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Aveu de Phèdre à Oenone

Publié le 22/01/2013

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Aveu de Phèdre à Oenone Aveu de son amour pour Hippolyte à Oenone, scène de grande nue dramatique. Premier des trois aveux de phèdre, aveu coupable, aveu passionné, aveu désespéré. forme classique en alexandrin, dialogue qui se caractérise par une effet de stichomythie, se termine sur un monologue de phèdre. De quel manière Racine rend il cette scène, vue et revue par les plus grand ? I Un aveu, un combat entre Phèdre et Oenone A retardée retrouve la maîtresse, la reine et la nourrice. Personnage de la nourrice est tout aussi impliqué. Deux force qui lutte l'une contre l'autre et l'une avec l'autre. L'aveu n'arrive qu'en fin de scène > v265-268. Aveu retardé dans la structure. Oenone pousse phèdre à parler, sentiment de curiosité et d'empressement, tirad...

« esprit perdu.

fureur n’est plus elle même, est aveuglé.

c’est la parole qui fait le crime.

→ lutte intérieur entre son mental et sa passion, le désir surpasse la raison héros consumé par une passion que le dépasse, est déchirée mentalement.

propose une révision de l’aveu de Phèdre sur une base antique qu’il ramène à des effets classiques, des vers emprunts de violence, comprend que Phèdre est coupable sans l’être puisque vient de la folie de l’amour.

Elle est une juste pécheresse.

«juste pécheresse» : un janséniste qualifie Phèdre de ce terme.

dynamique de la scène retardement, sert de suspens dramatique.

héroïque qui ralenti → l’action, et personnages annexes qui sont la pour faire avancer la scène (cf Barthes).. »

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