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Compte-rendu de lecture - Bouvard Et Pécuchet

Publié le 26/07/2012

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Pécuchet insulte les chrétiens en disant qu’il aimait le Bouddhisme. Bouvard et Pécuchet adopteront par la suite les deux orphelins. Ils leur apprennent à lire et à écrire, et leurs enseigne le calcul, les sciences humaines, le dessin… mais les deux enfants ne retiennent rien et Bouvard et Pécuchet ont du mal à enseigner certaines matières, d’où l’échec de l’éducation. Caractères : On remarque que Bouvard a un caractère critique notamment envers les personnages, certains auteurs et personnes célèbres. : • « Quels tas de balivernes «, Chapitre IV, page 183. • « Mais c’est un imbécile «, Chapitre IV, page 187. • « Ces nigauds forment la masse électorale, et nous subissons leur volonté «, chapitre VI, page 241.


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« Thèmes Dominants La science, dont Bouvard et Pécuchet en font une série d'études et d'expériences, est le premier thème dominant dans ce texte. • « Puisqu'ils s'entendaient au jardinage, ils devaient réussir dans l'agriculture ; et l'ambition les prit de cultiver leur ferme » Chapitre II, page 72.• « Pour savoir la chimie » Chapitre III, page 111• « Ce doit être une belle étude que l'anatomie ? »Chapitre III, page 112• « La nutrition les tourmentait » Chapitre III, Page 122• « Pour les exciter à la géologie » Chapitre III, Page 136• « Six mois plus tard, ils étaient devenus des archéologues » Chapitre IV, page 159.• « Si on essayait du magnétisme ? Chapitre VII, page 281• « Le spiritisme pose en dogme l'amélioration fatale de notre espèce », Chapitre VIII, page 290• « Comment devenir magicien ? Cette idée leur parut folle d'abord » Chapitre VIII, page 292• « Mais Jouffroy et Damiron les initièrent à la philosophie moderne », Chapitre VII, page 299 Ce livre pose le problème du niveau de la plaisanterie et de la bêtise, notamment avec Bouvard et Pécuchet et les autres personnages.

C'est le deuxième thèmedominant du texte. • « fort embarrassés parfois de savoir si tel livre "était vraiment un livre de bibliothèque », Chapitre I, page 61.• « Ils haletaient en serrant la vis, puchaient dans la cuve, surveillaient les bondes, portaient de lourds sabots, s'amusaient énormément », Chapitre II page 77• « Pécuchet prit le pas de gymnastique ; et il disait à Bouvard, courant du même train à son côté : — Une, deux ; une, deux ! en mesure, comme les chasseurs deVincennes., » Chapitre II page 85• « Bouvard fut obligé de répondre qu'il se moquait des fruits.

Comme on longeait la charmille, il dit d'un air finaud : « Ah ! voilà une personne que nousdérangeons ; mille excuses ! », chapitre II, page 100• « Croyez-vous que le genre humain descende des poissons ? », Chapitre III, page 152• « Si on ne jurerait pas une demoiselle costumée en paysanne ! et rude à l'ouvrage, pourtant ! Pauvre petit cœur, va ! quand je serai riche, je t'épouserai ! », ChapitreIII, page 154• « — Je suis à vos ordres, répondit Bouvard.

— Vous ? — Oui ! moi ! — Quelle plaisanterie ! — Pas le moins du monde ! », Chapitre V, Page 209• « Tant de systèmes vous embrouillent.

La métaphysique[1].

ne sert à rien, on peut vivre sans elle », Chapitre VIII, page 308.• « Ils s'établirent chez Ganot, le coiffeur.

Pour vaincre toute hésitation, Bouvard et Pécuchet allaient jusqu'à régaler les parents d'une barbe ou d'une frisure.

»,Chapitre X, page 375.• « Bouvard tâcha d'apprendre le calcul à Victorine.

Quelquefois, il se trompait ; ils en riaient l'un et l'autre, puis, le baisant sur le cou, à la place qui n'a pas de barbe,elle demandait à s'en aller ; il la laissait partir.

Chapitre X, page 379.Ce roman permet à Gustave Flaubert de se mettre dans la quête encyclopédique.

En effet, beaucoup de nom de personnages ou de livres célèbres sont bien souventutilisés afin que les lecteurs puissent acquérir de nouvelles connaissances.

C'est le troisième thème dominant de ce texte. • « se trouvaient pêle-mêle plusieurs volumes de l'Encyclopédie Roret, le Manuel du magnétiseur » Chapitre I, page 51• « Quant au plâtre, malgré l'exemple de Franklin, Riéfel et M.

Rigaud n'en paraissent pas enthousiasmés », Chapitre II, page 82• « Ils prirent en note, dans le Dictionnaire de sciences médicales, […].

Que n'avaient-ils connu le fameux Canadien de Beaumont, les polygraphes Tarare et Bijou, lafemme hydropique du département de l'Eure, le Piémontais qui allait à la garde-robe tous les vingt jours, Simon de Mirepoix, mort ossifié, et cet ancien maired'Angoulême…], Chapitre III, page 115.• « Ils apprirent dans un manuel pour les collèges, que la naissance de Jésus doit être reportée cinq ans plus tôt qu'on ne la met ordinairement ; qu'il y avait chez lesGrecs trois manières de compter les Olympiades, et huit chez les Latins de faire commencer l'année », Chapitre IV, page 185.• « tels que le Voyage autour de ma chambre, par Xavier de Maistre ; Sous les Tilleuls, d'Alphonse Karr », Chapitre V, page 201.• « Cavaignac baissait.

La garde mobile devint suspecte.

Ledru-Rollin s'était perdu, même dans l'esprit de Vaucorbeil.

Les débats sur la constitution n'intéressèrentpersonne et, au 10 décembre, tous les Chavignollais votèrent pour Bonaparte », chapitre VI, page 240.• « Bouvard tirait ses arguments de Lamettrie, de Locke, d'Helvétius ; Pécuchet de M.

Cousin, Thomas Reid et Gérando », chapitre VIII, page299• « Pour en rendre compte, Leibnitz a imaginé son harmonie, Malebranche la prémotion, Cudworth un médiateur, et Bossuet y voit un miracle perpétuel », chapitreVIII, page 307.• « comme en eurent saint Paul, saint Benoist et saint Jérôme », chapitre IX, page 329• « « Nous combattrons à l'ombre » ; l'envieux qui bannit Aristide, et la confiance d'Alexandre en son médecin.

Pour la romaine : les oies du Capitole, le trépied deScévola, le tonneau de Regulus.

Le lit de roses de Guatimozin est considérable pour l'Amérique.

Quant à la France, elle comporte le vase de Soissons, le chêne desaint Louis, la mort de Jeanne d'Arc, la poule au pot du Béarnais », chapitre X, pages 381-382.-----------------------[1] Partie de la philosophie qui traite des premiers principes de nos connaissances et des idées universelles. »

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