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cause n.

Publié le 12/07/2014

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cause n. f. 1. Ce qui détermine une chose, entraîne un résultat. V. Encycl. / Les causes d'un accident. Il est (la) cause de tous mes malheurs. Cause directe, indirecte. / GÉOL. Principe des causes actuelles: principe suivant lequel les causes qui agissent actuellement ont également agi dans le passé. Formulé par Ch. Lyell, au début du XIXe s., il implique que la connaissance de la nature actuelle permet la compréhension du passé. / GRAMM. Complément de cause. V. Encycl. D Loc. prép. À cause de: en raison de, pour tel motif. Je ne suis pas venu à cause de la pluie. [La loc. «à cause que», courante à l'époque classique, est vieillie et considérée comme populaire.] Pour cause de. Fermé pour cause de décès. D Loc. adv. Fam. Et pour cause: pour des raisons évidentes. 2. DR. Ce pour quoi, dans un contrat, les parties s'obligent l'une l'autre. / Par ext. BANQUE. Cause d'un effet de commerce: origine de la dette, constatée par l'effet. Encycl. - GRAMM. Complément de cause. Les relations de cause peuvent être marquées: 1. Par des compléments circonstanciels de cause, le plus souvent introduits par une préposition (par, pour, de, etc.). Dans certains cas, le complément de cause est construit sans préposition: Avarice ou manque d'argent, ces gens-là ne paient jamais. 2. Par une proposition coordonnée introduite par la conjonction car. Par définition, cette proposition ne peut jamais être placée avant celle dont elle exprime la cause. 3. Par une proposition subordonnée, introduite par les conjonctions parce que, puisque, comme. 4. Par un infinitif (le plus souvent au passé) introduit par pour: Il a été condamné à mort pour avoir tué sa femme. 5. Par un adjectif (ou un participe) construit en apposition: Paresseux, cet élève a été renvoyé du lycée.

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