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L'ÂGE INDUSTRIEL ET SES CONSÉQUENCES EN EUROPE ET AUX ETATS-UNIS ENTRE 1850 ET 1939 (HISTOIRE)

Publié le 20/11/2011

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DE NOUVELLES TECHNIQUES DE PRODUCTION (p26-27)  • Le travail à la chaîne mis au point par Taylor(le taylorisme) est associé au fordisme (Henry Ford donne des salaires élevés à ses ouvriers afin qu'ils consomment). D'où l'augmentation de la production vu l'augmentation du nombre d'acheteurs. La production devient alors une production de masse, standardisée, les prix baissent.    RÔLE DES BANQUES ET DES BOURSES = NÉCESSAIRE CONCENTRATION FINANCIÈRE AFIN DE RÉUNIR PLUS DE CAPITAUX (texte3 p 25)  • Les entreprises ont recours à l'emprunt d'où le développement des banques de dépôt.  • Parallèlement les bourses de valeurs se développent   

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« C- La deuxième Révolution industrielle et la « véritable naissance du capitalisme de la fin du XIXème siècle auxannées 1930 (p20) 1- Les caractéristiques de la deuxième révolution industrielle- Entre 1870 et 1890, la plupart des pays européens ont entamé leur démarrage industriel et la concurrenceentraîne des reclassements dans les puissances (carte p17 et p28)- Le rôle de la science : les industriels ont compris que les recherches scientifiques pouvaient avoir un impactcertain sur les avancées techniques et la science devient une véritable religion sensée apportée paix, prospérité etbonheur à l'humanité.- De nouvelles sources d'énergie : pétrole, électricité associées à une innovation technique : le moteur à explosion.D'où la naissance de nouvelles industries (p20) complétant celles de la 1ère Révolution industrielle : chimique,électrique, automobile et aéronautique.- La demande est relancée à partir de 1896 (à mettre en relation avec la croissance démographique), et l'Europeentre dans la période de croissance exceptionnelle, même si la richesse et la puissance de l'Europe reposentessentiellement sur trois pays : l'Allemagne, le R-U et la France.- Des découvertes nombreuses et révolutionnaires avec des répercutions sur les progrès industriels mais aussi sur lavie de tous les jours.

(p22-23 et p20) 2- Un capitalisme renouvelé : l'accélération des pratiques capitalistes (p24à 27)Le capitalisme s'adapte aux nouvelles conditions crées par les progrès de l'industrie.

Le profit étant la finalité, lesgains de productivité deviennent essentiels : il faut gagner du temps et réglementer la concurrence.

C'est laconcentration des entreprises, la standardisation et le taylorisme qui assurent cette apogée du capitalisme.

Banqueset bourses ainsi que les sociétés anonymes par actions sont corollaires de capitalisme triomphant :• LA CONCENTRATION DES ENTREPRISES (5 page 26)- Concentration horizontale : regroupement d'entreprises fabriquant le même produit ou situées au même stade deproduction- Concentration verticale : regroupement d'entreprises réalisant des produits complémentaires.- Concentration conglomérale : regroupement dans un conglomérat d'entreprises ayant des activités différentes ouréalisant des produits complémentaires différents.- La concentration poussée à l'extrême conduit au monopole d'où la naissance de grands groupes appelés trusts auxE-U, konzern en Allemagne ou zaibatsu au Japon DE NOUVELLES TECHNIQUES DE PRODUCTION (p26-27)• Le travail à la chaîne mis au point par Taylor(le taylorisme) est associé au fordisme (Henry Ford donne des salairesélevés à ses ouvriers afin qu'ils consomment).

D'où l'augmentation de la production vu l'augmentation du nombred'acheteurs.

La production devient alors une production de masse, standardisée, les prix baissent. RÔLE DES BANQUES ET DES BOURSES = NÉCESSAIRE CONCENTRATION FINANCIÈRE AFIN DE RÉUNIR PLUS DECAPITAUX (texte3 p 25)• Les entreprises ont recours à l'emprunt d'où le développement des banques de dépôt.• Parallèlement les bourses de valeurs se développent LES GRANDES ENTREPRISES S'ORGANISENT EN SOCIÉTÉS ANONYMES PAR ACTIONS : le capital est divisé en actions(part du capital d'une entreprise) que détiennent des actionnaires qui prennent part aux bénéfices de l'entreprise auprorata de leur apport en capital.

La valeur des actions est déterminée à la bourse par la loi de l'offre et de lademande. Les richesses produites par cette industrialisation galopante et par l'avènement d'un capitalisme fondé sur le profitentraînèrent abus et dérives (à l'origine =suppression de la pauvreté, mais on n'a vu dans le capitalisme que lePROFIT) à l'origine d'une contestation grandissante sur le plan idéologique.

Ainsi le capitalisme entraîne le marxisme(communisme). II] Le socialisme, ou l'opposition directe au libéralisme Les dérives d'un capitalisme presque exclusivement préoccupé par la recherche du profit, entraîna une vive critiquetant sur le fond que sur la forme.

Quelques bourgeois en rupture avec leur classe d'origine, prirent la défense dumonde ouvrier naissant face à la toute puissance du patronat. A- LA PENSÉE SOCIALISTE, UNE IDÉOLOGIE ANCIENNE. Sans remonter à Platon (cf La République) ou à Thomas More au XVIème siècle, dans Utopie, c'est au XIXème siècleque la pensée socialiste moderne se mit en place.

La France fut un des pays porte flambeau.

A l'instar de GracchusBaboeuf (fin XVIIIème) considéré comme le précurseur du communisme, Charles Fourier ou encore Pierre-JosephProudhon plaident en faveur d'une critique de l'État et du pouvoir sous quelque forme que ce soit.

Proudhon sedéfinissait lui-même comme le premier anarchiste (=suppression du pouvoir).

Il réalise une critique virulente dulibéralisme et de ses pratiques tout en dénonçant le sort inhumain réservé au prolétariat naissant.

Bien qu'extrêmesdans le discours, ils sont considérés par Karl Marx comme des « socialistes de salon.

» B- LE MARXISME ET SES FONDEMENTS. »

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