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Analyse de la bande audio de Phone Game

Publié le 10/11/2012

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Un film de Joel Schumacher Analyse de la bande sonore. Langage & Média 1 Licence L1 M.-I. Phone Game, réalisé par Joel Schumacher, est un thriller américain mettant principalement en scène Colin Farrell, et Forest Whitaker. L'objet de cet exposé sera l'analyse de la bande-son du métrage, de la musique, aux effets, en passant par les bruitages. Nous verrons les particularités de celle-ci, dans chaque acte du film (Problématisation, Déroulement de l'histoire, et dénouement), et tenterons d'en déduire un sens précis. Une introduction sonore qui pose le contexte. Le film est introduit par une chanson, nommée Operator, qui pose admirablement la base du film : Le téléphone. Extrait des paroles : Mais, seul, ce thème peut désigner une large gamme d'histoires et de problématiques. C'est pourquoi la musique subit une transition dans un brouhaha urbain, plein de sons de voitures, de sirènes, le tout mêlé aux voix et chants des passants. Cette transition est intéressante et incrémente le contexte de plusieurs informations importantes : La rue comme principal lieu d'action, et un rythme qui sera surement effréné (Insinué par l'enchaînement rapide et la proximité de chacun des effets auxquels est confronté le public, ainsi qu'à travers une composition musicale axée sur les basses). De plus, d'autres effets sonores plus subtils sont à écouter pour comprendre les bases du film. En effet, nous pouvons percevoir un certain nombre d'effets de numérisation vocale extrêmement parasitée, de bruitages représentant, dans le monde de l'électronique, la connexion avec un opérateur quelconque (Synthèse musicale des évènements électroniques subits par les modems, sous forme de bips plus ou moins longs), de sonneries de téléphones, et même de sons de pièces qu'on insère dans une borne publique. Le t&eac...

« Phone Game, réalisé p ar Joel Schumacher, est un thriller américain mettant principalement en scène Coli n Far rell, et Forest Wh itaker .

L ’objet de cet exposé sera l ’analyse de la bande -son du métrage, de la musique, aux effets, en passant par les bruitages.

Nous verrons les particula rités de cell e-ci, dans chaque acte du film (Problématisation, Déroulement de l ’histoire, et dénouement), et tenterons d ’en déduire un sens précis .

Une introduction sonore qui pose le contexte. Le film est introduit par une ch anson, nommée Operator, qui pose admirablement la base du film : Le téléphone. Mais, seul, ce thè me peut désigner une large gamme d ’histoires et de problématiques.

C ’est pourquoi la musique subit une transition dans un brouhaha urbain, plein de sons de voitures, de sirènes, le tout mêlé aux voix et chants des passants.

Cette transition est intéressante et incrémente le contexte de plusieurs informations importantes : La rue comme principal lieu d ’action, et un rythme qui sera surement effréné (Insinué par l ’enchaînement r apide et la proximité de chacun des effets auxquels est confronté le public , ainsi qu ’à travers une composition musical e axée sur les basses ).

De plus, d ’autres effets sonores plus subtils sont à écouter pour comprendre les bases du film.

En effet, nous pouvons percevoir un certain nombre d ’effets de numérisation voca le extrêmement parasitée, de bruitages représentant , dans le monde de l ’électronique , la connexion avec un opérateur quelconque (Synthèse musicale des évènement s électroniques subits par les modems, sous for me de bips plus ou moins longs), de sonneries de téléphones, et même de sons de pièces qu ’on insère dans une borne publique. Le téléphone : problématique, déroulement, dénouement. Après cette brève mais très complète introduction au contexte, c ’est une voix off qui conte au public l ’histoire, l’évolution et la situation actuelle de la téléphonie, qu ’elle soit mobile ou publique.

On peut discerne r deux étapes à cette narration , entrecoupées de certaines situations sonores précises : 1- Le narrateur expliqu e la situation de la téléphonie d u début à nos jours. 2- Un mixage de cen taines de discussions téléphoniques se déclenche en crescendo, pour montrer à quel point la téléphonie est présente et envahissante de nos jours. 3- La narrateur enchaîne sur la présentation du lieu de l ’action précis : La cabine téléphonique de la 53 ème , dans la 8 ème Avenue.

Il en donne une description rapide, puis annonce le personnage principal : Stu , qui est au télé phone lui aussi. Le téléphone est donc ici, par l ’intermédiaire de la Bande -Son, l ’élément déclencheur du film.

C ’est grâce à lui que l’histoire se déroule, et que le personnage est présenté en introdu ction. (La musique s ’est arrê tée l ors du passage au personnage, pour laisser la place majoritaire à sa discussion, et ainsi présenter : Son caractère, sa personnalité …).

On entend d ’ailleurs au même volume que lui ses multiples interlocuteurs.

La musique reprend normalement après cette présentation, bie n que sa conversation continue.

(Surement du fait que le public n ’a plus à se focaliser sur sa description, il a tout com pris de lui en quelques paroles. Les conversations de même type reprennent , encore et encore , avec vitesse .) La musique du film : Du rythme, de l ’action. La musique du film, composée par Harry Gregson -Williams, est adaptée à chaque scène : Des basses et de la surcharge pour situer l ’action urbaine, d es rythmes funky, pour les scènes banales de départ mettant en avant la personnalité du personnag e, du s uspens et un côté mystérieux mais entraînant (Composé par exemple de bruita ges en reverse, ou de crescendos grinçants, etc …) lors des scènes pour lesquelles des questions se posent, de la rapidité ainsi que des percussions marquées pour l es scènes de détresse explosive s, et des mélodies plus douces mais tout de même dotée s d’un e certain e électricité pour les scènes durant lesquelles Stu est épris de peur, de désarroi, ou de sentiments forts. Extra it des paroles :. »

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