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J'aime mon village plus que ton village, j'aime ma province plus que ta province, j'aime la France plus que tout !

Publié le 18/05/2012

Extrait du document

Il  est bon que le Sentiment patriotique se précise dans l'amour d'un lieu donné, que nous connaissons bien, auquel nous sommes attachés par les mille liens de l'habitude, des coutumes, du foyer. La France est constituée par un ensemble de provinces, de terroirs, qui, tout en étant très variés par l'origine et les caractères, n'en forment pas moins son harmonie et son unité....

« .---~~~~~-~-~~~----~~~~~~~~~--~~- ~~~~~~~-----.,- -&- possède encore, en mettre en vaieur les vestiges.

Parmi oes sou­ venirs du passé, la langue locale, le dialecte de la province ap­ pa.ratt au premier plan.

On doit empêcher que cette langue ne meure tout à fait.

Non seulement en s'appliquant à la parler on donne au village plus de couleur et de vie, on lui permet de m~eux comprendre son histolr.e, mais on se développe soi-même.

Souvent, les vieux dial,ectes locaux nous apprennent à mieux saisir les premières formes du français ou des autres langues romanes, et tout en ne la séparant pas d·e l'étude du français, l'étude des dialectes- nous cultive et nous.

enrichit par l'exerciœ de la traduction, de la version, répandu constamment dans la vie quotidienne.

Nous apprenons ainsi à nous servir plus adroitement du français, à trouver en lui de nouvel'les r·essources.

Soyons fiers également des vieux usag·es de la province, remettons-les en hon­ neur, faisons-e11 admirer la couleur et le pittoresque.

Enfin cher­ chons, même au point de vue économique, à a décentraliser »; n'achetons pas, de parti pris, à Paris·; faisons gagner aussi les gens de l'endroit, c'est un moyen de faire revenir un peu de vie au cœur du village.

La patrie nous est plus chère si elle se résume dans le lieu où nous vivons, le toit qui nous abrite, les êtres aimés qui y vivent, Quand Lamartine, loin de Franoe, souffre de l'exil, c'est. »

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