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N'y a-t-il de bonheur que dans l'au-delà ?

Publié le 27/02/2008

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On peut évidemment soi-même la qualifier d'évidente et donc l'admettre comme telle mais cela montre un point de vue subjectif, un dogmatisme en quelques sortes, et non pas une objectivité, d'où le besoin de la démontrer. On peut aussi parler du scepticisme et du relativisme opposés au dogmatisme, basés sur la non croyance. Mais entre ces deux idéologies extrêmes, on trouve ceux qui cherchent à démontrer une vérité. Ainsi, dans les domaines cités précédemment (mathématiques, sciences, langage courant...), on sait que beaucoup de vérités sont démontrables. Il se pose malgré tout un problème : une vérité qui est démontrable pour quelque un ne l'est pas forcément pour une autre personne. En effet, la connaissance de chacun n'est évidemment pas la même, d'où le fait qu'une vérité vue subjectivement n'est pas obligatoirement démontrable, par manque de savoir ou d'expérience. En physique par exemple, si l'on demande à un élève de collège de démontrer le principe de la poussée d'Archimède, il ne devrait (normalement) pas en être capable car il n'a pas acquis les connaissances d'un physicien, d'un professeur ou encore d'un élève de terminale. Donc une vérité est indémontrable pour celui qui ne possède pas le savoir nécessaire à la démontrer. L'exemple de la poussée d'Archimède n'est pas le seul valable dans ce cas, on peut l'adapter au langage courant ou encore aux mathématiques. Ainsi, ce savoir s'est diffusé humainement par une ou plusieurs personnes qui ont mit au jour la démonstration ou la preuve de cette vérité (tel qu'Euclide : mathématiques et géométrie, Bourbaki : mathématiques, Einstein : la relativité, Newton : les 3 lois de mouvements, Etc.

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