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Les bouleversements récents des transports

Publié le 27/02/2008

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Le rail : une forte capacité de transport. Le chemin de fer est surtout utilisé aujourd'hui pour le transport des marchandises pondéreuses sur les grands axes unissant les régions industrielles. L'électrification des voies ferrées a porté la vitesse com­merciale des trains à 16Q!On/h (TGV= 200 km/h et plus), ce qui accroît la compétitivité du rail face à ses concurrents pour le transport des voyageurs sur de grandes distances (fig. 1). Il reste indispensable pour les déplacements quotidiens et massifs des usagers entre les banlieues résidentielles et les centres des villes aux activités tertiaires. 

Des contraintes naturelles. Elles sont fortes pour le chemin de fer qui ne peut escalader des pentes supérieures à 10 % ; moyennes pour les routes avantagées par la puissance des moteurs d'automobiles.

« Transports : des bouleversements D, Les transports terrestres ■ Le rail : une forte capaci té de transport.

Le chemin de fer est surtout utilisé aujourd'hui pour le transport des marchandises pondéreuses sur les grands axes unissant les régions industrielles.

L'électrification des voies ferrées a porté la vitesse com­ merciale des trains à 16Q!On/h (TGV= 200 km/h et plus), ce qui accroît la compétitivité du rail face à ses concurrents pour le transport des voyageurs sur de grandes distances (fig.

1).

Il reste indispensable pour les déplacements quotidiens et massifs des usagers entre les banlieues résidentielles et les centres des villes aux activités tertiaires.

■ Routes et autoroutes : une royauté.

Depuis l'essor fulgurant de l'automobile (fig.

2), l_es_pays développés ont aménagé des routes so­ lides revêtues d'asphalte ou de ciment, puis des autoroutes à plusieurs voies Qui facilitent la circulation des voitures et des camions. ■ Les transports par cables et canalisations.

Le courant électrique est acheminé par des lignes à haute tension (250 000 et 380 000 volts) pour réduire les pertes dues à l'échauffement des fils conducteurs.

Pour éviter les risques de pollution et d'explosion, les hydrocarbures sont acheminés de plus en plus par des oléoducs et des gazoducs à gros débit. ■ Des contraintes naturelles.

Elles sont fortes pour le chemin de fer qui ne peut escalader des pentes supérieures à 10 % ; moyennes pour les routes avantagées par la puissance des moteurs d'automobiles. & Les voies d'eau : un renouveau justifié ■ Fleuves et canaux : les moins couteux.

Avec l'accroissement des échanges lointains de matières premières et de produits manufacturés, la navigation terrestre connaît un regain d'activité.

Grâce à des tech­ niques nouvelles, comme les convois poussés de barges attelées, les grands fleuves redeviennent des prolongements de la mer.

Mais les contraintes naturelles sont très fortes : variations de débits des fleuves, existence de chutes et rapides, d'où la nécessité de construire des bar­ rages, des écluses et des canaux latéraux. ■ Les voies maritimes.

Elles bénéficient de remarquables avancees techniques : automatisation de la conduite des navires dont le tonnage a quintuplé, emploi de bateaux spécialisés et de porte-conteneurs.

Le co0t du transport en a été abaissé, ce qui a permis de doubler la distance moyenne des transports de.

fret par voie maritime (fig.

3 et 4). E> Les voies de l'air et de l'espace ■ Le transport aérien.

L'avion permet aux hommes de s'affranchir de l'espace et du temps.

Désormais, il est irremplaçable pour le transport des voyageurs sur longues distances, les marchandises de valeur et le courrier (fig.

5).

Les avions à réaction sont de plus en plus puissants. ■ Les télécommunications.

Le téléphone, la radio, la télévision, les satellites artificiels permettent une transmission instantanée des sons, des images et des informations.. »

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