Cligès

«   Un moment seuls, les deux amants se déclarent leur amour, et Fénice lui raconte l'histoire du philtre.

Mais afin d'échapper au même amour que connurent Tristan et Iseut, Fénice refuse d'être à lui tant qu'il n'aura pas trouvé un moyen pour l'éloigner de la cour.

Et Fénice mis au point un stratagème.   Alors Cligès contacta Jean son vassale et lui confia le plan que Fénice avait préparé, alors il fabriqua un cercuille pour Fénice et lui proposa une tour à l'extérieur de la ville comme refuge secret.

Désirant se faire passer pour morte Fénice fit semblant d'être gravement malade, renvoya ses gens et bu un philtre de sa nourrice Thessala qui lui donna tous les aspects d'une morte.

Mais des médecins de passage au royaume ont découvert le plans secret et pour prouver qu'elle était encore vivante ils l'ont battu presque à mort, versé du plomb en fusion dans le creux de ses mains, mais avant qu'ils ont pu la griller, des servantes interviennent et vange Fénice en tuant les medecins en les jettant par la fenêtre.

Elle est alors enterrée dans un tombeau muni de chambres secret aussi préparé par Jean.

La nuit Cligès retrouve Fénice qui, demi morte et blessée par les médecins, se fit soigner par Thessala.

Pendant un ans, les amants se voient dans la tour secrette.

Mais un jour ils sont surpris par un chevalier qui avait escaladé le mur à la recherche de son épervier (rapace voisin du faucon).

Poursuivi par Cligès qui lui coupa une jambe, le chevalier en fait part à l'empereur, qui le prenant pour fou, se rend tout de même au tombeau et interroge Jean.

Tandis qu'il dévoile à Alis comment ils ont procédé, sans pour autant trahir son maître, Cligès, retourné en Bretagne, demande à Arthur son aide pour châtier son oncle qui, alors qu'il l'avais promis à son frère, à pris femme.

Alors qu'une armée est levée, des messagers de Grèce annoncent la mort d'Alis qui avait lancé des recherches dans tout le pays.

A Constantinople, Cligès et Fénice sont couronnés.. »