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La Civilisation Grecque

Publié le 29/05/2011

Extrait du document

Mythes, Héros et Dieux

è Des mythes

è Les dieux et les déesses

-                     La place centrale de la mythologie

-                     Offrandes, libations, hécatombes et sacrifices       

-         La crainte des dieux

 

Culture du peuple Grec

è L’organisation sociale et politique

-         L’éducation : la tradition orale et les aèdes - Homère « éducateur des jeunes Grecs «

-         Statuts : des rois, des suivants, des hérauts - relations entre Ulysse et ses hommes…

-          Rôles sexués : les hommes sont des guerriers, rêvent d’être des héros en mourant à la guerre… Les femmes tissent – Nausicaa lave son linge (et celui de ses frères)

è Un peuple uni par la culture mais divisé politiquement

-         les sanctuaires panhelléniques – Delphes

-         guerres et butins : Cicones

-         L’Odyssée : l’Utopie en Schérie

 

è Les distractions et le sport 

-         Jeux de force (lancer de disque, lutte…) – en l’honneur d’Ulysse en Phéacie

-         Les Jeux panhelléniques sont des fêtes célébrées en Grèce antique à l'honneur des dieux, auxquels participait toute la Grèce. Ce sont à l'origine des compétitions sportives, puis d'autres disciplines culturelles s'ajoutent au fil des siècles. Les quatre grands Jeux panhelléniques, qui forment la période des jeux publics sont : les Jeux olympiques ; les Jeux pythiques ; les Jeux isthmiques les Jeux néméens.

-         danse (avec ballon) - jeux de balle de Nausicaa et ses suivantes

-         récit de l’aède Démodocos fait rire les Dieux et les hommes

è Des valeurs fortes

-          des qualités physiques appréciées : force physique, puissance, endurance, capacités sportives… (jeux olympiques) - esthétique du physique, grâce… - séduction…

-         Les qualités morales appréciées : courage, bravoure, esprit guerrier… - piété… - humanité (au moins chez Homère) - amour de la patrie…

-         La famille : le bonheur est dans le couple et la famille : Anticlée [XI] (fidélité ?) - les relations père-fils et le souci de la descendance glorieuse (Point commun  des compagnons de l’Iliade [XI])

« f' porte 0"Dipylon 1 colline des Nymphes quartier du Céramique Pnyx ~ Méliastes : jetons utilis és r pour la sentence au tribunal.

, 1 5 2 4 3 6 7 8 Il l'Y Aréopage - ATHÈNES AU V • SIÈCLE 1.

Portique de Zeus Eleuthér ios 2 .

Temple d'Apollon Tatrôos 3.

Métrôon (temple de la m ère des dieux ) 4 .

Bouleut érlon 5 .

Temple d'Hépha ïstos 6 .

Prytanée ou tholos 7 .

Bâtiment des stratèges 8 .

L'Héliée Éleusin ion t Nord d 'huil e et une pé nuri e de g ra ins.

Le pays n 'a rrive p lu s à n o urrir une po pul atio n en ple ine ext e n­ sio n.

D e 775 à 550 av.

J.-C.

env iron, de nombr eu x Grecs, chassés p a r l a misère o u p ar esprit d'ave n­ ture, quittent leurs c ités p our aller f o nder s ur les rivages de la Médit e rranée des vill es n o u velles appelées colonies, bâties sur le m odè le de leur c it é d'o rig in e ( métr opo le).

P a rti s pa r p etit s groupes de c inqu a nte à cent ho mm es sous la conduit e d' un ch ef religie u x, ils e m portent avec eu x le " fe u sac ré " • symb o le de le ur cité.

D ans le ur no u velle v ill e, toujo u rs dotée d 'u n port, ils o nt .....

À l'âge de sept ans, les fils des citoyens de Sparte étaient enlevés à leur famille et recevaient une éducation très rude.

J • principa les métropoles grecques • pr incipales colonies grecques -+ grandes direc tions du commerce grec D peup lement grec D zone carthaginoise conservé les d ie ux e t l es lo is de l e ur anc ienne c ité, m ais la colonie reste ind ép e ndante e t se gou­ verne e ll e-mêm e.

Les colo ns v ie nnent des cités ma ritim es de G rèce ç:entr ale (Co rinth e, Méga re ), d ' Eub ée (Chalc i s, E ré tri e) et d'I o nie , en Asie M ineur e (Phocée, Mil et).

Les p rincipa l es colonies sont établies au n o rd, en Thr ace , sur les rives des d étroits et du Pont-Eu xin (m er No ire), ver s l'o uest, e n Sic ile e t en Italie d u Su d (Gra nde G rèce ), en Ga ule mé ridio na le (Ma rseille, N ice) et en Espa­ gn e o rienta le (Ampu r ias).

La colonisatio n in tensi­ fie les écha n ges com m erc ia ux e t étend la culture grecque à l'ensembl e du bassin m édit e rranéen.

M alg ré l es rivalités opposa nt les d iff ére ntes c ités, l es Grecs formen t , vers J'an 600, un ensemb le uni par la re lig i on, la langu e e t l es mœ u rs.

Ils appe l­ l ent b arbares to us ceu x q ui ne parlent pas le g r ec, e n p a rticuli er l es Perses , qui ont bâti un imme nse e mpir e à l'est du monde grec.

Des régimes politiques variés Au cour s de cette pé riod e dit e a rc h aï que (x·­ VI' s iècle av.

J.-C.) , les c ités grecq ues ont expéri­ m e nté d es régimes politi qu es variés.

Beaucoup ont d'a b ord connu la mo na rc hie .

Le pouvo ir est exe rcé par u n roi, généra lemen t issu d' une riche fa mill e propriéta ir e de vas tes terres, qui gouverne seul, entour é d ' un con seil composé des chefs Vers 450 av.

J .

.C., Athènes est devenue une puissance maritime en passe d'imposer sa domination à la Grèce entière.

La guerre du Péloponnèse, qui oppose Athènes à une coali­ tion dirigée par Sparte et groupant les cités du Pé loponnèse (Mégare , Corinthe et Thèbes ).

a min é cette prétention .

Le conflit, mené sur de multiples fronts, en Thrace, en Asie M1neure , en Sic ile et en Attique , fut très long (431 -404 ).

À l'abri derri è re ses re mp a rts , Athène s suppo r­ t e le s raids s partiat es sur l'Attique , mais ses · ch am p s sont r uin és.

Apr ès dix an s de lut te , elle subit une grave défaite en 415 , lors de l'expéd iti on de Sicile p rovoq uée par Alcibiade , et capitu le après l a destruction de sa f lotte à Aigos -P otamos en 404.

Sparte, qui a détru it Athènes grâce à l' appui perse , tente d'imposer son hégémonie , mais est écrasée à Leuctres , en 371 , par les Thébains que commande Épaminondas.

Très affaiblies, les cités grecques passeront au 1V" siècle av.

J.-C .

sous la domination du roi Philippe Il de Macédo i ne.

N 1 Il. »

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