Devoir de Philosophie

contemporain, art - sculpture.

Publié le 15/05/2013

Extrait du document

contemporain, art - sculpture. 1 PRÉSENTATION contemporain, art, ensemble de la production artistique depuis la seconde moitié du XXe siècle. Il est difficile de situer chronologiquement la naissance de l'âge contemporain, mais ce qui est certain, c'est qu'il prend ses racines dans l'art moderne dont il est l'héritier direct. 2 L'ART EN TRAIN DE SE FAIRE L'art contemporain est, par définition, l'art en train de se faire, « l'art synchronisé avec le moment ultime de l'avancée du temps «. En cela, il est possible de dire que l'art contemporain s'affirme réellement en tant que tel, au tout début des années 1960, bien que l'on puisse déjà auparavant percevoir des signes avant-coureurs de l'âge contemporain. 2.1 L'art est partout Ainsi, dès le début du XXe siècle, Georges Braque et Pablo Picasso intègrent des corps étrangers à la peinture (papier peint, fragments de journaux), faisant exploser son cadre classique. Mais c'est sans conteste Marcel Duchamp qui est le véritable précurseur et par la suite inspirateur des avant-gardes contemporaines. En effet, ses premiers ready-made sont une remise en question de l'idée même d'art tel qu'il est alors perçu. Duchamp opère une complète désacralisation puis resacralisation de l'objet artistique, l'art n'est alors plus spécifique à une technique, mais se trouve partout, même dans une roue de bicyclette. 2.2 Nouveaux moyens d'expression et nouvelles technologies Ce que l'on appelle communément l'art contemporain, s'attache à détruire de plus en plus le cadre classique -- issu du XIXe siècle -- dans lequel s'inscrivait jusqu'alors l'art ; il s'appuie pour cela largement sur les nouvelles technologies et utilise les nouveaux moyens d'expression. Néanmoins, les supports classiques que sont la peinture et la sculpture prennent largement place dans ce nouveau paysage artistique et se montrent incontournables dans l'appréhension de l'âge contemporain. On note également la place prépondérante que prend le dessin dans cet entrelacs de nouveaux médias. Bien que le travail de définition de l'art contemporain soit difficile, en raison de sa prédésignation multiple et à ses origines diverses, il est possible de placer son avènement autour des années 1960. En effet, à cette période apparaissent divers groupes de jeunes artistes remettant radicalement en cause la façon d'envisager l'acte artistique au sein de la société. 3 LES ANNÉES 1960 : FOISONNEMENT DE TOUTES LES AUDACES 3.1 Le Nouveau Réalisme Les années 1960 sont les années de toutes les audaces, des années qui vont se placer en rupture complète avec les premières décennies du siècle. Dès 1960, en France, un groupe hétérogène d'artistes se réunit autour du critique Pierre Restany (1930- ) qui définit le Nouveau Réalisme. Ce mouvement introduit l'idée d'une pensée sociologique en art, dont l'objectif est de faire l'inventaire de la vie des objets au sein de la cité. Ainsi les tableaux-affiches de Raymond Hains et de Jacques Villéglé, les accumulations d'Arman, les compressions de César, les assemblages de Martial Raysse, les sculptures cinétiques de Jean Tinguely et la dimension métaphysique qu'Yves Klein donne de l'objet ainsi approprié, sont autant d'exemples de la prise de conscience d'une modernité nouvelle. 3.2 Fluxus Au même moment, l'Allemagne semble rentrer dans l'âge contemporain avec Joseph Beuys et le mouvement Fluxus. À l'École des beaux-arts de Düsseldorf, Fluxus crée des événements ou des performances et fait ainsi la promotion du non-art. L'art c'est la vie et, comme le dit Wolf Vostell, la vie est « comme un processus musical « ; ainsi de nombreux noms célèbres sont rattachés à ce mouvement, comme Nam June Paik précurseur de l'art vidéo, Tomas Schmit (1943- ), Joseph Beuys ou Ludwig Gosewitz (1936- ). Les Français Ben et Robert Filliou s'inscrivent également dans ce courant. 3.3 L'art conceptuel Dans ces mêmes années apparaît l'art conceptuel avec des artistes américains comme Robert Barry, Douglas Huebler, Joseph Kosuth (1945- ) et Lawrence Weiner (1940- ), ou encore anglais comme Terry Atkinson, David Bainbridge, Michael Baldwin et Harold Hurrell. Ceux-ci rejettent l'idée de la matérialisation de l'oeuvre par l'artiste. L'art n'est pas un objet. Les artistes fuient les lieux d'exposition et donnent la primauté à l'idée qui précède la réalisation plutôt qu'à l'oeuvre réalisée. 3.4 L'art minimal L'art minimal en tant que sensibilité commune, plus que comme mouvement, se développe à la même période, avec des artistes comme Carl Andre, Donald Judd, Dan Flavin, Sol LeWitt ou Robert Morris. Ceux-ci cherchent à sortir du format peinture / sculpture en proposant des objets spécifiques abordant les problèmes du volume, de la surface et intégrant dans leurs oeuvres l'espace environnant ainsi que le spectateur : ils englobent ainsi tous les paramètres de l'oeuvre d'art. 3.5 L'Arte povera L'art italien semble également se renouveler dans les années 1960 avec l'apparition de l'Arte povera. Les artistes utilisent des matériaux « pauvres « pour la conception de leurs oeuvres et permettent ainsi d'effacer la distinction conventionnelle entre l'art et la vie quotidienne. Les premières oeuvres éphémères, voire périssables, apparaissent avec Giovani Anselmo (1934- ) ou avec le Grec Jannis Kounellis. Mario Merz montre l'harmonie qui unit les cultures nomades à la nature. D'autres noms sont à associer à l'Arte povera tels Michelangelo Pistoletto, Giuseppe Penone (1947- ), Gilbert Zorio (1944- ), Luciano Fabro ou Giulio Paolini (1940- ). 3.6 Le land art À la fin de la décennie, émerge le land art qui se définit par la volonté de soustraire l'art à la matrice commerciale en intervenant généralement de façon éphémère dans un site naturel. Ces oeuvres, ne pouvant être vendues ni exposées, sont immortalisées sur photographies, cartes ou dans des comptes rendus écrits. Robert Smithson, Dennis Oppenheim, Richard Long, Hamish Fulton (1946- ) ou Christo sont les artistes représentatifs de ce mouvement. 3.7 La fin d'une décennie L'actionnisme est également un mouvement très important, mettant au centre de l'oeuvre le corps humain. Il est ainsi le précurseur de l'art corporel. Les années 1960 marquent une période clef dans l'apparition de nouvelles pensées artistiques ; elles sont également les années de l'épanouissement de mouvements tels que le pop art d'Andy Warhol ou de la peinture abstraite, du néodadaïsme, des médias et technologies nouvelles telles que la vidéo, la photographie, les installations, les performances. Elles se referment donc sur un monde artistique transformé ; l'art des années 1970 peut prendre une multitude de directions et asseoir ses nouveaux codes. 4 LES ANNÉES 1970 : RÉEL ET INCERTITUDES Les années 1970 sont un carrefour de mouvements multiples s'engageant dans diverses directions. On y assiste notamment aux derniers balbutiements du pop art, à la gloire de l'art minimal et de l'art conceptuel, à l'épanouissement du land art, du body art (art corporel) et aux derniers vestiges de l'Arte povera. Mais ces années voient surtout l'apparition de plusieurs tendances fortes qui favorisent la remise sur pied de la peinture contemporaine par le biais de différents mouvements. Il y a en fait peu de véritables formes d'art nouvelles, c'est une décennie indécise préoccupée par des questions sur le réel et par l'inquiétude identitaire. On note tout de même une résurgence extraordinaire de la photographie, très présente au cours de cette période et qui semble être le principal vecteur des incertitudes de cette époque. 4.1 La photographie pour mettre en scène le réel De nombreux photographes s'affirment en effet ; certains, comme Richard Avedon, William Klein, Robert Mapplethorpe, Helmut Newton, Irving Penn, usent d'une esthétique proche de celle de la mode ; d'autres manipulent la photographie, retravaillent, déforment, recomposent, mettent en scène la réalité, s'opposant par-là à son utilisation classique comme « instantané «. Ainsi émergent des artistes tels que Robert Cumming, Arnulf Rainer ou Joël-Peter Witkin. 4.2 L'hyperréalisme En peinture, l'hyperréalisme, avec Malcom Morley (1931- ), Eddy Richard ou Chuck Close, aborde la peinture d'un point de vue photographique, se situant au-delà des capacités visuelles de l'oeil. Pour eux le sujet n'est qu'un prétexte, c'est l'aspect photographique de la chose qui les intéresse. 4.3 Support / Surface On pourrait dire que le seul véritable mouvement novateur de cette époque est le groupe Support / Surface, regroupant entre autres Vincent Bioulès, Louis Cane, Marc Devade, Daniel Dezeuze, Noël Dolla, Tony Grand, Jean-Pierre Pincemin, Claude Viallat. Ceux-ci veulent en finir avec la peinture de chevalet et ne veulent plus représenter la réalité du monde mais la réalité de la toile. 4.4 Bad painting et art narratif Les années 1970 voient encore une multitude de tentatives comme la bad painting ou l'art narratif regroupant des peintres comme Valerio Adami, Eduardo Arroyo, des photographes comme William Wegman, des installationnistes comme Christian Boltanski, Johnathan Borofsky et bien d'autres. On voit alors émerger deux tendances qui annoncent les années 1980, la figuration libre et l'intimisme. Alors que les années 1970 sont des années de doute et d'enthousiasme, les années 1980 s'annoncent pleines de confiance et de désenchantement. 5 LES ANNÉES 1980 : SCEPTICISME ET INSOLENCE Les années 1980 marquent la fin des avant-gardes et le renoncement aux idéologies modernes. C'est une période sceptique qui se permet toutes les audaces. 5.1 La trans-avant-garde et le néo-expressionnisme La trans-avant-garde fait son apparition avec Sandro Chia, Francesco Clemente ou Mimmo Paladino. Ces derniers privilégient des modes d'expression classique (peinture, sculpture, dessin), se dégagent de tout engagement politique et se réfèrent à l'histoire de l'art. En cela, ils se rapprochent du néo-expressionnisme qui s'exprime dans les mêmes années avec Anselm Kieffer (1945- ), Georg Baselitz, Jean Michel Basquiat ou Eric Fischl. 5.2 Le simulationnisme Pour leur part, les simulationnistes pensent que tout est déjà là, réalisé, programmé. Le réel n'est que le résultat d'un scénario déjà écrit, c'est-à-dire qu'un simulacre. L'authenticité n'a plus de sens. Ce groupe comprend des artistes comme Jeff Koons, Barbara Kruger, Sigmar Polke, Gehrard Richter ou David Salle. 5.3 La figuration libre Au même moment naît la figuration libre, issue de la culture urbaine qui se propose de démocratiser l'art en s'inspirant de la bande dessinée, la science-fiction, la publicité, le rock, le graffiti. Les artistes sont nombreux, parmi eux, Keith Haring, JeanCharles Blais, Robert Combas, Hervé Di Rosa. Ces années sont un retour manifeste à la peinture mais affirment également la photographie et la vidéo comme médias privilégiés. 6 LES ANNÉES 1990-2000 : ÉPANOUISSEMENT D'UN ART DÉCOMPLEXÉ Les années 1990 confirment la liberté et l'indépendance de l'artiste face à l'art comme valeur boursière ou comme objet de consommation (ce qu'il était devenu durant la dernière décennie). Il semble que ces années campent la liberté totale du créateur ; que celui-ci, fort de la petite histoire contemporaine, peut enfin commencer à s'émanciper du fardeau des mouvements, des dogmes, et suivre un chemin bien personnel, voire intime. L'heure n'est plus à la révolution, mais bel et bien à l'épanouissement d'un art décomplexé. 6.1 Interrogations et utopies technologiques Il paraît difficile de citer mouvements ou artistes tant cette époque nous est proche et encore confuse. L'art contemporain de la fin du siècle semble avoir renoncé à inscrire une définition figée de l'art, coupant l'herbe sous le pied à tout historien, théoricien ou journaliste d'art. La vraie question qui se pose aujourd'hui est de savoir si les relais de l'art (musées, marché, critiques d'art, institutions) sont réellement les complices de l'art ou alors des parasites parfaitement nuisibles à la création. Peut-être la décennie suivante donnera-t-elle une réponse. L'extrême contemporain est marqué par une profusion inouïe d'oeuvres ; et si les utopies politiques s'effondrent, on assiste à l'émergence des utopies technologiques. Les années 1990 font leur miel des expériences des années 1970 et montrent, quels que soient les médias utilisés (peinture, sculpture, vidéo, installation, performance, photographie, etc.), la capacité de l'art à se renouveler et à durer. Il semble que les guerres idéologiques entre artistes soient révolues et que l'art contemporain puisse enfin entrer dans sa maturité. Tout ce qui est là a lieu d'être là et représente un élément dans la mosaïque artistique de cette décennie. 6.2 L'art enfin déployé S'il fallait définir l'art contemporain, ce n'est pas par le biais de tel ou tel média dit contemporain qu'il faudrait l'appréhender mais bel et bien par un état d'esprit en phase avec les évolutions et les tournures qu'a prises l'art actuel : un art ayant intégré les cataclysmes culturels et formels de la société d'aujourd'hui, ne se confinant plus seulement dans une façon prédéfinie de s'exprimer mais pouvant se diffuser par une multitude de médias et de réseaux. La liberté de l'art de notre temps est immense, ce qui le rend souvent incompris et vivement critiqué, car considéré comme trop élitiste, trop hermétique. Celui-ci pourtant n'est ni plus exigeant ni plus complexe à aborder que les arts du passé déjà inscrits dans l'histoire. Il en découle. Il a contre lui son manque de recul, son immédiateté et sa rupture avec une certaine idée de l'art venue tout droit du XIXe siècle et ayant toujours cours dans l'imaginaire collectif. L'art contemporain n'est ni plus ni moins que l'art de notre temps, un art enfin déployé. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

« 3. 5 L’Arte povera L’art italien semble également se renouveler dans les années 1960 avec l’apparition de l’Arte povera.

Les artistes utilisent des matériaux « pauvres » pour la conception de leurs œuvres et permettent ainsi d’effacer la distinction conventionnelle entre l’art et la vie quotidienne.

Les premières œuvres éphémères, voire périssables, apparaissent avec Giovani Anselmo (1934- ) ou avec le Grec Jannis Kounellis.

Mario Merz montre l’harmonie qui unit les cultures nomades à la nature.

D’autres noms sont à associer à l’Arte povera tels Michelangelo Pistoletto, Giuseppe Penone (1947- ), Gilbert Zorio (1944- ), Luciano Fabro ou Giulio Paolini (1940- ). 3. 6 Le land art À la fin de la décennie, émerge le land art qui se définit par la volonté de soustraire l’art à la matrice commerciale en intervenant généralement de façon éphémère dans un site naturel.

Ces œuvres, ne pouvant être vendues ni exposées, sont immortalisées sur photographies, cartes ou dans des comptes rendus écrits.

Robert Smithson, Dennis Oppenheim, Richard Long, Hamish Fulton (1946- ) ou Christo sont les artistes représentatifs de ce mouvement. 3. 7 La fin d’une décennie L’actionnisme est également un mouvement très important, mettant au centre de l’œuvre le corps humain.

Il est ainsi le précurseur de l’art corporel. Les années 1960 marquent une période clef dans l’apparition de nouvelles pensées artistiques ; elles sont également les années de l’épanouissement de mouvements tels que le pop art d’Andy Warhol ou de la peinture abstraite, du néodadaïsme, des médias et technologies nouvelles telles que la vidéo, la photographie, les installations, les performances.

Elles se referment donc sur un monde artistique transformé ; l’art des années 1970 peut prendre une multitude de directions et asseoir ses nouveaux codes. 4 LES ANNÉES 1970 : RÉEL ET INCERTITUDES Les années 1970 sont un carrefour de mouvements multiples s’engageant dans diverses directions.

On y assiste notamment aux derniers balbutiements du pop art, à la gloire de l’art minimal et de l’art conceptuel, à l’épanouissement du land art, du body art (art corporel) et aux derniers vestiges de l’Arte povera.

Mais ces années voient surtout l’apparition de plusieurs tendances fortes qui favorisent la remise sur pied de la peinture contemporaine par le biais de différents mouvements.

Il y a en fait peu de véritables formes d’art nouvelles, c’est une décennie indécise préoccupée par des questions sur le réel et par l’inquiétude identitaire.

On note tout de même une résurgence extraordinaire de la photographie, très présente au cours de cette période et qui semble être le principal vecteur des incertitudes de cette époque. 4. 1 La photographie pour mettre en scène le réel De nombreux photographes s’affirment en effet ; certains, comme Richard Avedon, William Klein, Robert Mapplethorpe, Helmut Newton, Irving Penn, usent d’une esthétique proche de celle de la mode ; d’autres manipulent la photographie, retravaillent, déforment, recomposent, mettent en scène la réalité, s’opposant par-là à son utilisation classique comme « instantané ».

Ainsi émergent des artistes tels que Robert Cumming, Arnulf Rainer ou Joël-Peter Witkin. 4. 2 L’hyperréalisme En peinture, l’hyperréalisme, avec Malcom Morley (1931- ), Eddy Richard ou Chuck Close, aborde la peinture d’un point de vue photographique, se situant au-delà des capacités visuelles de l’œil.

Pour eux le sujet n’est qu’un prétexte, c’est l’aspect photographique de la chose qui les intéresse. 4. 3 Support / Surface On pourrait dire que le seul véritable mouvement novateur de cette époque est le groupe Support / Surface, regroupant entre autres Vincent Bioulès, Louis Cane, Marc Devade, Daniel Dezeuze, Noël Dolla, Tony Grand, Jean-Pierre Pincemin, Claude Viallat.

Ceux-ci veulent en finir avec la peinture de chevalet et ne veulent plus représenter la réalité du monde mais la réalité de la toile. 4. 4 Bad painting et art narratif Les années 1970 voient encore une multitude de tentatives comme la bad painting ou l’art narratif regroupant des peintres comme Valerio Adami, Eduardo Arroyo, des photographes comme William Wegman, des installationnistes comme Christian Boltanski, Johnathan Borofsky et bien d’autres.

On voit alors émerger deux tendances qui annoncent les années 1980, la figuration libre et l’intimisme.

Alors que les années 1970 sont des années de doute et d’enthousiasme, les années 1980 s’annoncent pleines de confiance et de désenchantement. 5 LES ANNÉES 1980 : SCEPTICISME ET INSOLENCE Les années 1980 marquent la fin des avant-gardes et le renoncement aux idéologies modernes.

C’est une période sceptique qui se permet toutes les audaces. 5. 1 La trans-avant-garde et le néo-expressionnisme. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles