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Avec la situation actuelle de nos sociétés, la mondialisation et le mode de vie des sociétés occidentales, peut-on parvenir à la justice sociale ?

Publié le 09/09/2012

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mondialisation

La justice sociale est depuis le début des civilisations un enjeu important des sociétés. Les frictions ont toujours existé entre la classe royale et la masse, aristocrates et peuple, riches et pauvres, femmes et hommes, urbains et villageois. Dans le monde d’ajourd’hui, certaines sociétés ont fait des avancés remarquées pour diminuer les écarts entre les classes sociales et garantir un minimum pour que tous les membres de leurs sociétés vivent avec diginté. D’autres trainent encore la patte et le fossé est encore vaste entre les différents groupes. Avec la situation actuelle de nos sociétés, la mondialisation et le mode de vie des sociétés occidentales, peut-on parvenir à la justice sociale? C’est une question difficile à répondre. Le concept de justice sociale est très légitime et honorable, mais est-il réalisable? Est-ce que l’homme est prêt à donner à son voisin sans lui demander des comptes? Est-ce que nos gouvernements ont la volonté politique pour avancer la justice sociale? Est-ce que nos systèmes politiques sont adaptés pour favoriser une justice sociale durable? Toutes ces questions nous laissent perplexe face à l’atteinte de la justice sociale. Certes, certains axes de la justice sociale peuvent être atteints, dans certaines sociétés, durant une période de temps, mais nous croyons sincèrement qu’il serait difficile sinon impossible de parvenir à la justice sociale complète dans toutes ses facettes. Dans les paragraphes suivants, nous allons essayer de clarifier notre point de vue en prenant pour exemple la société canadienne, qui est quand même une société la justice sociale à un grand poids dans l’échiquier social de notre pays. 

mondialisation

« Introduction La justice sociale est depuis le début des civilisations un enjeu important des sociétés.

Les frictions ont toujours existé entre la classe royale et la masse, aristocrateset peuple, riches et pauvres, femmes et hommes, urbains et villageois.

Dans le monde d’ajourd’hui, certaines sociétés ont fait des avancés remarquées pour diminuerles écarts entre les classes sociales et garantir un minimum pour que tous les membres de leurs sociétés vivent avec diginté.

D’autres trainent encore la patte et lefossé est encore vaste entre les différents groupes.

Avec la situation actuelle de nos sociétés, la mondialisation et le mode de vie des sociétés occidentales, peut-onparvenir à la justice sociale? C’est une question difficile à répondre.

Le concept de justice sociale est très légitime et honorable, mais est-il réalisable? Est-ce quel’homme est prêt à donner à son voisin sans lui demander des comptes? Est-ce que nos gouvernements ont la volonté politique pour avancer la justice sociale? Est-ceque nos systèmes politiques sont adaptés pour favoriser une justice sociale durable? Toutes ces questions nous laissent perplexe face à l’atteinte de la justice sociale.Certes, certains axes de la justice sociale peuvent être atteints, dans certaines sociétés, durant une période de temps, mais nous croyons sincèrement qu’il seraitdifficile sinon impossible de parvenir à la justice sociale complète dans toutes ses facettes.

Dans les paragraphes suivants, nous allons essayer de clarifier notre pointde vue en prenant pour exemple la société canadienne, qui est quand même une société où la justice sociale à un grand poids dans l’échiquier social de notre pays. Définition de la justice sociale D’après l’encyclopédie en Ligne Wikipedia, « La justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et à la solidarité collective.

En termes de développement , la justice sociale est vue comme le croisement du pilier économique et du pilier social du développement durable .

» D’après le site Brise.org, « La justice sociale est une construction morale et politique.

En ce sens, elle est le résultat d'une série de choix collectifs sur ce que doiventêtre les clefs de répartition entre les membres d'une société.

»La justice sociale découle de plusieurs principes (Réf www.brise.org) : un principe d'égale liberté : toute personne a un droit égal aux libertés fondamentales, pourvu que cela soit compatible avec la liberté de tous.

Cela signifie quechacun aura les mêmes droits et devoirs de base.un principe d'égalité des chances : les personnes ayant le même talent doivent avoir la possibilité d'accéder à des positions sociales identiques.

Quelle que soitl'origine sociale, géographique ou le sexe d'un individu, la société doit lui garantir la possibilité d'accéder aux statuts de son choix.un principe de différence : les membres les moins avantagés de la société peuvent être traités différemment, à partir du moment où cela reste à leur bénéfice et aubénéfice de la collectivité toute entière.

C'est ce principe qui permet d'associer la notion d'équité aux politiques d'interventions économiques et sociales commeles politiques de discrimination positive.La redistribution des richesses est un ensemble de transferts économiques entre les acteurs économiques du pays (entreprises et citoyens) organisés par les autorités politiques pour réduire les écarts de richesse entre les individus, atteindre la paix et solidarité sociale et lutter contre la pauvreté. La pauvreté dans le monde est très présente et elle est l’œuvre des hommes.

Certains s’enrichissent sur le dos des autres.

Nelson Mandela a dit : « La pauvreté n'est pas plus naturelle que l'esclavage ou l'apartheid.

Elle est créée par les êtres humains et elle peut être vaincue et éradiquée par les actions d’être humains.

» Justice sociale au Canada D’après le site de « La Journée mondiale de la justice sociale », qui est célébrée chaque année : (Réf : http://www.buonpastoreint.org/news/journe-mondiale-de-la-justice-sociale- 20-fvrier-2011-message-du-secrtaire-gnrale-1108) « La justice sociale signifie un Canada prospère pour tous ceux et celles qui demeurent et travaillent ici.

Cela inclut l’égalité d’accès pour tous aux soins de santé, àl’éducation, à des logements abordables et à des emplois sécuritaires et convenables.

Elle signifie aussi « une société égalitaire » où chacun peut exercer pleinementses droits et contribuer au même titre que les autres .

» De 1966 a 1995 De 1966 à 1995, le Canada s’est taillé une réputation d’être l’un des pays le plus équitable au monde.

La justice sociale était au centre des préoccupations descanadiens, et des gouvernements fédéral et provinciaux.

Nous nous sommes donné des outils juridiques qui favorisent la justice sociale. Constitution canadienne : Les principes de justice sociale sont encrés dans notre constitution, on y retrouve des références aux égalités des chances, des services comparables pour tous et la redistribution des richesses entre provinces. L’article 36 (1) de la constitution canadienne stipule que « Les gouvernements s’engagent à promouvoir les égalités des chances de tous les Canadiens, de leur fournir les services publics essentiels à un niveau acceptable » L’article 36 (2) de la constitution canadienne stipule que « le gouvernement fédéral s’engage à donner aux provinces des revenus suffisants pour assurer les services publics essentiels à un niveau comparable » Le gouvernement fédéral a donc la l’obligation constitutionnelle de verser aux provinces des revenus suffisants pour équilibrer les taux de taxations au pays. Régime d’assistance publique du Canada (RAPC) : le RAPC est un régime qui assure une vie décente à tous les canadiens et c’est un filet de sécurité sociale.

Avec le RAPC, plusieurs services ont été assurés aux canadiens, par exemple, l’aide sociale, le bien-être à l’enfance, le développement communautaire, l’aide juridique et les services aux personnes handicapées. De 1995 à aujourd’hui Depuis 1995, plusieurs politiques fédérales et la mondialisation ont fait en sorte que la justice sociale au Canada a regressé .

Cette dégradation a commencé lorsque, le RAPC a été aboli en 1995 et a été remplacé par la Loi d’exécution du budget .

Suite à ce changement, le transfert aux provinces a diminué, la p auvreté a augmenté et les ressources sont réaffectées à la santé.

On a assisté à des compressions draconiennes du fédéral, des coupures à l’assurance-emploi et à l’aide social.L’objectif de déficit zéro des gouvernements a pour conséquence de couper dans les services publique s.. »

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