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Les Céphalopodes

Publié le 11/09/2012

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Le mâle est plus petit que la femelle. Lors de l'accouplement, il introduit son hectocotyle dans la cavité palléale de la femelle pour lui injecter son sperme. Ce dernier est propulsé le long d'une «encoche« et passe dans l'oviducte de la femelle pour féconder les oeufs. L'accouplement dure généralement plus d'une heure, mais auparavant de sévères luttes opposent les mâles qui convoitent la même femelle. Cette dernière dépose jusqu'à 150000 oeufs fécondés dans une petite cavité ou dans un nid de pierre. Certaines femelles occupent des coquilles vides de bivalves durant la période de la couvaison, les refermant en cas de danger. Chez la plupart des céphalopodes, la femelle ne quitte jamais ses oeufs.

« Les Céphalopodes La pieuvre est capable de se fondre dans ~ son environnement.

Ici, une élédone (Octopus macropus) se détache à peine du fond sur lequel elle s'est posée.

palourdes et d'autres coquillages représentent la base de leur alimentation .

Ils chassent surtout au crépuscule ou durant la nuit.

Le céphalopode s 'approche d'abord de sa proie par derrière et la capture en enroulant ses tentacules autour du corps de la victime.

Celle-ci est alors tirée vers la bouche et absorbée d'un coup par ses mâchoires, qui ressemblent à un bec de perroquet.

Avant de la tuer, le céphalopode «goût e" sa proie en uti lisant son anneau sensoriel tactile et ses récepteurs chimiques situés sur chaque ven­ touse qui ont pour fonction de rejeter tout ce qui est malodorant.

Un jet de venin émit par ses glandes salivaires paralyse la victime si nécessaire, mais, le plus souvent, les cépha lopodes entou­ rent simplement leurs proies de leurs bras pour les emporter.

D'une simple morsure, ils viennent à bout d'un crabe .

Un système d'autodéfense original c.: S 'il affronte une espèce telle que le homard ~ -muni d 'une carcasse dure et de pinces résis- § tantes qui lui permettent de se défendre -, le ~ céphalopode a recours à un autre mécanisme ~ d'autodéfense.

Il projette un colorant organique, ~ contenu dans sa poche à encre , la sépia , qui se ~ 740 ......

Les puissantes ventousès disposées sur les tentacules des pieuvres présentent une sensibilité extrême , réagissant immédiatement aux stimuli les plus légers.

diffuse en formant un nuage le dérobant au regard du prédateur.

Ce jet d'encre lui sert égale­ ment à prendre la poudre d'escampette, tout spé­ cialement pour échapper à des animaux vigoureux et rapides comme les anguilles, les baleines , les requins et les dauphins.

Lorsqu'il s'enfuit , le céphalopode émet un nuage d'encre qui obscur­ cit la vue du prédateur dont l'odorat est égale­ ment perturbé par l'émission d'un autre liquide.

Le cycle biologique Le mâle est plus petit que la femelle.

Lors de l'ac­ couplement, il introduit son hectocotyle dans la cavité palléale de la femelle pour lui injecter son sperme.

Ce dernier est propulsé le long d'une « encoche » et passe dans l'oviducte de la femelle pour féconder les œufs.

L' accouplement dure généralement plus d'une heure, mais auparavant de sévères luttes opposent les mâles qui convoi­ tent la même femelle.

Cette dernière dépose jus­ qu'à 150000 œufs fécondés dans une petite cavité ou dans un nid de pierre.

Certaines femelles occu­ pent des coquilles vides de bivalves durant la période de la couvaison , les refermant en cas de danger.

Chez la plupart des céphalopodes , la femelle ne quitte jamais ses œufs.

Elle fait circuler l'eau autour d'eux et les débarrasse des algues avant qu'ils n'en soient complètement recouverts.

La couvaison dure un mois environ .

Au cours de c ette période, la femelle reste toujours près des. »

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