La chevelure
Publié le 30/01/2013
Extrait du document
«
On passe de ce qui est petit à ce qui est grand : chambre => continents, animal (toison
moutonnant, encolure) => voc noble (
ébène). Mer d’ ébène => Agrandissement qui fait r êver
car sugg
ère tout un monde.
2) La perfection :
Accumulation d’all
égories qui d écrivent un monde inconnu, lointain, exotique :> cela ne
pr
écise pas le monde parfait. On le r éduit à « la bas »vers 11. On ne nous donne pas de
d
étails, ce qui nous permet de r êver. De m ême que l’hyperonyme « parfum ». Pr ésent
gnomique.
Elle atteint la perfection par son caract
ère divin, alexandrin est le vers des dieux, et « o
toison », « o boucles » .. Et la ponctuation expressive du 1 er
quintil met de la distance entre
le po
ète et le monde, le rend divin.
3) On obtient l’extase :
On le voit gr
âce aux phrases nominales du 1 er
quintil + à travers « nonchaloir ( ?) ».
Communication myst
érieuse du vers 5... toute la nature dans laquelle il se fond.
« tout un monde lointain, absent, presque d
éfunt » :::> gradation qui repr ésente le pass é
qui semblait oubli
é mais revit ici.
mais peut il provoquer un voyage paradisiaque maitris
é ?
III/ La po
ésie comme invitation au voyage :
1) Un art po
étique, une r éflexion sur la beaut é :
A travers les modalit
és employ ées « le debut => ce qui est grave , à censurer,
provoquer )
Evoque « nonchaloir » paresse sous forme d’oxymore « feconde paresse »
si il arrive
à provoquer le lecteur c’est pour faire une incantation.
2) Une incantation : .
»
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