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Alexander von Humboldt

Publié le 20/03/2012

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Au mois de juin 1799, Humboldt et Bonpland arrivaient à Cumana, à l'est de Caracas, sur la côte de ce qui s'appelle aujourd'hui le Venezuela. Tout d'abord, ils désiraient reconnaître l'Orénoque. Ensuite, ils voulaient vérifier si l'Orénoque et le rio Negro communiquaient effectivement entre eux comme l'avait affirmé La Condamine. Mais on leur dit à Cumana qu 'un tel voyage n'était possible qu'après la saison des pluies. Les deux hommes passèrent donc quelques mois à recueillir des animaux et des plantes dans la région entourant Cumana....

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« il héritait une petite fortune, mais les liens étroits qui l'unissaient à la Prusse s'estompaient dans le même temps.

Il démissionna de ses fonctions d 'officier ministériel et s'adonna à l'étude de l ' astronomie et des méthodes de mesure scientifi­ ques qu'il pourrait utiliser lors des voyages loin­ tains qu'il effectuerait plus tard.

Ensuite , il partit pour Paris, capitale des sciences en Europe.

A l'automne de 1798, Humboldt quittait Paris, accompagné par le botaniste français Aimé Gou­ jaud Bonpland (1773-1858) , un médecin français qui se sentait davantage attiré par la flore .

Les deux hommes étaient des compagnons idéaux.

Lorsque Humboldt décrivit ses voyages en Améri­ que du Sud, il parla en ces termes de Bonpland: "Je fus aidé par un ami courageux et intelligent et , ce qui contribua certainement pour une large part à la réussite du travail commun , un ami dont l'enthousiasme et la sérénité ne l' abandonnaient Ci -d ess u s: Dess in tiré du livre de Humboldt .

N ou s le v oy on s a vec Bonpland dans un paysa F?e de plaine et de m o ntaF?n es.

Les deu x homme s contribu ère nt f?rand e­ ment à la connai ssanc e de l'Am é­ riqu e du Sud , d'une mani ère qui d emeure très actu ell e.

jamais au milieu des fatigues et des périls auxquels nous étions parfois exposés.' 1 Lorsque Humboldt et Bonpland quittèrent la ca­ pitale française, Marseille n'était pas leur destina­ tion ultime, car ils devaient rejoindre en Egypte la Commission scientifique que Bonaparte avait em­ menée.

Ne pouvant embarquer à Marseille à cause du blocu s, ils auraient voulu se rendre en Afrique du Nord, en passant par l'Espagne .

Mais, à leur · vive déception, le duc d'Alger refusait le passage sur son territoire.

Ils se mirent quand même en route vers l'ouest, franchiss ant les Pyrénées pour atteindre l'Espagne.

Et, alors, ce fut un monde entièrement nouveau qui s 'ouvrit aux deux hom ­ mes .

Le s titre s de noblesse d'Humboldt lui donnè­ rent accès à la cour, ce qui lui permit d'obtenir l'autorisation de se rendre dans les colonies espa­ gnoles de l'Amérique Centrale et de l'Amérique du Sud.

L'empire espagnol d'outre-mer était en. »

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