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Choléra

Publié le 18/02/2012

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1 Après y avoir fait de grands ravages, les épidémies de choléra ne s'étendent désormais que rarement en Europe. Cependant, quelques foyers subsistent en Malaisie, en Inde et au Pakistan et la maladie se propage périodiquement d'Extrême-Orient au Moyen-Orient, atteignant même parfois les pays occidentaux. La gravité du choléra (qui jadis était mortel dans 50 à 80 % des cas) a entraîné d'importants efforts de recherche et l'institution d'un règlement sanitaire international...

« douleurs, frequentes emissions deselles (plusieurs dizaines par jour), vomissements.

Le volume quotidien ainsi elimine peut atteindre plusieurs litres. Le malade est alors en Mat de desbydratation.

II est sujet a des troubles circulatoires, sa temperature est fres basse, it maigrit de facon spectaculaire.

En ('absence de traite- ment, Ia mort survient au bout de quelques jours par collapsus cardiaque. 5 L'evolution rapide dela maladie, son impact phy- siologique (deshydratation, demineralisation, acidoses) necessitent un traitement d'urgence pour compenser Ia perte en eau et en electrolytes.

On administre par vole veineuse (perfusion) diverses solutions (salees,bicar- bonatees) et des antiblotiques (tetracycline, streptomy- cine). 6 La prophylaxis est fondee sur ('hygiene et Ia vaccina- tion.

Le vaccin de l'Institut Pasteur est une suspension, dans ('eau physiologique, de vibrions choleriques Wes par lachaleur etselectionnes d'apresleurpouvolr antigenique.

On pratique chez l'adulte deux Injections dix jours d'intervalle.

Mais l'immunite conferee par le vaccin est inconstante et ephemere.

Elle decline au bout de six mois et disparalt awes un an.

D'apres le reglement sanitaire international, un certificat de vacci- nation est valable a partir de 6 jours apres Ia premiere injection (trop tot) jusqu'a 6 mois.

La seconde injection n'est pas obligatoire.

Les possesseurs du certificat sont donc le plus souvent receptifs a la maladie. douleurs, fréquentes émissions de selles (plusieurs dizaines par jour), vomissements.

Le volume quotidien ainsi éliminé peut atteindre plusieurs litres.

Le malade est alors en état de déshydratation.

Il est sujet à des troubles circulatoires, sa température est très basse, il maigrit de façon spectaculaire.

En l'absence de traite­ ment, la mort survient au bout de quelques jours par collapsus cardiaque.

5 L'évolution rapide de la maladie, son impact phy­ siologique (déshydratation, déminéralisation, acidoses) nécessitent un traitement d'urgence pour compenser la perte en eau et en électrolytes.

On administre par voie veineuse (perfusion) diverses solutions (salées, bicar­ bonatées) et des antibiotiques (tétracycline, streptomy­ cine).

6 La prophylaxie est fondée sur l'hygiène et la vaccina­tion. Le vaccin de l'Institut Pasteur est une suspension, dans l'eau physiologique, de vibrions cholériques tués par la chaleur et sélectionnés d'après leur pouvoir antigénlque.

On pratique chez l'adulte deux injections à dix jours d'intervalle.

Mais l'immunité conférée par le vaccin est inconstante et éphémère. Elle décline au bout de six mois et disparaît après un an.

D'après le règlement sanitaire international, un certificat de vacci­ nation est valable à partir de 6 jours après la première injection (trop tôt) jusqu'à 6 mois.

La seconde injection n'est pas obligatoire.

Les possesseurs du certificat sont donc le plus souvent réceptifs à la maladie.. »

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