L'Accompagnatrice de Nina Berberova (fiche de lecure)

« compositeursrusses:Tchaïkovski (1936),Borodine (1938). Après l'Occupation, elle rédige la page littérairehebdoma daire duquotidien russe,La Pensée russe.

L'Accompagna triceparaît en 1935 et se trouve repris dans un recueilde textes courts intitulé L'Allégement du destin — quiréunit aussi: «L'Allégement dudestin» (1939), «Roquenval» (1936), « LeLaquais et laPutain » (1937), « LaRésurrection de Mozart» (1947) et «Lamentation» (1942). Mais Nina Berberova ne supporte pas les illusions dont se nourrissent les intellectuels français de l'époquesur la révo lution russe et le régime soviétique.

En 1950, elle émigré donc aux États-Unis et, grâce à un mariage blanc, obtient sa naturalisation en 1954.

Elle enseigne,jusqu'en1971, dans desuniversités américaines (Yaleet Princeton).

Elle conti nue à écrire : Le Cap destempêtes(1950),Les Derniers et les Premiers (1950), Le Roseau pensant (1958), A la mémoire de Schliemann (1958),Le Mal noir (1959) et son autobio graphie, C'est moi qui souligne (1972).

Ensuite, elle s'en gage dans lavoie del'histoire avecsonHistoire de la baronne Boudberg, Gens etLoges. Lesfrancs-maçons russes du XXe siècle. En France, elle ne connaît la gloire que bien tard, à quatre-vingts ans passés, en 1985, lorsque paraît un de ses premiers textes, L'Accompagnatrice, qui remporte un suc cèsjamais démenti par la suite de ses publications. C'est en 1989qu'elle retourne dans son pays natal où, l'annéeprécé dente, son œuvre commençaità être publiée.. »