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Définition: AVOCAT1, -ATE, substantif.

Publié le 01/11/2015

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Définition: AVOCAT1, -ATE, substantif. I.— Personne défendant les intérêts de quelqu'un ou de quelque chose. A.— DROIT. Personne qui, étant inscrite au barreau, fait profession de " défendre devant les tribunaux, soit oralement, soit par écrit, l'honneur, la vie, la liberté et les intérêts des justiciables et à les éclairer de ses conseils " (Dictionnaire de droit de A. Perraud-Charmantier (RAYMOND BARRAINE) 1967) : Ø 1. Le baron de Rastignac veut-il être avocat? Oh! joli. Il faut pâtir pendant dix ans, dépenser mille francs par mois, avoir une bibliothèque, un cabinet, aller dans le monde, baiser la robe d'un avoué pour avoir des causes, balayer le palais avec sa langue. Si ce métier vous menait à bien, je ne dirais pas non; mais trouvez-moi dans Paris cinq avocats qui, à cinquante ans, gagnent plus de cinquante mille francs par an? Bah! plutôt que de m'amoindrir ainsi l'âme, j'aimerais mieux me faire corsaire. HONORÉ DE BALZAC, Le Père Goriot, 1835, page 122. Ø 2. Titre. — « Seuls ont droit au titre d'avocat les licenciés en droit qui sont régulièrement inscrits au tableau ou au siège du barreau d'une cour d'appel ou d'un tribunal de grande instance. Ils doivent faire suivre leur titre d'avocat de la mention de ce barreau (décret 10 avril 1954, précisément, article 5) ». — Avocat stagiaire. « Le licencié en droit admis au stage ne peut prendre le titre d'avocat qu'en le faisant suivre du mot « stagiaire » (décret du 10 avril 1954, article 26) ». Nouveau répertoire de droit, Paris, Dalloz, tome 1, 1962, § 9. Remarque : 1. Quand il s'agit d'une femme inscrite au barreau, on emploie généralement dans les textes officiels la forme masculine; la forme féminine avocate appartient à la langue parlée. 2. D'après DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845 avocate se disait rarement pour désigner la femme d'un avocat (confer infra III remarque). · Avocat conseil. " Avocat (...) attaché à une entreprise et chargé de la défense de ses intérêts " (Dictionnaire des métiers et appellations d'emploi, 1955); (Marcel Aymé, La Jument verte, 1933, page 125). · Avocat consultant Celui qui donne des consultations et des avis écrits sur les affaires litigieuses (confer Balzac, La Cousine Bette, 1846, page 327). Remarque : Attesté dans les principaux dictionnaires généraux du XIXe et du XXe. siècle. · Avocat [désigné] d'office. Avocat que le bâtonnier désigne pour assurer gratuitement la défense de quelqu'un, sur simple demande de l'intéressé en matière criminelle et correctionnelle, et après décision du bureau d'assistance judiciaire en matière civile et commerciale : Ø 3. Gilbert refusa de choisir un avocat. Celui qui lui fut désigné d'office était un gros garçon, exubérant, avide de se mettre en valeur et passablement sot,... MARCEL ARLAND, L'Ordre, 1929, page 438. · Avocat plaidant Exerçant entièrement la profession d'avocat, notamment la plaidoirie (confer Balzac, Les Illusions perdues, 1843, page 583). · Avocat sans causes. Qui n'a pas de clients, n'a pas d'affaires à plaider : Ø 4. Le jeune avocat sans causes, le jeune médecin sans clients, sont les deux plus grandes expressions du désespoir décent, particulier à la ville de Paris, ce désespoir muet et froid, vêtu d'un habit et d'un pantalon noirs à coutures blanchies qui rappellent le zinc de la mansarde, d'un gilet de satin luisant, d'un chapeau ménagé saintement, de vieux gants et de chemises en calicot. C'est un poème de tristesse, sombre comme les secrets de la Conciergerie. HONORÉ DE BALZAC, Le Cousin Pons, 1847, page 166. Remarque : On dit ou on a dit aussi par ironie ou plaisamment avocat de balle (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845), avocat de causes perdues (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse), Nouveau Larousse illustré), avocat sans lois (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845), avocat des mouches (Ibidem), avocat de Pilate (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse), Nouveau Larousse illustré), avocat de Ponce Pilate (LITTRÉ, DICTIONNAIRE DES DICTIONNAIRES (SOUS LA DIRECTION DE PAUL GUÉRIN) 1892), avocat de Térence (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845), avocat à tort (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845), avocat sous l'orme (Dictionnaire général de la langue française (Adolphe Hatzfeld, Arsène Darmesteter)). SYNTAXE : Avocat au barreau de..., du barreau de...; avocat à la Cour; avocat de la défense. Ordre des avocats; Avocat célèbre, éloquent, nommé, véreux; bon, grand, habile, jeune, petit, vieil avocat; cabinet, consultation, métier, plaidoirie, profession, robe, serviette, titre d'avocat; l'avocat consulte, plaide, parle; choisir, consulter un avocat. — Spécialement. 1. HISTOIRE GÉNÉRALE. Avocat au Parlement. Avocat qui avait le droit de plaider au Parlement (confer Arts et littérature dans la société contemporaine, 1936, page 8402). Avocat en Parlement. Avocat qui avait le titre mais n'exerçait pas sa profession (confer Marat, Les Pamphlets, Dénonciation contre Necker, 1790, page 177). 2. HISTOIRE ECCLÉSIASTIQUE. Avocat consistorial. Officier de la Cour de Rome chargé de plaider sur les oppositions formées aux provisions des bénéfices (confer Stendhal, Vie de Henry Brulard, tome 1, 1836, page 85). B.— Par analogie. 1. Celui, celle qui défend quelqu'un (en public ou non), qui intercède pour quelqu'un, qui soutient les intérêts, la réputation de quelqu'un auprès de quelqu'un. L'avocate des pécheurs. La Sainte Vierge : Ø 5. Ce n'est pas les articles du Code pénal Que nous invoquerons dans ce dernier combat. Nos regards connaîtront un autre Tribunal. Nos regards chercheront un bien autre Avocat. Et ce n'est pas de toge et de robe et de toques Que nous nous couvrirons dans cet abaissement. Et ce ne sera pas ces porteurs de breloques Que nous invoquerons pour ce redressement. Et ce n'est pas du Code et de ses accessoires Que nous nous couvrirons dans ce recueillement. Et non plus du Codex et de ses balançoires Que nous aurons couvert notre dépouillement. Et nos yeux chercheront pour l'âme scélérate Une autre couverture, un autre couvrement. Et nos yeux chercheront pour ce recouvrement Le maternel manteau d'une illustre Avocate. Et nos yeux chercheront pour l'âme candidate Une autre couverture, un autre couvrement. Et nos yeux chercheront pour ce recouvrement L'éblouissant manteau d'une jeune Avocate. Et nos yeux chercheront pour l'âme renégate Une autre couverture, un autre couvrement. Et nos yeux chercheront pour ce recouvrement Le manteau de vertu d'une grande Avocate. Et nos yeux chercheront pour l'âme lauréate Une autre couverture, un autre couvrement. Et nos yeux chercheront pour ce recouvrement Le manteau de candeur d'une belle Avocate. Advocata nostra, ce que nous chercherons, C'est le recouvrement d'un illustre manteau. Et spes nostra, salve, ce que nous trouverons, C'est la porte et l'accès d'un illustre château. CHARLES PÉGUY, Ève, 1913, page 878. Remarque : En ce sens prend normalement un e au féminin; dans l'exemple suivant la forme masculine indique qu'il s'agit du sens I A employé par métaphore : Ø 6. Tout le monde ici t'embrasse tendrement ainsi que la grand'maman de Léopold qui voudra bien sans doute être ma panégyriste et mon avocat auprès de toi, puisque tu ne veux pas être mon interprète près d'elle. Ton fils dévoué et respectueux, Victor. VICTOR HUGO, Correspondance, 1823, page 377. — Avocat du diable. a) RELIGION. · Lorsqu'il s'agit, dans la congrégation des rites, de traiter de la canonisation de quelque bienheureux... un avocat, nommé : l'avocat du diable, plaide contre le saint, pour prouver qu'il n'y a rien d'extraordinaire dans tout ce qu'il a fait (Stendhal, Rome, Naples et Florence, tome 2, 1817, page 377). · Celui qui dans une conférence religieuse en dialogue propose les objections contre la religion. Remarque : Attesté dans la plupart des dictionnaires généraux du XIXe. siècle ainsi que dans le Dictionnaire général de la langue française (Adolphe Hatzfeld, Arsène Darmesteter), Dictionnaire de l'Académie Française 1932. b) Par extension, langue commune. Celui qui (en vue de rechercher la vérité ou par jeu ou par tempérament) défend la cause contraire de celle qui vient d'être soutenue devant lui : Ø 7. Il agissait ainsi dans les moindres détails de l'administration domestique où il ne voyait jamais que le pire côté des choses, se faisant à tout propos l'avocat du diable, suivant une expression de son vieux cocher. HONORÉ DE BALZAC, Le Lys dans la vallée, 1836, page 196. c) Faire l'avocat. " Synonyme de baronner. Servir de compère à un complice dans le but de dépouiller une personne difficile à convaincre " (Langue verte et noirs desseins (AUGUSTE LE BRETON), 1960). 2. Celui, celle qui défend quelque chose, en particulier qui se fait le défenseur d'une cause (idée, opinion, parti, système) : Ø 8. De retour en Europe, peu satisfait de cette magnifique position d'empereur chrétien, le premier entre les puissans et les forts, et non pas le maître d'une foule d'esclaves, l'avocat de l'église, et non pas son oppresseur, il [Frédéric II] dépose dans la société les germes des funestes doctrines qui n'ont que trop fructifié depuis. CHARLES, COMTE DE MONTALEMBERT, Histoire de Sainte Elisabeth de Hongrie, duchesse de Thuringe (1207-1231), 1836, page XXIII. C.— Au figuré. [En parlant d'une chose] Moyen de défense, de justification : Ø 9. « Au vrai, concluait-il [l'Empereur] ,... Decrès, après tout, était peut-être encore le meilleur. Il avait du commandement; son administration était rigoureuse et pure. Il avait de l'esprit, et beaucoup, mais seulement pour sa conversation. Il ne créait rien, exécutait mesquinement, marchait et ne voulait pas courir. Il eût pu passer la moitié de son temps dans les ports et sur les flottes d'exercice; je lui en eusse tenu compte; mais, en courtisan, il craignait de s'éloigner de son portefeuille. Il me connaissait mal; il eût été bien mieux défendu là que dans ma cour : son éloignement eût été son meilleur avocat. » EMMANUEL DIEUDONNÉ, COMTE DE LAS CASES, Le Mémorial de Sainte-Hélène, tome 1, 1823, page 600. II.— " Auxiliaire de la justice ayant le caractère d'officier ministériel, jouissant du monopole de représenter les parties et de plaider devant le Conseil d'État, la Cour de Cassation, le Tribunal des Conflits, le Conseil des prises, et pouvant également représenter les parties devant les autres juridictions administratives " (Vocabulaire juridique (HENRI CAPITANT)). Avocat au Conseil d'État et à la Cour de Cassation; avocat aux Conseils et à la Cour de Cassation : Ø 10. « Pardon, monsieur, lui dit l'avocat en le voyant aller vers la porte. J'ai à vous faire remarquer que dans ces sortes d'affaires, dans un pourvoi au conseil d'état, nous ne sommes pas seulement l'avocat, mais encore l'avoué de notre client... Il y a certains frais, des renseignements, des levées d'actes... Je suis obligé de vous demander, si vous désirez que je me charge de votre affaire, de me couvrir de cela... Oh! mon Dieu, c'est cinq à six cents francs... Cinq cents francs, si vous voulez... » EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Renée Mauperin, 1864, page 254. Remarque : 1. " Leur nombre est limité et ils sont constitués en Compagnie judiciaire. Appelés parfois " avocats au Conseil " parce qu'ils ont succédé aux avocats au Conseil du Roi " (Vocabulaire juridique (HENRI CAPITANT), 1936). 2. Attesté depuis Dictionnaire de l'Académie Française, Compléments 1842 dans les principaux dictionnaires généraux du XIXe et du XXe. siècle. — HISTOIRE. Avocat aux Conseils. Autrefois, en France, nom donné aux avocats chargés de suivre, d'instruire, discuter, plaider, les affaires portées ou susceptibles d'être portées aux différents Conseils du Roi. Remarque : Attesté dans DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845. III.— Avocat général. " Membre du Ministère Public près la Cour de Cassation, la Cour des comptes ou les Cours d'appel, ayant pour fonction de suppléer le Procureur général en cas d'empêchement de celui-ci " (Vocabulaire juridique (HENRI CAPITANT)). Réquisitoire de l'Avocat général : Ø 11.... l'interrogatoire de l'homme était terminé et les dépositions des témoins; mais il y avait encore les plaidoiries de l'avocat et le réquisitoire du ministère public; cela ne devait guère finir avant minuit. L'homme serait probablement condamné; l'avocat général était très bon, — et ne manquait pas ses accusés;... VICTOR HUGO, Les Misérables, tome 1, 1862, page 317. Remarque : Avocate désignait le plus souvent la femme de l'avocat général (attesté dans DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse); confer supra I A Remarque : 2) :m. 2) : Ø 12. Berthier, prévenu par la présidente, avait fait venir son nouveau client, le banquier Schwab, l'ex-flûte. Ébloui d'une pareille alliance pour son ami (on sait combien les Allemands respectent les distinctions sociales! en Allemagne, une femme est Mme. la générale, Mme. la conseillère, Mme. l'avocate),... HONORÉ DE BALZAC, Le Cousin Pons, 1847, page 81. — HISTOIRE. Avocat du Roi, avocat impérial, avocat de la République. Magistrat remplissant sous la Royauté, l'Empire, ou la République, les mêmes fonctions dans les Tribunaux inférieurs : Ø 13. Quant aux expressions qui déplaisent à vous, monsieur le président, à monsieur l'avocat du roi, débauche, prostitution, et autres que je ne feindrais non plus de répéter, c'est une grande question entre les philosophes, de savoir si l'on peut pécher par les paroles, quand le sens du discours en soi n'a rien de mauvais, comme lorsqu'on blâme certains vices en les appelant par leur nom. PAUL-LOUIS COURIER, Pamphlets politiques, Procès de Paul-Louis Courier, 1821, page 127. Remarque : Attesté dans le Dictionnaire de l'Académie Française 1798-1835, Dictionnaire universel de la langue française (Louis-Nicolas Bescherelle) 1845, Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse) et Dictionnaire de la langue française (Émile Littré). — Argot. Avocat-bêcheur. Le ministère public; en ce sens on dit aussi avocat sondeur (confer Dictionnaire historique, étymologique et anecdotique de l'argot parisien (LORÉDAN LARCHEY), 1883, page 948). Remarque : 1. Le synonyme argotique rare avocasson, substantif masculin (1899, Charles VIRMAÎTRE, Dictionnaire d'argot, Supplément, page 26; suffixe -asse* et -on*), qui désigne péjorativement un avocat sans causes et sans talent (confer GEORGES SOREL, Réflexions sur la violence, 1908, page 237). 2. On rencontre également dans la documentation le néologisme avocater, verbe intransitif (1902, JULES RENARD, Journal, page 731; désinence -er). Parler comme un avocat.

« ? Avocat conseil.

" Avocat (...) attach? ? une entreprise et charg? de la d?fense de ses int?r?ts " (Dictionnaire des m?tiers et appellations d'emploi, 1955); (Marcel Aym?, La Jument verte, 1933, page 125).

? Avocat consultant Celui qui donne des consultations et des avis ?crits sur les affaires litigieuses (confer Balzac, La Cousine Bette, 1846, page 327).

Remarque?: Attest? dans les principaux dictionnaires g?n?raux du XIXe et du XXe.

si?cle.

? Avocat [d?sign?] d'office.

Avocat que le b?tonnier d?signe pour assurer gratuitement la d?fense de quelqu'un, sur simple demande de l'int?ress? en mati?re criminelle et correctionnelle, et apr?s d?cision du bureau d'assistance judiciaire en mati?re civile et commerciale?: ? 3.

Gilbert refusa de choisir un avocat.

Celui qui lui fut d?sign? d'office ?tait un gros gar?on, exub?rant, avide de se mettre en valeur et passablement sot,... MARCEL ARLAND, L'Ordre, 1929, page 438.

? Avocat plaidant Exer?ant enti?rement la profession d'avocat, notamment la plaidoirie (confer Balzac, Les Illusions perdues, 1843, page 583).

? Avocat sans causes.

Qui n'a pas de clients, n'a pas d'affaires ? plaider?: ? 4.

Le jeune avocat sans causes, le jeune m?decin sans clients, sont les deux plus grandes expressions du d?sespoir d?cent, particulier ? la ville de Paris, ce d?sespoir muet et froid, v?tu d'un habit et d'un pantalon noirs ? coutures blanchies qui rappellent le zinc de la mansarde, d'un gilet de satin luisant, d'un chapeau m?nag? saintement, de vieux gants et de chemises en calicot.

C'est un po?me de tristesse, sombre comme les secrets de la Conciergerie. HONOR? DE BALZAC, Le Cousin Pons, 1847, page 166.

Remarque?: On dit ou on a dit aussi par ironie ou plaisamment avocat de balle (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRAN?AISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845), avocat de causes perdues (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRAN?AISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand dictionnaire universel du XIXe.

si?cle (Pierre Larousse), Nouveau Larousse illustr?), avocat sans lois (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRAN?AISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845), avocat des mouches (Ibidem), avocat de Pilate (DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRAN?AISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand. »

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