équitable, parce qu'il était commun, entraîne le droit d'aliéner, de vendre, de donner, d'acquérir et de perdre :...

PIERRE-JOSEPH PROUDHON, Qu'est-ce que la propriété?, préface, 1840, page 185. 

Ø 4. Tout être, par cela seul qu'il est lui et non un autre, possède ce que nous appelons l'individualité. Tant qu'il subsiste, il s'appartient; il peut croître ou décroître, perdre ou acquérir; il peut communiquer à autrui quelque chose de soi, mais non pas le soi-même.

PÈRE HENRI-DOMINIQUE LACORDAIRE, Conférence de Notre-Dame,  1848, page 51. 

Remarque : Dans ce dernier exemple on constate que l'acquisition peut avoir pour objet n'importe quel bien, y compris les biens moraux. 

2. Au figuré.  [Le sujet du verbe est un substantif animé ou à valeur collective; l'objet désigne un bien abstrait, une qualité]  Entrer en possession de ce bien, de cette qualité : 

Ø 5. Une longue habitude de l'enseignement lui avait fait acquérir une grande clarté dans le style, et sinon le talent de beaucoup approfondir un sujet, du moins celui d'exposer très nettement les idées qu'il s'en était faites.

ANTOINE-LOUIS-CLAUDE DESTUTT DE TRACY. Élémens d'idéologie, 3. Logique, 1805, page 130. 

Ø 6.... leur chef étoit un Bavarois, Weisshaupt, homme d'un esprit supérieur, et qui avoit très-bien senti la puissance qu'on pouvoit acquérir en réunissant les forces éparses des individus, et en les dirigeant toutes vers un même but.

GERMAINE NECKER, BARONNE DE STAËL, De l'Allemagne, tome 5, 1810, page 151. 

Ø 7. « Chaque jour votre peuple se rend davantage digne de la liberté. Il acquiert chaque jour de l'énergie. Il paraîtra sans doute un jour avec gloire sur la scène du monde.

EMMANUEL DIEUDONNÉ, COMTE DE LAS CASES, Le Mémorial de Sainte-Hélène, tome 1, 1823, page 539. 

Remarque : Syntagmes rencontrés : acquérir des notions, des données, un résultat, la gloire, un talent, une idée, une réputation, de l'empire sur quelqu'un, de l'ascendant sur quelqu'un, de l'influence, un crédit auprès de quelqu'un, de l'expérience, la notoriété, de la raison, un renom, une alliance, la preuve, la certitude, l'assurance que, la conviction que, l'impression que, la confiance, de la sympathie, quelque autorité, une habitude, des facultés, la dignité, une personnalité, des dons, la tranquillité d'esprit, l'indépendance, la sagesse, une gamme de vertus, des défauts, des mérites, la ferveur, des qualités, la conscience, l'humilité, la faculté d'admirer, des connaissances, etc. 

—  Rare. Acquérir quelque chose à quelqu'un..  L'aider à obtenir, lui procurer cette chose par un effort soutenu : 

Ø 8. Que j'aime les héros dont je conte l'histoire!

Et qu'à m'occuper d'eux je trouve de douceur!

J'ignore s'ils pourront m'acquérir de la gloire; 

Mais je sais qu'ils font mon bonheur.

JEAN-PIERRE CLARIS DE FLORIAN, Fables, Le Savant et le fermier, 1792, page 132. 

3. Rare.  [Le sujet et l'objet désignent une personne]  Acquérir quelqu'un..  S'attacher quelqu'un, dont la sympathie et les services sont assurés : 

Ø 9. —  En somme, si elle se marie, « c'est qu'il n'y a pas d'autre carrière pour une fille ». Il lui faut un homme pour sortir, voyager; c'est un serviteur indispensable, un chambellan, un ordonnateur, un porte-respect. Sans doute, « l'état d'homme serait le plus agréable ». Ne pouvant acquérir l'état, on acquiert l'homme.

HYPPOLYTE-ADOLPHE TAINE. Notes sur Paris, Vie et opinions de Monsieur Frédéric-Thomas Graindorge, 1867, pages 203-204. 

Ø 10. L'homme aux lèvres de bronze se retire.

Quel était son but? Acquérir un ami à toute épreuve, assez naïf pour obéir au moindre de ses commandements.

ISODORE DUCASSE, DIT COMTE DE LAUTRÉAMONT, Les Chants de Maldoror,  1869, pages 345-346. 

B.—  [Le sujet du verbe est une chose; l'objet désigne une qualité]  En venir à posséder cette qualité. Acquérir de l'importance. Devenir important. 

1. [Le sujet est plus ou moins en rapport avec la catégorie de l'animé; il désigne un attribut de l'homme, une de ses facultés, un produit de son travail,...] :

Ø 11. M. disait, à propos de l'utilité de la retraite et de la force que l'esprit y acquiert : « malheur au poète qui se fait friser tous les jours! »

NICOLAS-SÉBASTIEN ROCH, DIT DE CHAMFORT, Caractères et anecdotes,  1794, page 173. 

Remarque : 1. Cet emploi est une extension de l'emploi A 2, où il aurait pu figurer tout aussi bien. 2. Autres syntagmes relevés : une doctrine acquiert de l'importance; les jugements acquièrent du poids; les honneurs et les plaisirs acquièrent un grand prix; la médecine acquiert de l'influence; l'amour acquiert le charme de l'abandon, de nouvelles forces, etc. 

2. Plus rare, littéraire.  [Le sujet est sans rapport immédiat avec la catégorie de l'animé] :

Ø 12. Le mur a peu d'épaisseur; mais il en acquiert davantage du côté des tours de Marboré, qui s'élèvent majestueusement au dessus de la porte...

JEAN DUSAULX, Voyage à Barège et dans les Hautes-Pyrénées fait en 1788, tome 2, 1796, page 174. 

Remarque : 1. Il s'agit dans cet emploi d'une espèce de personnification du sujet 2. Autres syntagmes relevés : les fibres acquièrent la dureté du fer; l'enveloppe pierreuse acquiert la dureté du granit; le fluide acquiert du mouvement; le liquide acquiert de la chaleur; le cylindre de pâte acquiert une longueur qui...; le fer acquiert la propriété de l'aimant; les saumons boucanés acquièrent la dureté du bois. 

—  En emploi absolu, vieux.  Devenir meilleur. Ce vin acquiert en vieillissant (Dictionnaire de la langue française (ÉMILE LITTRÉ)); ce vin acquiert (Dictionnaire de l'Académie Française) 

II.—  Emploi pronominal (correspond à I A 1 ou, plus généralement à I A 2, rarement à I B) 

A.—  Emploi pronominal réfléchi. 

1. S'acquérir quelque chose. 

—  (Correspondant à I A 1).  Devenir, par son action personnelle, propriétaire d'une chose matérielle : 

Ø 13. —  Mais, animal, lui criait le parrain, si ces choses n'existaient pas, tu serais maître forgeron comme moi depuis longtemps; tu te serais acquis du bien, tu pourrais vivre à ton aise.

ÉMILE ERCKMANN ET ALEXANDRE CHATRIAN, DITS ERCKMANN-CHATRIAN, Histoire d'un paysan, tome 1, 1870, page 30. 

—  (Correspondant à I A 2).  Posséder, grâce à son action personnelle, un bien non matériel, une certaine qualité : 

Ø 14.... en donnant asile à Mohsèn et à sa compagne, il s'acquérait une belle réputation de générosité,...

JOSEPH ARTHUR COMTE DE GOBINEAU, Nouvelles asiatiques, Les Amants de Kandahar, 1876, page 285. 

2. S'acquérir quelqu'un..  S'attirer, par son action personnelle, les sympathies, gagner les services (de quelqu'un). (Correspondant à I A 3) : 

Ø 15.... il se mêla à la conversation d'une manière discrète, mais qui indiquait en même temps le désir de nouer relation.

(...). La tentation de s'acquérir des compagnons de route, désir qui poignait évidemment l'inconnu, me prit aussi, et je vis que Lanze n'y répugnait pas; j'engageai donc de plus près l'entretien, et je suis ravi de l'avoir fait, car notre nouvelle connaissance nous a fort aidés à passer aujourd'hui de bonnes heures.

JOSEPH ARTHUR COMTE DE GOBINEAU, Les Pléiades,  1874, page 14. 

B.—  Emploi pronominal passif. Quelque chose s'acquiert (par..., d'une certaine manière...). Devient la propriété ou la possession (par...) : 

Ø 16. (690). Les servitudes continues et apparentes s'acquièrent par titre, ou par la possession de trente ans.

Code civil des Français (ou Code Napoléon)  1804, page 126. 

Remarque : Syntagmes fréquents : la propriété des biens, la qualité de..., ces notions, la science, les vertus, les qualités, les connaissances... s'acquièrent. 

 

 

STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 1 984. Fréquence relative littéraire : XIXe.  siècle : a) 4 759, b) 1 770; XXe.  siècle : a) 1 788, b) 2 352. 

 

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