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Toutes les expressions artistiques - arts plastiques, architecture, musique, littérature - sont concernées par le mouvement baroque, qui s'est étendu à tous les pays catholiques en leur donnant parfois leurs plus grands chefs-d'oeuvre.

Publié le 21/10/2013

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Toutes les expressions artistiques - arts plastiques, architecture, musique, littérature - sont concernées par le mouvement baroque, qui s'est étendu à tous les pays catholiques en leur donnant parfois leurs plus grands chefs-d'oeuvre. Art d'illusion, le baroque mêle également toutes les expressions pour en faire des créations totales. La profusion de décors exubérants dissimule l'architecture, la peinture se prolonge en relief, la musique monte sur la scène pour donner naissance à l'opéra... Le terme baroque, qui dérive du portugais barroco (signifiant « perle irrégulière «), désigna d'abord une nouvelle conception de l'art qui s'épanouit aux XVIIe et XVIIIe siècles, encouragée par la Contre-Réforme et par le goût fastueux des souverains absolus. Rapidement détourné de son sens premier, il fut employé par les critiques, dès le XVIIIe siècle, dans le sens de bizarre, d'extravagant. Il qualifie aujourd'hui des réalisations appartenant aux courants les plus divers de l'histoire de l'art. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Contre-Réforme maniérisme - L'expansion maniériste en Europe Beaux-arts Au sens strict, le baroque est né à Rome au début du XVIIe siècle avec les oeuvres de Lorenzo Bernini, dit le Bernin, de Francesco Borromini et de Pierre de Cortone. Architectes, peintres et sculpteurs, ils proposèrent - ce qui est une caractéristique essentielle du baroque - une fusion totale de leurs trois disciplines en un tout indissociable qui visait à un effet unique, monumental, théâtral et impressionnant, répondant à un souci constant de mise en scène. Cette approche totale de l'oeuvre trouva son accomplissement dans l'opéra, la création baroque par excellence. Le style baroque utilisa beaucoup les formes de la Renaissance, mais à leur équilibre harmonieux et sévère il substitua plus de liberté, d'émotion et de mouvement. Alors que la Renaissance, en architecture comme en peinture, s'intéressait aux surfaces, le baroque chercha à représenter la profondeur de l'espace. Étroitement liée à l'architecture, la peinture privilégia alors les grandes compositions : expression pathétique, tourbillons de personnages, recours au trompe-l'oeil caractérisent les fresques d'Andrea Pozzo, du Guerchin, de Guido Reni, de Pierre de Cortone et de Tiepolo, héritier de l'art de Véronèse, qui avait donné au baroque ses premières impulsions dans les somptueux décors des villas vénitiennes. À la même époque, Michelangelo Merisi, dit le Caravage, prônait l'abandon des sujets mythologiques, le retour à la nature et au réalisme ; on peut toutefois le rapprocher du baroque par les violents effets d'ombre et de lumière qui animent sa peinture. Les frères Annibal et Augustin Carrache, auteurs du plafond de la galerie Farnèse, développèrent un style éclectique combinant les qualités des grands maîtres de la Renaissance : harmonie de Raphaël, puissance de Michel-Ange, palette du Titien. Quant à la sculpture baroque, elle fut tout entière dominée par la figure du Bernin. Le baldaquin de Saint-Pierre de Rome (1624), la fontaine du Triton (1640), l'Extase de sainte Thérèse ( 1644) comptent parmi ses chefs-d'oeuvre. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Baroche (Federico Fiori, dit Baroccio ou Barocci, en français le) Bernin (Gian Lorenzo Bernini, dit en français le) Borromini (Francesco Castelli, dit Francesco) Caravage (Michelangelo Merisi ou Amerighi, dit en français le) Carrache Extase de sainte Thérèse fontaine fresque - La fresque depuis la Renaissance Guerchin (Giovanni Francesco Barbieri, dit il Guercino, en français le) Guide (Guido Reni, dit le) Italie - Arts - Beaux-arts - L'âge du baroque Michel-Ange (Michelangelo Buonarroti, dit) Pierre de Cortone (Pietro Berrettini, dit Pietro da Cortona, en français) Pozzo (Andrea, dit le Père) Raphaël (Raffaello Santi ou Sanzio, dit en français) Renaissance - Les principes artistiques de la Renaissance Rome - Arts - Les beaux-arts - La Rome chrétienne Saint-Pierre de Rome Tiepolo Titien (Tiziano Vecellio, dit en français) trompe-l'oeil Véronèse (Paolo Caliari, dit Paolo Veronese, en français) Les livres sculpture - la Bienheureuse Ludovica Albertoni (1675), du Bernin, page 4703, volume 9 Tiepolo Giovanni Battista, page 5190, volume 10 Le baroque à travers le monde. Au milieu du XVIIe siècle, le baroque avait conquis toute l'Europe et s'était même répandu en Amérique latine et en Extrême-Orient. En se mêlant aux traditions locales, il prit une physionomie originale dans chaque pays. Le baroque espagnol et latinoaméricain se caractérisa par un décor extérieur et intérieur d'une prolixité et d'une luxuriance inconnues en Italie (Altar Mayor de San Esteban, Salamanque). En peinture, les personnalités de Vélasquez, Ribera, Murillo et Zurbarán débordèrent largement les limites du cadre baroque. Dans les pays germaniques, le baroque trouva ses défenseurs surtout parmi les architectes, qui collaborèrent souvent avec des peintres italiens ; dans les Flandres, la peinture fut à l'honneur avec Rubens. La France et l'Angleterre furent peu touchées par l'esprit baroque. Le classicisme français se contenta d'intégrer à ses réalisations quelques éléments de décoration baroques (Vaux-le-Vicomte, Versailles). Une figure toutefois se détache, celle du sculpteur Pierre Puget. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats France - Arts - Beaux-arts - Existe-t-il un baroque français ? Mexique - Arts - Beaux-arts - La période coloniale Murillo Bartolomé Esteban Puget Pierre Ribera (José de) Rubens Pierre Paul Salamanque trompe-l'oeil Vélasquez Diego Zurbarán (Francisco de) Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Contre-Réforme - Beaux-arts grotesque (style) Slodtz (René Michel, dit Michel-Ange) Les médias baroque - un art de l'amour divin Les livres baroque - Retable dédié à Notre-Dame de l'Assomption (église de Collioure), page 558, volume 1 baroque - Extase de Sainte Thérèse, page 558, volume 1 baroque - la chaire de Saint-Pierre de Rome, page 558, volume 1 Architecture Dans un premier temps, le baroque, qui est avant tout le style de la Contre-Réforme, s'est principalement exprimé dans des édifices religieux. Rome, chef de file de la religion catholique, devint le lieu privilégié de ce style. L'architecture baroque adopta des plans longitudinaux et elliptiques, et apporta de nombreuses transformations dans le traitement de la façade, l'animant de pilastres, colonnes, frontons et statues. L'ensemble concourt à donner une impression de tension et de mouvement. L'architecture devint véritablement baroque avec le Bernin, dont l'influence a été immense. Son oeuvre, plus que toute autre, incarne le but de tout l'art du XVIIe siècle : « étonner et émerveiller «. Parmi ses réalisations majeures, il convient de citer son baldaquin pour Saint-Pierre de Rome (1633) - oeuvre qui, par ses dimensions, tient autant de l'architecture que de la sculpture -, et surtout l'église Saint-André du Quirinal (1678). Grand rival du Bernin, Francesco Borromini s'inspira de l'Antiquité tardive pour des oeuvres d'une originalité et d'une complexité déconcertantes. Quoique fort controversée, son oeuvre a exercé une influence au moins égale à celle du Bernin. L'un des continuateurs romains de ces deux grands maîtres fut Pierre de Cortone. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Bernin (Gian Lorenzo Bernini, dit en français le) Borromini (Francesco Castelli, dit Francesco) colonne escalier fronton Italie - Arts - Beaux-arts - L'âge du baroque Pierre de Cortone (Pietro Berrettini, dit Pietro da Cortona, en français) Quirinal (mont) Rome - Arts - Les beaux-arts - La Rome chrétienne Saint-Pierre de Rome La diffusion du baroque hors de Rome. L'Italie dans son ensemble adopta rapidement le style baroque. Les architectes les plus originaux du baroque italien sont Baldassare Longhena (1597-1682) (Santa Maria della Salute, à Venise) et Guarino Guarini (Santa Sindone, à Turin). Dans le reste de l'Europe, le baroque connut des fortunes diverses. En France, le classicisme naissant adopta avec beaucoup de réticence certains de ses enseignements (église du Val-de-Grâce à Paris), avant d'être à l'origine du rococo avec l'art rocaille. De même, l'Angleterre n'adhéra jamais réellement au baroque. L'architecte anglais le plus important à s'y être d'une certaine manière rallié est Christopher Wren (dôme de Saint Paul de Londres). En revanche, les pays germaniques l'utilisèrent avec beaucoup d'enthousiasme et d'originalité. L'art autrichien en particulier connut là son premier âge d'or avec les architectes Fischer von Erlach (église Saint-Charles-Borromée de Vienne), Lukas von Hildebrandt (église Saint-Pierre de Vienne) et Jakob Prandtauer (abbaye de Melk). En Allemagne, le style baroque fut surtout à l'honneur dans les États du Sud, restés catholiques. Les oeuvres les plus significatives sont l'église Saint-Jean-Népomucène de Munich, l'abbatiale d'Ottobeuren (J.M. Fischer) et l'église de la Wies (D. Zimmermann). Mais c'est dans la péninsule Ibérique et plus tard dans ses colonies sud-américaines que le baroque devait connaître ses prolongements les plus durables et les plus exubérants. Les architectes les plus réputés de cette période sont les trois frères Churriguera, auxquels le baroque espagnol doit son surnom de « churrigueresque «. Enfin, par sa durée, longue de trois siècles, et par l'étendue de sa zone d'influence, le baroque latinoaméricain représente un des plus importants courants de l'art occidental. Parmi une grande profusion d'oeuvres, citons la cathédrale de Mexico, l'église d'Acatepec, l'église des Jésuites à Cuzco (Pérou), l'église Saint-François à Ouro Preto et l'église Congonhas do Campo, avec ses statues de prophètes (Brésil). Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Amérique latine Amérique latine - Beaux-arts Churriguera C uzco Fischer von Erlach Johann Bernhard Guarini Guarino Hildebrandt (Johann Lucas von) Mexique - Arts - Beaux-arts - La période coloniale Ouro Preto rocaille r ococo Val-de-Grâce (le) Vienne - L'art à Vienne - Néoclassicisme et Biedermeier Wren (sir Christopher) Zimmermann Dominikus Les livres Hongrie - l'ancien château de la famille Esterházy, à Fertöd, page 2398, volume 5 Hongrie - Chapelle baroque à Eger (XVIIIe siècle), page 2404, volume 5 Hongrie - Le palais de Fertöd, page 2404, volume 5 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats architecture - L'histoire de l'architecture stuc style Les livres baroque - l'abbaye de Melk,, page 559, volume 1 baroque - façade du Sagrario (milieu du XVIIIe siècle), page 559, volume 1 baroque - façade occidentale de la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle, page 559, volume 1 baroque - l'Entrée de saint Ignace au paradis (1685-1694), par Andrea Pozzo, page 560, volume 1 baroque - le grand escalier de la résidence de Würzburg, page 560, volume 1 baroque - l'église de la Wies, page 560, volume 1 Littérature Au XIXe siècle, le terme « baroque « désignait de façon péjorative ce qui, dans une oeuvre, est audacieux, foisonnant, violent. Au XXe siècle, la critique littéraire a au contraire valorisé cette esthétique du reflet et de l'apparence, allant jusqu'à voir des éléments de baroque dans les textes de toutes les époques et diluant ainsi la notion dans un flou inopérant. Il n'en reste pas moins que, de la poésie (Théophile de Viau, Saint-Amant, Agrippa d'Aubigné) au théâtre (Jean de Rotrou, certaines comédies de Corneille - Clitandre, l'Illusion comique -, Calderón...), un art de l'excès et de l'ostentation, un goût du travestissement et de la métamorphose, l'abolition des antinomies traditionnelles (vérité/mensonge ; vie/mort...) traduisent une vision du monde bouleversée où le hasard et l'illusion deviennent les maîtres absolus des destinées humaines. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Aubigné (Théodore Agrippa d') Corneille Pierre Rotrou (Jean de) Saint-Amant (Marc Antoine Girard, sieur de) Viau (Théophile de) Musique C'est au début du XXe siècle qu'on a appliqué cet adjectif, emprunté à l'histoire des arts plastiques, à la musique européenne composée de 1600 à 1750 environ (de Monteverdi à Bach), et que l'on définit aussi comme l'ère du style concertant. Comme Philippe de Vitry revendiquant un « ars nova «, Monteverdi exposa en 1605 sa « seconda prattica « et l'opposa à la polyphonie de la Renaissance, définissant les principes de ce style moderne. Il reprenait les opinions formulées au sein de la Camerata (cercle littéraire et musical florentin, animé par les comtes Bardi et Corsi). Esthétiquement, le fondement en est la représentation ou l'imitation de la nature : soit directement, soit par la médiation d'un texte que la musique doit rendre intelligible. Le récitatif, la mélodie accompagnée soutenue par une basse continue remplacent alors les obstacles et complexités du contrepoint. La fonction dramatique de l'art musical est affirmée, donnant naissance à l'opéra. Musicalement, l'harmonie prend le relais du contrepoint : l'accord, devenu le pivot du développement musical, permet aux différentes parties, désormais hiérarchisées et ancrées sur la basse, une autonomie plus importante qui libère la partie mélodique et diversifie les figures rythmiques. L'ère baroque est celle de la « monodie accompagnée « où se développent la virtuosité et l'individualité du soliste (ère du style concertant et développement de la couleur vocale ou instrumentale) et où se fixent les lois de la progression de la basse (ère de la basse continue), puis celles de la tonalité. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats basse concertant continuo monodie Monteverdi Claudio opéra - De l'acteur au chanteur polyphonie récitatif L'évolution de la musique baroque. Les historiens ont divisé cette période musicale en trois phases (1580-1630, 16301680 et 1680-1730). Dans la première, qui fut avant tout italienne, le refus du contrepoint, la libération harmonique et rythmique donnèrent une expressivité parfois « baroque « (Carlo Gesualdo, Andrea Gabrieli) ; vint ensuite l'apogée, qui correspond aux formes germanique et française. La période centrale fut celle du bel canto, marquée par l'éclosion des grandes formes vocales de l'opéra et de la cantate (Scarlatti, Lully, Schütz) ; le développement harmonique se régularisa. La dernière phase (baroque tardif) permit, avec l'affermissement de la tonalité, la construction de structures formelles libérées du strict modèle linguistique (la sonate) et assura le développement instrumental de la musique « pure « (Corelli, Vivaldi, Rameau). Parmi le vaste répertoire de l'époque baroque, on peut citer quelques oeuvres particulièrement significatives, comme les Madrigaux de Monteverdi, les Cantiones sacrae d e Schütz, la M esse en si de Bach, D idon et Énée de Purcell, le T e Deum d e Charpentier, Atys de Lully, Hippolyte et Aricie de Rameau. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Bach Johann Sebastian (ou Jean-Sébastien) bel canto Charpentier Marc Antoine contrepoint Corelli Arcangelo Frescobaldi Girolamo Gabrieli - Gabrieli Andrea Gesualdo Carlo Hippolyte et Aricie Keiser Reinhard Lully (Giovanni Battista Lulli, dit Jean-Baptiste) Monteverdi Claudio opéra - De l'acteur au chanteur - Le règne de la virtuosité vocale ornementation Purcell Henry Rameau Jean-Philippe Scarlatti - Scarlatti Alessandro Scarlatti - Scarlatti Domenico Schütz Heinrich Vivaldi Antonio Lucio Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats cantate clavecin fugue Monteverdi Claudio ornementation sonate Les livres instruments de musique - le Concert, de Nicolas Tournier (1590-1657), page 2545, volume 5 baroque - Hippolyte et Aricie (1733), de Rameau, page 561, volume 1 baroque - Thésée (1675), de Lully (gravure de Chauveau, XVIIe siècle), page 561, volume 1 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats décoratifs (arts) - Du Moyen Âge au XIXe siècle Les indications bibliographiques A.-L. Angoulvent, l'Esprit baroque, PUF, « Que sais-je? «, Paris, 1994. C.-G. Dubois, le Baroque en Europe et en France, PUF, Paris, 1995. J. Rousset, la Littérature de l'âge baroque en France : Circé et le Paon, Corti, Paris, 1989. R. Stricker, Musique du baroque, Gallimard, Paris, 1968.
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« Michel-Ange (Michelangelo Buonarroti, dit) Pierre de Cortone (Pietro Berrettini, dit Pietro da Cortona, en français) Pozzo (Andrea, dit le Père) Raphaël (Raffaello Santi ou Sanzio, dit en français) Renaissance - Les principes artistiques de la Renaissance Rome - Arts - Les beaux-arts - La Rome chrétienne Saint-Pierre de Rome Tiepolo Titien (Tiziano Vecellio, dit en français) trompe-l'œil Véronèse (Paolo Caliari, dit Paolo Veronese, en français) Les livres sculpture - la Bienheureuse Ludovica Albertoni (1675), du Bernin, page 4703, volume 9 Tiepolo Giovanni Battista, page 5190, volume 10 Le baroque à travers le monde. Au milieu du XVII e siècle, le baroque avait conquis toute l'Europe et s'était même répandu en Amérique latine et en Extrême-Orient.

En se mêlant aux traditions locales, il prit une physionomie originale dans chaque pays.

Le baroque espagnol et latino- américain se caractérisa par un décor extérieur et intérieur d'une prolixité et d'une luxuriance inconnues en Italie (Altar Mayor de San Esteban, Salamanque).

En peinture, les personnalités de Vélasquez, Ribera, Murillo et Zurbarán débordèrent largement les limites du cadre baroque.

Dans les pays germaniques, le baroque trouva ses défenseurs surtout parmi les architectes, qui collaborèrent souvent avec des peintres italiens ; dans les Flandres, la peinture fut à l'honneur avec Rubens.

La France et l'Angleterre furent peu touchées par l'esprit baroque.

Le classicisme français se contenta d'intégrer à ses réalisations quelques éléments de décoration baroques (Vaux-le-Vicomte, Versailles). Une figure toutefois se détache, celle du sculpteur Pierre Puget. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats France - Arts - Beaux-arts - Existe-t-il un baroque français ? Mexique - Arts - Beaux-arts - La période coloniale Murillo Bartolomé Esteban Puget Pierre Ribera (José de) Rubens Pierre Paul Salamanque trompe-l'œil Vélasquez Diego Zurbarán (Francisco de) Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Contre-Réforme - Beaux-arts grotesque (style) Slodtz (René Michel, dit Michel-Ange) Les médias baroque - un art de l'amour divin Les livres baroque - Retable dédié à Notre-Dame de l'Assomption (église de Collioure), page 558, volume 1 baroque - Extase de Sainte Thérèse, page 558, volume 1 baroque - la chaire de Saint-Pierre de Rome, page 558, volume 1 Architecture. »

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