Le chat et la vie en intérieur.
Publié le 06/11/2012
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Le chat et la vie en intérieur. Pour qui possède un chat, il est nombre de raisons de le maintenir enfermé à la maison : le risque qu'il soit écrasé par une voiture, ou volé ; celui qu'il contracte quelque maladie ou parasite ; celui de voir une chatte de race ramener une portée de "bâtards". D'autres... Cependant. bien que le chat soit, par nature, un chasseur et un rôdeur, on peut parfaitement le confiner en intérieur et lui faire la vi...
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- Paul Valéry écrivait en 1936 : « Le loisir intérieur, qui est autre chose que le loisir chronométrique, se perd. Nous perdons cette paix essentielle des profondeurs de l'être, cette absence sans prix pendant laquelle les éléments les plus délicats de la vie se rafraîchissent et se réconfortent, pendant laquelle l'être, en quelque sorte, se lave du passé et du futur, de la conscience présente, des obligations suspendues et des attaques embusquées... Point de souci, point de lendemain, p
- Je crois au hasard extérieur (réel) mais je ne crois pas au hasard intérieur (psychique). c'est le contraire du superstitieux. Psychopathologie de la vie quotidienne (1901) Freud, Sigmund. Commentez cette citation.
- Je crois au hasard extérieur (réel) mais je ne crois pas au hasard intérieur (psychique). C'est le contraire du superstitieux. [ Psychopathologie de la vie quotidienne (1901) ] Freud, Sigmund. Commentez cette citation.
- « Le besoin de société, né du vide et de la monotonie de leur propre intérieur, pousse les hommes les uns vers les autres; mais leurs nombreuses qualités repoussantes et leurs insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu'ils finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c'est la politesse et les belles manières. » Schopenhauer, Parerga et Paralipomena, 1851. Commentez cette citation.
- « Le besoin de société, né du vide et de la monotonie de leur propre intérieur, pousse les hommes les uns vers les autres; mais leurs nombreuses qualités repoussantes et leurs insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu'ils finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c'est la politesse et les belles manières. » Schopenhauer, Parerga et Paralipomena, 1851. Commentez cette citation.