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d isting ue le castillan, l'asturien-léonais, le navarro-arag onais, le mozarabe.

Publié le 29/04/2014

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d isting ue le castillan, l'asturien-léonais, le navarro-arag onais, le mozarabe. 2. Le castillan, lang ue commune moderne de l'Espag ne (à côté du catalan, du g alicien, du portug ais -- romans -- et du basque), avec des variantes rég ionales, et de toute l'Amérique centrale et méridionale (à l'exception du portug ais -- au Brésil -- et de lang ues amérindiennes). -> espag nol, romanes (lang ues), dans le dictionnaire. esprit En g rec, façon d'attaquer une voyelle à l'initiale et notation de cette attaque, l' esprit dur (') correspondant à une aspiration, l' esprit doux (?) à une attaque non aspirée. état Dans la caractérisation des verbes, s'oppose à action*. Le verbe d'état par excellence est être et ses équivalents. étrusque Lang ue qui fut parlée dans le centre de l'Italie (mais qui n'appartient pas au g roupe italique), attestée par de nombreuses inscriptions mal déchiffrées, et qui n'était pas de type indoeuropéen. étymologie Science qui étudie l'ascendance et la filiation d'un mot ou d'une famille de mots, qui en retrace l'histoire en s'appuyant sur des critères phonétiques, morpholog iques et sémantiques (-> étymolog ie, dans le dictionnaire). Étymolog ie populaire. P hénomène par lequel le sujet parlant rattache une forme à une autre, alors qu'elles n'ont entre elles aucun lien g énétique. L'étymolog ie populaire entre en jeu la plupart du temps lorsque le sujet parlant ne peut plus analyser et identifier un mot. Un de ses procédés est l'attraction* paronymique. Étymolog ie savante. Étymolog ie produite par le sujet parlant érudit qui, dans sa recherche, fait en particulier appel à sa connaissance de l'histoire de la lang ue. L'étymolog ie savante n'est pas forcément correcte. Étymolog ie scientifique. Étymolog ie vérifiée à l'aide des règ les phonétiques, morpholog iques, etc. qui rég issent l'histoire de la lang ue en question. Lorsqu'elle n'est pas établie, on parle d' étymolog ie obscure, en l'absence d'hypothèse vraisemblable, et d' étymolog ie discutée, douteuse, en présence de plusieurs hypothèses en conflit. étymon désig ne un mot (d'une lang ue différente) que l'on considère comme donnant l'orig ine d'un autre mot; il peut s'ag ir d'une forme connue, attestée (caballus est l'étymon latin de cheval ), supposée (francique °blâd, étymon du français b lé) ou d'un radical « expressif » (g allo-roman °g ob-, étymon du français g ober, g obelet). euphémisme P rocédé d'atténuation qui consiste à remplacer un sig ne (mot, locution) jug é déplaisant ou à éviter (dans une circonstance de communication donnée) par un mot ou une expression moins explicites. Un emploi p ar euphémisme est parfois dit euphémistique. -- Le terme s'applique aussi à l'expression de remplacement. L'euphémisme porte souvent sur des mots tabous (sexuels, scatolog iques, blasphématoires...). euphonique se dit d'un élément employé pour obtenir une sonorité ag réable ou plus ag réable. Ces éléments (voyelles, syllabes de liaison) sont employés p ar euphonie. éwé Lang ue africaine* du g roupe kwa, parlée au Ghana, au sud du Tog o et du Bénin (environ 1 600 000 locuteurs). expression 1. M ode d'énoncé spécifique. Spécialement, la locution* (unité du lexique) en tant que manière d'exprimer quelque chose, souvent au moyen d'une fig ure (métaphore, métonymie, comparaison...). On parle ainsi d' expression fig urée. Du point de vue de la forme fonctionnelle, les expressions sont dites locutions*. L'ensemble des expressions et locutions est appelé p hraséolog ie. Avec les mots, elles forment l'essentiel du lexique. 2. Expression a un tout autre sens dans la théorie sémantique : le terme s'oppose alors à contenu. extension 1. De nombreux sens et emplois de mots, de locutions sont obtenus dans l'histoire de la lang ue par une « extension » log ique et sémantique. On parle alors aussi de sens étendu (ou extensif), par opposition à spécial o u spécialisé. L'extension fait partie des fig ures de sens (ou tropes) et suppose que l'unité lexicale désig ne plus d'objets qu'auparavant (son extension log ique -- cidessous -- s'accroît); en même temps, sa sig nification s'élarg it et sa définition comprend moins de spécification (sa compréhension log ique diminue). Ce processus s'oppose souvent à la spécialisation*. 2. N e pas confondre cet emploi, qui relève du vocabulaire g énéral, avec le sens technique du mot extension en log ique. L'extension d 'un terme correspond à l'importance de la classe log ique dont il peut désig ner les éléments : elle est souvent indéterminée, elle peut se réduire à un (soleil, lune, tous les noms propres); dans ce sens, extension s'oppose à compréhension. factitif Synonyme de causatif*. falisque P arlers italiques* de type latin (distincts du latin). familier s'applique à un mot, à un style, à une expression qui sont employés couramment dans la conversation ordinaire ou dans certaines productions écrites (souvent pour évoquer le discours oral spontané), mais évités dans un contexte où un lang ag e plus contrôlé s'impose. F amilier se disting ue de p opulaire* o u v ulg aire*. Il s'oppose à soutenu*. famille (de mots) N otion qui peut être étymolog ique, morpholog ique ou morphosémantique. La famille étymolog ique se définit par rapport à un certain niveau du processus, soit dans une lang ue, dans toute la durée de son histoire ou encore en sélectionnant seulement les unités encore en usag e; soit dans un ensemble de lang ues issues de la même orig ine (famille romane issue d'une même orig ine latine, famille g ermanique, etc.). À une famille au sens larg e correspond en g énéral une racine. -- La famille morpholog ique correspond au système d'une lang ue à un moment donné (synchronie). La famille morphosémantique est un sous-ensemble de la précédente, et suppose une communauté de sens. fanti Lang ue africaine parlée au Ghana. féroïen Lang ue g ermanique du g roupe nordique (distincte du danois), parlée aux îles Féroé. figure, sens f iguré -> fig ure dans le dictionnaire, et aussi (dans le g lossaire) métaphore, métonymie, sens. P ar fig ure équivaut à au fig uré, mais insiste sur l'aspect dynamique du processus. finnois 1. Groupe de lang ues finno-oug riennes* dont les principales sont parlées en Finlande (suomi), en Estonie (este) et en Carélie (carélien). Avec le hong rois et le basque, le finnois est l'une des rares lang ues non indoeuropéennes d'Europe. 2. F innois suomi de Finlande, parlé concurremment dans ce pays avec le suédois (sud-ouest du pays). finno-ougriennes se dit d'un ensemble de lang ues ouraliennes comprenant trois lang ues principales européennes : le lapon, le finnois* (y compris l'este d'Estonie), le hong rois* et des lang ues d'Asie (tchérémisse ou mari; votiak, zyriène, ostiak, vog oul...). flamand Ensemble des parlers g ermaniques (bas-allemand) des Flandres, qui ont cours en Belg ique du Nord et dans l'extrême nord-est de la France. Le flamand appartient à l'ensemble néerlandais. flexion P rocessus morpholog ique par lequel, dans certaines lang ues appelées flexionnelles, un mot ou son radical est affecté d'affixes (-> désinence) exprimant des rapports g rammaticaux entre les éléments de l'énoncé : les cas des déclinaisons (noms, adjectifs), les formes des conjug aisons (verbes) en font partie. -- La flexion radicale joint les affixes à la racine (lang ues sémitiques), la flexion thématique à un thème (racine + élément thématique). -- On parle aussi de flexion verbale, nominale et pronominale. fonction se dit du rôle que joue un élément dans la structure de la phrase, de l'énoncé. À certaines fonctions correspond une forme p ropre. formation se dit de la production d'une unité ling uistique à partir d'éléments appelés formants, notamment en morpholog ie (par exemple dérivation, composition). -> former. forme 1. Le mot, en ling uistique, désig ne la réalisation matérielle, l'aspect matériel (phonétique et g raphique) d'une unité plus abstraite de la lang ue ou de plusieurs lang ues apparentées (les formes romanes -- française, italienne, espag nole, portug aise, etc. -- d 'un type latin). Les formes d'un mot dans une lang ue sont ses variantes*. 2. On emploie aussi formes à p ropos des réalisations morpholog iques d'un mot à flexions (noms et adjectifs : forme masculine, féminine, du pluriel; v erbes : formes du présent, du passif, de la première personne...). former se dit du processus par lequel un ou plusieurs éléments aboutissent à une forme nouvelle, notamment à une forme du lexique. La formation des mots s'appelle la morpholog ie* (au sens dynamique). -- On dit par exemple qu'un suffixe, un préfixe, un élément savant « servent à former » tant de composés ou dérivés. Servir à former est quasi-synonyme de p roduire. français Lang ue romane parlée en France, où elle est larg ement majoritaire; plus larg ement, ensemble des parlers g allo-romans d'oï l. On disting ue historiquement : -- le roman*, stade intermédiaire entre le latin populaire des Gaules et l'ancien français; -- l'ancien* français (fin Xe-mil. XIVe s.); -- le moyen* français (mil. XIVe-déb. XVIIe s.); -- le français classique et post-classique (XVIIe-XVIIIe s.); -- le français moderne et contemporain (XIXe-XXe s.). Spécialement : cette lang ue, depuis le XVe o u le XVIe s. jusqu'à nos jours, à l'exclusion des dialectes et patois; de ce point de vue, l'ancien français n'est pas (encore) du français. franc-comtois Dialecte g allo-roman d'oï l parlé en Franche-Comté. francien Ensemble des formes ling uistiques d'oï l propre à la lang ue dominante de Paris et d'Île-de-France et débarrassé des traits dialectaux (picards, normands, bourg uig nons, champenois, etc.) qu'on repère dans certains textes. Assimilé à tort à un dialecte d'Île-de-France (-> français, francien, dans le dictionnaire). francique 1. Lang ue g ermanique du g roupe occidental, ancêtre du néerlandais, qui fut parlée par les Francs, d'où sa g rande importance pour le français. Elle faisait partie de l'ensemble bas-allemand. -> francique, dans le dictionnaire. 2. Ensemble de dialectes du haut-allemand ancien et moderne parlés en Rhénanie, en pays mosellan. Le g roupe des parlers franciques, divisés en oriental, rhénan et « moyen », est représenté dès l'ancien haut-allemand. Voir allemand, dans le dictionnaire. franconien Dialecte allemand de Franconie. francophonie Ensemble des usag es de la lang ue française, que ce soit comme lang ue maternelle (France, Belg ique, Suisse, Québec, Acadie...), lang ue nationale maternelle ou non (départements et territoires d'outre-mer de la France, où le français coexiste souvent avec un créole* français), ou encore lang ue officielle (nombreux États africains indépendants), enfin lang ue étrang ère à fonction particulière (Mag hreb). -- Spécialement. Usag es collectifs du français hors de France. Au sens larg e, usag e du français, même individuel, notamment lorsqu'il n'est pas lang ue maternelle. franco-provençal Ensemble de dialectes g allo-romans considérés comme intermédiaires entre la zone des dialectes d'oï l et celle des dialectes d'oc, marqué par le superstrat g ermanique burg onde, et correspondant à la rég ion de Lyon, à l'ensemble des dialectes de Suisse romande. -> b urg onde et suisse dans le dictionnaire. fréquentatif se dit d'une forme verbale qui indique la répétition ou la continuation de l'action sig nalée par la racine du verbe; courante en latin, elle est caractérisée en français par un suffixe de type -ailler (criailler), -oter (tapoter) o u par le préfixe re(reprendre). C ette valeur dite plutôt itérative, est parfois recouverte, en français moderne, par celle de diminutif (chantonner). Certains fréquentatifs, par exemple, en français, les verbes préfixés en re-, se confondent avec l'intensif. -> aspect. frioulan Dialecte rhétoroman* de l'Est, parlé dans la rég ion d'Udine, en Italie. Bien que parlé en Italie, ce n'est pas un dialecte italien; il est caractérisé par de nombreux emprunts g ermaniques et italiens. -> romanes (lang ues). frison Lang ue g ermanique qui fut la rivale du francique et du saxon dans les Pays-Bas et dont subsistent trois dialectes parlés dans l a province de Frise (Pays-Bas) et les îles de la côte du Schleswig . Elle est proche de l'ang lo-saxon. gaélique (ou g oï délique) Branche de la famille des lang ues celtiques (celtique insulaire) comprenant l'irlandais, l'écossais et le manxois (île de Man). -> indoeuropéen, celtique, dans le dictionnaire. galicien (gallego) Lang ue romane formée par l'ensemble des dialectes parlés au nord-ouest de l'Espag ne et qui est à l'orig ine de la lang ue portug aise. -> l ang ues romanes, dans le dictionnaire. gallo Ensemble des dialectes g allo-romans d'oï l parlés en Bretag ne orientale (Haute-Bretag ne) jusqu'à une époque récente. La frontière entre g allo et breton a peu varié depuis des siècles. gallois Lang ue celtique du pays de Galles, attestée à partir du VIIIe s. (vieux-g allois jusqu'au XIIe s.; moyen g allois, XIIe-XVe s.; g allois moderne). La lang ue (Cymraeg ) d escend des dialectes celtes dominants en Grande-Bretag ne avant les conquêtes des Ang loSaxons; sa littérature est abondante, tant au moyen âg e qu'à l'époque classique et moderne. Quatre g rands dialectes la divisent g éog raphiquement. Le g allois est enseig né et résiste mieux que le g aélique d'Écosse à l'omniprésence de l'ang lais. -> celtique, indoeuropéen 5, dans le dictionnaire. gallo-roman Ensemble des parlers issus du latin parlé (latin populaire ou « vulg aire ») dans le territoire des Gaules, subdivisé en dialectes occitans (-> occitan, dans le dictionnaire), franco-provençaux (France de l'Est central et méridional, Suisse) et d'oï l (moitié nord de la France, Belg ique et, pour les dialectes de l'Ouest, français du Canada). -> d ialecte, français, latin, romanes (lang ues), dans le dictionnaire. gascon Ensemble des dialectes g allo-romans occitans de Gascog ne, formant une entité spécifique dans l'ensemble occitan. L'ancien g ascon revêt une g rande importance ling uistique et littéraire (-> occitan, dans le dictionnaire). gaulois Lang ue indoeuropéenne du g roupe celtique continental, parlée en Gaule depuis le milieu du deuxième millénaire avant l'ère chrétienne par les Celtes venus d'Europe centrale et par les populations celtisées. Le celtibère* du nord de l'Espag ne lui était apparenté. Entre 400 et 200 avant J.-C., toute la Gaule parlait g aulois, mais, après l'invasion du pays par César et le triomphe de l'Empire romain, la lang ue fut prog ressivement remplacée par le latin (entre le Ier et le Ve siècle), époque où le celte a pratiquement disparu du territoire, peu avant que d'autres Celtes, venus des Îles Britanniques, n'importent le breton en Armorique. Les traces du g aulois dans le latin des Gaules, puis le roman et enfin le français sont importantes en profondeur (substrat), mais faibles dans le lexique (entre 100 et 150 mots, d'ailleurs importants, et souvent d'orig ine discutée). -> g aulois et lang ues celtiques, dans le dictionnaire. général s'applique à tous sens, emplois, usag es qui ne sont pas spéciaux ou spécialisés et qui concernent l'ensemble des locuteurs et, pour les sig nifications (sens g énéral), celles qui n'appartiennent pas à un domaine défini. On dit parfois aussi commun ou, avec l'idée de norme sociale, courant. génitif C as* de la déclinaison latine exprimant notamment la fonction de complément de nom. La forme du g énitif, donnée pédag og iquement à la suite du nominatif* (dies, diei), p ermet de reconnaître la déclinaison (il y en a 5 en latin) à laquelle appartient le mot. On indique ici principalement le g énitif des imparisyllabiques (pax, pacis; opus, operis), l a forme du nominatif ne fournissant pas l'étymon du français, et l'accusatif (qui donne le cas rég ime de l'ancien français) étant formé sur le même radical que le g énitif (pacem). genre C atég orie concernant les noms et reposant (au moins dans le domaine indoeuropéen) sur la conception sexuée des objets désig nés : mâle (masculin), femelle (féminin) et non sexuée (neutre). Ce « g enre naturel » est théorique, les lang ues classant formellement les noms de manière relativement arbitraire (g enre g rammatical, formel). Le g enre g rammatical et le g enre « naturel » se rapprochent dans le domaine des êtres animés. -- Certains noms désig nant indifféremment des êtres mâles et femelles (des hommes et des femmes) sont appelés épicènes, q uel que soit le g enre formel, notamment lorsqu'ils peuvent prendre les deux g enres formellement (un, une mannequin, un, une dactylo, un, une élève).

« d’u n te rm e c o rre sp ond à l ’im porta nce d e l a c la sse l o g iq ue d ont il p eut d ésig ner l e s é lé m ents  : e lle e st s o uv ent in d éte rm in ée, e lle peut s e r é d uir e à u n ( so le il , l u ne, to us l e s n o m s p ro pre s); d ans c e s e ns, ex te nsio n s ’o ppose à co m pré hensio n. fa ctit if S yno ny m e d e causa tif * . fa lis q ue P arle rs ita liq ues* d e ty pe l a tin ( d is tin cts d u l a tin ). fa m ilie r s ’a p pliq ue à u n m ot, à u n s ty le , à u ne e x pre ssio n q ui s o nt e m plo yés c o ura m ment d ans l a c o nv ers a tio n o rd in air e o u d ans certa in es p ro ductio ns é crite s ( s o uv ent p our é v oquer l e d is c o urs o ra l s p onta né), m ais é v ité s d ans u n c o nte x te o ù u n l a ng ag e p lu s co ntr ô lé s ’im pose .

Fam il ie r s e d is tin g ue d e popula ir e * o u vulg air e *. I l s ’o ppose à so ute nu*. fa m ille (d e m ots ) N otio n q ui p eut ê tr e é ty m olo g iq ue, m orp ho lo g iq ue o u m orp ho sé m antiq ue.

L a fa m il le é ty m olo g iq ue s e défin it p ar r a p port à u n c erta in n iv eau d u p ro cessu s, s o it d ans u ne l a ng ue, d ans to ute l a d uré e d e s o n h is to ir e o u e nco re e n sé le ctio nnant s e ule m ent l e s u nité s e nco re e n u sa g e; s o it d ans u n e nse m ble d e l a ng ues is su es d e l a m êm e o rig in e ( fa m il le r o m ane is su e d ’u ne m êm e o rig in e l a tin e, f a m il le g erm aniq ue, e tc .) .

À u ne f a m il le a u s e ns l a rg e c o rre sp ond e n g énéra l u ne r a cin e.

— L a fa m il le m orp ho lo g iq ue c o rre sp ond a u s y stè m e d ’u ne l a ng ue à u n m om ent d onné ( s y nchro nie ).

L a fa m il le m orp ho sé m antiq ue e st u n so us-e nse m ble d e l a p ré céd ente , e t s u p pose u ne c o m munauté d e s e ns. fa nti L ang ue a fric ain e p arlé e a u G hana. fé ro ïe n L ang ue g erm aniq ue d u g ro up e n o rd iq ue ( d is tin cte d u d ano is ), p arlé e a ux î le s F éro é. fig ure , se ns f ig uré → f ig ure d ans l e d ic tio nnair e , e t a ussi ( d ans l e g lo ssa ir e ) m éta p ho re , m éto ny m ie , s e ns. Par f ig ure éq uiv aut à au f ig uré , m ais in sis te s u r l ’a sp ect d ynam iq ue d u p ro cessu s. fin no is 1. G ro up e d e l a ng ues f in no -o ug rie nnes* d ont l e s p rin cip ale s s o nt p arlé es e n F in la nd e ( s u o m i) , e n E sto nie ( e ste ) e t e n Caré lie ( c aré lie n).

A vec l e h o ng ro is e t l e b asq ue, l e f in no is e st l ’u ne d es r a re s l a ng ues n o n in d oeuro péennes d ’E uro pe. 2. F in no is s u o m i d e F in la nd e, p arlé c o ncurre m ment d ans c e p ay s a v ec l e s u éd ois ( s u d -o uest d u p ay s). fin no -o ugrie nne s s e d it d ’u n e nse m ble d e l a ng ues o ura lie nnes c o m pre nant tr o is l a ng ues p rin cip ale s e uro péennes : l e l a p on, l e fin no is * ( y c o m pris l ’e ste d ’E sto nie ), l e h o ng ro is * e t d es l a ng ues d ’A sie ( tc héré m is se o u m ari; v otia k, z y riè ne, o stia k, v og oul...) . fla m and E nse m ble d es p arle rs g erm aniq ues ( b as-a lle m and ) d es F la nd re s, q ui o nt c o urs e n B elg iq ue d u N ord e t d ans l ’e x tr ê m e no rd -e st d e l a F ra nce.

L e f la m and a p partie nt à l ’e nse m ble n éerla nd ais . fle xio n P ro cessu s m orp ho lo g iq ue p ar l e q uel, d ans c erta in es l a ng ues a p pelé es fle x io nnelle s, u n m ot o u s o n r a d ic al e st a ffe cté d’a ffix es (→ d ésin ence) e x prim ant d es r a p ports g ra m matic aux e ntr e l e s é lé m ents d e l ’é no ncé : l e s c as d es d éclin ais o ns ( n o m s, ad je ctif s ), l e s f o rm es d es c o nju g ais o ns ( v erb es) e n f o nt p artie .

— L a fle x io n r a d ic ale jo in t l e s a ffix es à l a r a cin e ( la ng ues sé m itiq ues), l a fle x io n th ém atiq ue à u n th èm e ( ra cin e + é lé m ent th ém atiq ue).

— O n p arle a ussi d e fle x io n v erb ale , n o m in ale e t pro no m in ale . fo nctio n s e d it d u r ô le q ue jo ue u n é lé m ent d ans l a s tr u ctu re d e l a p hra se , d e l ’é no ncé.

À c erta in es fo nctio ns c o rre sp ond u ne fo rm e p ro pre . fo rm atio n s e d it d e l a p ro ductio n d ’u ne u nité l in g uis tiq ue à p artir d ’é lé m ents a p pelé s fo rm ants , n o ta m ment e n m orp ho lo g ie ( p ar ex em ple d ériv atio n, c o m positio n).

→ f o rm er. fo rm e 1. L e m ot, e n l in g uis tiq ue, d ésig ne l a r é alis a tio n m até rie lle , l ’a sp ect m até rie l ( p ho nétiq ue e t g ra p hiq ue) d ’u ne u nité p lu s ab str a ite d e l a l a ng ue o u d e p lu sie urs l a ng ues a p pare nté es ( le s fo rm es r o m anes — f ra nçais e , ita lie nne, e sp ag no le , p ortu g ais e , e tc .

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