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Après Avoir présenté le rôle de L'École comme instance D'Intégration, vous exposerez les difficultés Auxquelles elle se Heurte Pour Assurer cette Fonction

Publié le 14/11/2011

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La fonction d'intégration de l'école à des limites et les inégalités persistent. Il y a la dévaluation du diplôme qui créer une désillusion auprès des diplômés qui pensaient avoir un niveau suffisamment important pour trouver un travail. Cette désillusion ce ressent particulièrement dans les familles modestes car elles n'ont pas pu se renseigner suffisamment sur les filières à débouchées (doc3 – question 5). Les classes populaires réussissent d'ailleurs toujours statistiquement moins bien. Il y a donc un maintient des inégalités sociales par l'école qui ne prépare pas suffisamment à la vie professionnelle. Un peu plus de la moitié des parents interrogés lors d'un sondage en 2006, déclarent trouver que l'école ne prépare pas suffisamment à la vie professionnelle. (doc2)  La démocratisation de l'école, qui, on aurait pu croire réductrice des inégalités, à en réalité des effets pervers. On le constate avec le paradoxe d'Anderson. On remarque que les fils qui ont un diplôme supérieur à leur père (70%) n’ont pas une position sociale supérieur à leur père (39%). Donc le diplôme n'a pas de réel lien sur l'intégration. Cela est dû au fait que les structures éducatives augmentent plus vite que la structure sociale.

« supérieurs.Dans les années 50, la démocratisation scolaire permet l'accès à une école gratuite et laïque, favorisant ainsil'intégration scolaire.

De plus l'école est devenu obligatoire jusqu'à l'age de 16.

L'école n'est donc plus un choix maisune obligation. L'école permet une intégration professionnelle, elle permet d'atteindre un diplôme, qui sera lui même facteur desocialisation.

C'est pour cela que l'école permet l'accès à diverses diplômes, et surtout à celui qui nous convient.Parmi les nombreuses matières enseignées, l'individu va pouvoir se spécialiser dans ce qui l'aime, ceci lui permettrade trouver sa voie.Peu à peu l'étudiant entre dans la vie professionnel en faisant l'acquisition de nouvelles notions et connaissances.

Ilpourra ensuite les concrétiser en passant divers examens comme le Brevet ou le Bac, qui sont des diplômes reconnupar l'état et qui permette l'insertion professionnelle.On voit d'ailleurs qu'il y a une inflation des diplômes dû à la massification de la scolarité, ce qui signifie que l'accèsest facilité.L'individu acquiert de nombreuses compétences qui vont lui permettre de trouver un travail et de s'insérer dans lavie professionnelle.

L'insertion professionnelle se fait d'abord par le diplôme et donc par l'école.

Il est difficiled’espérer un emploi lorsque l'on ne possède aucune qualification.Le travail permet la connaissance du monde et de la vrai vie( par exemple les problèmes d'entreprise...

).

L'individun'est généralement plus suivit et doit être alors faire preuve d'autonomie tout en ayant parfois des responsabilités.Par sa rémunération l'individu va s'intégrer au monde sociale et va commencer à faire marcher l'économie ( il vaconsommer, payer des impôts ect..), il sera alors intégré ! Malheureusement l'intégration ne se fait pas toujours aussi parfaitement.

Car l'école se heurte à des difficultés pourassurer sa fonction d'intégration.

Il y a toujours des inégalités d'accès à l'éducation qui persistent et nous verronsque cette intégration à des limites. L'école rencontre des difficultés, comme un inégal accès.

Les milieux populaires ont moins de capital culturel.

Lesindividus partent déjà avec des inégalités lorsqu'ils sont issus de familles modestes : d'après Bourdieu, leur capitaléconomique, culturel et social, moins conséquents que des classes modestes, vont déjà déjà les désavantager.

Unfaible capital culturel créera un retard par rapport à ce qui est enseigné à l'école.

D'après Bernstein, ils existentdifférents types de langage correspondant à différentes classes : le langage formel et le langage informel.

Lelangage formel sera employé par les classes supérieurs et le langage informel plutôt par les classes populaires, cesera un langage restreint et pas toujours compréhensible, qui nuira peut-être à l'intégration et à la réussite ( ex :lors d'un entretient).

(doc3)Les familles populaires ont aussi moins de moyens financier.

Un faible capital économique jouera sur la réussitescolaire de l'enfant car ses conditions de travail ne seront pas optimals (exemple : pas de bureau, beaucoup de bruitect...).

De même le capital économique joue sur le capital culturel (pouvoir aller au théâtre ou au musée).

Toutcomme l'accès à des écoles supérieurs qui seront souvent chères ou bien les concours.

(doc3)De plus, l'école traite tout les individus également, or nous sommes tous différents, c'est ce qu'explique Bourdieu :l'école légitime les inégalités de départ.

Il y a souvent une valorisation du capital culturel.

Ceux qui ont capital socialet culturel important réussiront mieux.

Tout cela entraînera des inégalités de réussite.Il faut donc parfois renoncer aux égalités pour une justice sociale.

La société ne peut pas toujours être égalitaire, ilfaut donc traiter équitablement les individus.

La justice sociale permettra donc à certains individus de mieux réussircomme lors de certains concours, où un pourcentage d'individu est admis par entretient.

Cela entraîne desinégalités.

(question 4)De plus, la famille contribue à la reproduction sociale.

L'école aura du mal à intégrer les individus qui ont déjà desinégalités.

Car la famille contribue a la reproduction sociale et transmettra déjà un capital économique et culturel quidésavantageront les individus issus d'une famille populaire.

( question 6 document 3 et 4) La fonction d'intégration de l'école à des limites et les inégalités persistent.

Il y a la dévaluation du diplôme qui créerune désillusion auprès des diplômés qui pensaient avoir un niveau suffisamment important pour trouver un travail.Cette désillusion ce ressent particulièrement dans les familles modestes car elles n'ont pas pu se renseignersuffisamment sur les filières à débouchées (doc3 – question 5).

Les classes populaires réussissent d'ailleurs toujoursstatistiquement moins bien.

Il y a donc un maintient des inégalités sociales par l'école qui ne prépare passuffisamment à la vie professionnelle.

Un peu plus de la moitié des parents interrogés lors d'un sondage en 2006,déclarent trouver que l'école ne prépare pas suffisamment à la vie professionnelle.

(doc2)La démocratisation de l'école, qui, on aurait pu croire réductrice des inégalités, à en réalité des effets pervers.

On leconstate avec le paradoxe d'Anderson.

On remarque que les fils qui ont un diplôme supérieur à leur père (70%) n’ontpas une position sociale supérieur à leur père (39%).

Donc le diplôme n'a pas de réel lien sur l'intégration.

Cela estdû au fait que les structures éducatives augmentent plus vite que la structure sociale.Il faut donc chercher plus loin : l'inflation du diplôme.

Un homme qui avait bac+2 en 1970 avait un salaire 4,76 foissupérieur qu’une femme sans diplôme, alors qu’aujourd’hui cette différence est de 3,26 fois.

Passeron explique quece constat provient d’une évolution entre deux structures éducationnelles : la répartition hiérarchique des diplômesqui évolue plus vite que la répartition hiérarchique des positions sociales.

L’inflation est un effet pervers ducomportement des individus et va rompre de plus en plus le lien entre diplôme et position sociale.

Un haut diplômene signifie donc plus une position plus haute ou une meilleure intégration. Ainsi nous avons vu le rôle important et complexe de l'école, également elle rencontre des problèmes qui créer unevision pessimiste.

Avec l'évolution des structures nous sommes emmené à aller toujours plus loin pour une meilleure. »

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