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Autrui

Publié le 04/01/2013

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  I)                   Quelques visions d’autrui A)     Husserl : l’autre un autre moi ? Un alter égo Qu’est ce que l’autre ? Husserl pense l’autre comme alter égo, un autre moi, un semblable. Husserl part du moi et estime que le moi vois autrui comme s’il se voyait dans une glace. L’autre renvoie de par son sens. Je transpose le sens de mon corps à son corps en vertu de ce que Husserl appelle un accouplement originaire : l’œuvre de cet accouplement est d’appréhender un des membres conformément au sens de l’autre. Cela ne se fait pas sous forme de raisonnement. L’autre est considéré à mon image. Husserl va pour autant rectifier cette formule. Il dit et pourtant ce n’e...

« Autrui voit le gazon vert mais le vert du gazon tourne vers autrui quelque chose qui m'échappe.

Pour Sartre un objet est apparu qui m'a volé le monde.

Un monde fait donc l'objet de plusieurs appréhensions qui peuvent déstabiliser car mes jugements ou valeur ne sont par forcement les siennes à décentration à remise en cause de mes jugements, appréhension N'est ce pas une vision un peu trop péjorative. Cette percée de mon univers. En plus autrui m'atteint dans ma liberté.  Le regard que j'ai sur autrui. Remarque : Lorsque je vois autrui je le perçois comme objet. Je le saisis comme un sujet à comme un individu singulier il déploie des distances qui lui sont propres. La conscience d'être regarder apparait pas mal dans des activités quotidiennes.

Si je suis en train de regarder par un trou de serrure pour voir si une personne est vraiment là.

Ma conscience est entièrement absorbé par ce qu'elle fait et elle justifie, elle colle à mes actes.

Il n'y a pas de dédoublement.

Des pas se font entendre je me sens regardé, Sartre dit que je prends conscience de moi comme objet que regarde l'autre. On peut considérer que je crains son jugement et la crainte que je ressens et celle que j'éprouve devant l'être indéterminé et l'être imprévisible d'autrui, autrui peut me juger et les jugements de l'autre sont inaccessibles. Etre regarder c'est ne plus être maitre de la situation.

Par le regard de l'autre j'apparais vulnérable. Ex : Je crache par terre on  me donne d=le sens que je suis sale. Le regard de l'autre me réduit à l'Etat d'objet.

Sartre dit qu'alors j'ai un dehors et une nature. Je suis uniquement « celui qui... »à Objéifié Autrui me colle une étiquette à Je ne suis plus cette conscience libre qui s'invente elle-même et peut toujours être autre chose qu'elle-même. Le regard d'autrui m'amène à avoir honte de moià de la crainte à la honte il n'y a qu'un pas.

J'ai honte d'être comme autrui me voit.. »

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