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Les crises

Publié le 20/01/2013

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L'activité eco est rythmée par des crises. Et c'est pourquoi Marx sous entend l'étude du capital => crise. Dans le texte de Juglard, le retour périodique des crises => Répétitions. Cela fonctionne comme un cycle, et la crise correspond bien à un mvt normal de l'activité capitaliste. Plus le pays est dev, plus la crise devient violente, importante. La crise est marquée des mvt particuliers, des indicateurs financiers : Fonds. Périodicité du cycle de la crise. 2) Des cycles courts (Juglard ou des affaires) Ils ont une durée d'environ 8 ans, entre 6 et 10 ans. D'autres auteurs ont mis en évidence des cycles encore plus court (= 42 mois) Etude de marchandise, de statistique : Découvert en 1920. Cela met en évidence une conjoncture. Il les observe sur l'activité eco américaine. Du XIX à 1930 => 37 cycles. Ces cycles rythment et donne l'impression d'une activité éco coordonnée, prévisible > De la récurrence à l'habitude. Après la 2nde guerre mondiale, moins de cycle, on pense meme qu'il a disparu. La croissance organisée avait maitrisé la crise ? C: Les interpretations des cycles court et de la crise 2 grds camps s'affrontent : Opposition entre ceux qui considérent que la crise est conjoncturelle : elle nous tombe dessus brutalement. Et ceux qui pensent qu'elle est structurelle Conjoncturelle : Pour eux la crise n'est pas une réponse à l'activité éco. Il y a une idole qui prédomine : l'école classique puis la marginaliste 1) La crise est conjoncturelle a) L'école classique. Y'a un groupe d'auteur marqué par une théorie : Adam Smith, Ricardo. Appelation extensive, certains auteurs peuvent être considérés comme tel : Marx, Keynes. Ils considérent que l'économie est régie par une théroie statique. Pour eux il n'y a pas de dynamique, mais un système de régulation. L'économie tend à l'équilibre entre l'offre et la demande. La crise n'est pas comprise dans l'éco, elle est accidentelle et chamboule tout. Pour certains tq Jean Baptiste Say, la crise est impossible. L'offre crée sa propre demande. C-a-d que la demande ne peut être alimenté que par des revenus ayant comme origine l'offre cad la production. Pour lui il n'a pas de surproduction. Pas de déséquilibre entre demande production. Ce sont des économistes libéraux. La crise provient d'un choc extérieur : ex guerre. Ricardo dit que la crise de 1830 est lié aux guerres napo. Il existe une 2eme théro libérale : Ecole marginaliste b) Ecole marginaliste C'est une autre interprétation de la valeur d'un produit. Chez les premiers la valeur est donné par la quantité de travail incorporé dans ce produit. Pour les margi, il s'agit d'expliquer l'utilité d'un bien mais par l'utilité de la dernière unité consommée. Utilité marginale. Satisfaction procurée par la derniere unité conso. Cette valeur est décroissante à mesure que le produit est consommé. Pour eux on privilégie la thèse de la crise accidentelle. Pour eux l'équilibre est fondamental, l'économie y revient tjs. La crise est impossible car cet équilibre automatique. Ce qui compte c'est le jeu du marché, le libre jeu du marché. Pour eux s'il y a crise, c'est parce que le marché est empêché de fonctionner. Pour les marginalistes les reglementations instituées par l'Etat, ces perturbations créent des crises. Le marché capitaliste est régulateur de façon automatique. Ils dénoncent tout ce qui est intervention de l'état, tout ce qui est politique salariale., tout ce qui est opposition venant du travail. La crise est lié à ce qui emepche le libre fonctionneemnt du marché. Pour eux le marché a raison. Il faut que la crise aille à son terme. Elle liquide ce qui est une perturbation de façon à ce que ça revienne à l'équilibre 2: La crise est structurelle a) Théroie de répartition des richesses Elle est inhérente à l'éco selon eux Il y a bcp plus de théorie. On trouve les théories de la sous consomation . On y trouve des auteurs comme Malthus, Sismondi. Chez eux, il faut critiquer la voix des débouchés. Malthus est le premier à mettre l'accent sur la demande => Demande effective. Quand y'a demande, il y a accroissement général des produits. Chez malthus, la prod peut être écoulée uniquement quand il y a une demande. Il faut qu'on ait les moyens de le payer. Sismondi s'éloigne d'adam smith en disant que la pauvreté reduit les débouchés et est un obstacle à la vente des produits. Le pouvoir de consommer n'augmente pas de façon paralèlle au pouvoir de produire. Importance de la pauvreté dans l'éco . Il en déduit que les crises sont liées à la Q de répartition des richesses. C-a-d que dans l'éco capitaliste, il laisse juste à l'ouvrier de quoi vivre. L'amélioration des tech productives met les ouvriers au chomage. => sous consommation, qui pese sur la production, d'autant plus que certes il existe des gens riches mais le revenu des riches ne doit pas aborber toute la production. Donc il y a la un déséquilibre. D'autant plus que souvent les riches détournent une partie de leur argent en épargne. Il faut que les riches consomment. Selon sismondi necessité de l'intervention de l'état pour assurer la justice sociale. Mais bien entendu, quel est le degré d'intervention de l'état, qu'appelle-t-il la justice sociale. Selon eux mauvaise répartition des richesses. b) Courant marxiste * Marx par des théories de la sous conso. Toute l'oeuvre de marx est bati autour de la crise. Il faut s'interroger sur la question de la valeur. Marx considère l'importance du travail dans la Q de la valeur. Il dit que c'est la seule source valeur => travail vivant. A l'oppose il y a le capital => Travail mort. Il fait remarquer que le travail mort peut augmenter les capacités productives. * Question de la plus-value. Le travail a, comme toutes richesses, une valeur d'échange et une valeur d'usage. Et le capitaliste loue la "force de travail" de l'ouvrier mais profite du travaill "effectif" (= valeur ajoutée") Il fait une diff entre les 2 valeurs, qui est la plus-value. Travail effectif : prix à la vente, force de travail : cout de main d'oeuvre. Plus tu fais taffer qlq'un, plus tu feras du taff effectif, plus le boss fait de la plus-value. Selon lui le capitalisme détourne cette plus-value et selon lui les ouvriers sont victimes de l'aliénation du travail. Puis il parle de la composition organique du capital. C-a-d que l'investissement consiste à remplacer du travail vivant par du travail mort, or quand on fait cela, on modifie le taux de plus-value qui va alors se dégrader. Or la plus value ne peut venir que du travail, seule source de valeur. Ce qui veut dire que lorsque la plus-value diminue, le taux de profit diminue => Baisse tendancielle du taux de profit. Cela va affecter la dynamique du capitalisme. Accumulation du capital, qui condamne le capitalisme puisque le profit se fait par l'aliénation. A terme le capitalisme est menacé : Impossibilité de maintenir cette accumulation du capital => CRISE. En effet, les entreprises ont bcp investis et que leur profit diminue, pour rétablir ce profit, elles baissent les salaires. (grace à la pression du chomage). Le nombre de chomeur est qualifié par marx d'armée de réserve du capital. Donc le chomage n'est pas néfaste aux entreprises. Mai selon Marx, quand il y a bcp de salaires bas => Personne peut acheter donc, l'entreprise ne vend pas => CRISE de surproduction. Max fait remarquer que la crise profite aux capitalistes et aux entrepries pcq elle permet de baisser les salaires. Mais qu'en meme temps elle dévalorise le capital. Il permet une restructuration du systeme capitalistique. Mais pour cela il faut arriver à la crise finale. QUAND ? A quel moment on sera dans la crise finale, quand on arrivera un systeme de surproduction de la société et pauvreté extreme => BLOCAGE. Elle est structurelle car elle permet une reconversion. La crise finale devrait créer un changement eco => On sait pas si ça arrivera un jour C) Les crises de surproduction Mauvaise appréciation de l'investissement. Théorie d'un FR : Albert Aftalion. Il considère que la surcapitalisation est ce qui explique la crise et elle est liée par un décalage de l'investissement. Les délais de fabrication à cause de la fabrication des marchines entraine manque d'offre donc hausse des prix, donc nvx investisseurs qui fabriquent encore les mêmes produits. On veut faire de gros profits donc gros investissements. Donc collusion entre les anciens invest et les nouveaux. Ils arrivent à leur terme et on produit beaucoup, baisse des prix => CACA. Question de l'investissement. d) Les théories monétaires On peut expliquer la crise à partir de la monnaie. On met l'ccent soit sur le role des banques, soit sur les crédits, soit sur les taux d'intérets. Juglard Pour lui la période d'expansion fait que les banques accordent facilement des crédits, qui renforcent facilement la croissance. Quand les banques rencontrent des difficultés pour se refinancer. Elles vont contracter les crédits => CRISE Wickell. Anticonformiste. Il remet en Q le taux d'intérêt. Il analyse l'eco comme étant une économie de crédit où domine la monnaie d'origine bancaire => scripturale. Inférieure à l'offre de marchandise c-ad que la décision d'investir est prise par des individus diff à des moments diff pour des raisons diff. Difficile d'établir une loi générale. Rien ne garantit l'égalité entre les parts des investissements à un moment donné d'où la question du prêt bancaire. Il fait la disctinction entre 2 taux d'intérêts. Il distingue le taux naturel et le taux du marché. Le taux naturel est le taux déterminé par des facteurs réels : couts de prod, productivité. Le taux de marché est fixé par les banques et les entrepries vont réagir selon la diff entre les taux cad que les entreprises investissent quand les taux présentés par les banques sont bas. Qd les taux présentés par les banques sont hauts, elles investissent moins (moins interessant pr elle). Donc quand le taux de marché est inférieur au taux naturel il y a une croissance de l'invest au dela de l'épargne. Cela crée des fluctuations dans l'investissements. Cela crée des ondulations qui viennent agiter léconomie d'où la faute aux banques. * Th d'Hawtrey. La question de la monnaie à partir de l'or. Il pose la question du systeme de l'étalon-or. Le cycle est un phéno de rang monétaire. Il dit que l'expansion eco est créée par l'expansion du crédit. Les banques peuvent émettrent des crédits parce qu'elles ont des disponibilités. Elles ont des stock financiers et l'activité précendet qui étaient moindres avaient vues les entreprises remboursé leur crédit donc les banques => argent. Donc des taux faibles. On enclenche alors un processus d'expansion qui touche d'abord les intermédiaires parce qu'ils sont plus sensibles et plus aptes à s'adapter. Cela entraine un processus complexe de hausse des prix et de taux bas ce qui veut dire les négociants (intermédiaires) continue à emprunter et les entreprises elles s'endettent. Il dit que l'expansion éco vient buter sur une réalité physique dans le systeme de l'étalon or (une monnaie vaut x en or) mais la limite est que la Banque Centrale s'inquiete car elle a un stock d'or limité. La parité entre le volume de monnaie et le stock d'or se modifie. La BC se dit que la monnaie risque d'être affecté, elle augmente donc les taux d'intérêts de l'rgent qu'elle prête aux autres banques. Elle resserre le crédit. Processus qui se repercute => La recession s'enclenche. DONC il faut remettre en cause le systeme de l'étalon-or de façon à ce qu'en phase de dépression, les banques puissent aller au dela que le crédit limiter par le stock d'or. Donc la parité des monnaies ne doit pas être lié à l'or mais à un autre systeme. D : Cycles longs fluctuations longues a) Kondratieff Selon Kondratieff, cycle de 50 ans, divisé en 2 parties, phase ascendante et descendante. Fondation de loi empirique : Avant la phase A, beaucoup de changements techniques monétaires géopolitiques et boulversements sociaux. La phase D est une phase de dépression agricole et l'idée est de montrer qu'il y a intégration des cycles courts à l'intérieur de cycles longs. b) Schumpeter Autrichien qui a émigré aux US Explication dynamique de l'économie. Il périodise cette économie Cycle de la Révolution industrielle puis le cycle bourgeois lié d'après lui au développement des nouveaux moyens de transports qui ont des effets d'entrainement sur la métallurgie et la sidérurgie. Ces cycles démarrent en 1850 et finit 1873. A partir de là phase descendante jusqu'en 96. Apparition d'un 3eme cycle de Kondratieff qui est appelé néo mercantiliste. Il s'acheverait à la crise de 29 pour partir en phase descendante. Il porte sa théroie sur le role de l'investissement et de l'innovation. Implication productive d'une innovation pour les entrepreneurs pour dégager des profits. (Il distingue 5 types d'innovations : de procédés (dans la méthode de production) de produit (nouveau produit) de découverte de nouveaux marchés, de l'utilisation de nouvelles formes d'organisation.) Ces innovations sont un avantage provisoire Apparition de la destruction créatrice : Nouvelles entreprises sur de nvelles innovations et destruction de celles qui n'innovent pas. Source des fluctuations car dans chaque innovation, il y a 2 types innovations : les majeures (boulversement) et les mineures (diffusion progressive qui apporte des perfectionnements Distinction entre entre entreprise innovante et routiniere. Cycle marqué par 4 phases : Prospérité, récession, dépression, reprise. Perte du monopole des innovations par les entreprises, ce qui entraine des difficultés pour les entreprises fragile => Faillite, contraction de la masse monétaire. Vague d'innovation secondaire qui distribue de nouveaux revenus mais qui se traduit par une amplification de l'investissement avec des crédits qui augmentent bcp, de la spéculation mais dans un temps fragile. A la moindre alerte, il y a la liquidation précipitée de ces entreprises. Amplification de la baisse des prix et donc crise => on passe à la dépression. Baisse des prix pour que le conso reprenne du pouvoir d'achat. Rôle des banques essentiels. Beaucoup de critique à l'encontre de ces théories : L'innovation devrait faire baisser les prix, les innovations y'en a aussi en phase B, cycle reposant sur l'investissement et l'innov oublient la demande. E) Après la Grande Dépression (1873 -1896) Elle a marqué les esprits et a touché les pays d'économie dites développées. C'est la premiere grande dépression classique. Une dépression longue qui se prolonge dans certains pays (non respect des dates) elle semblerait correspondre à la phase B de Kondratieff. Une période marquée par une succession de difficultés et de crise. 1) Les causes de la dépression A) Les causes profondes. Essouflement activité éco dans l'industrire lourde en 1860. On se retrouve avec des surcapacité (chemin de fer, sidérurgie). B) Crise agricole à cause de la concurrence américaine. Liée à la baisse du cout des transports. Maladie des vignes en Europe => phyloxera. Elle viendrait des US C) Qustion de la répartition des revenus Phase A => Forte productivité (salaire bas => Sous consomation qui se traduit par surprodction => Déséquilibres socaixu, finances/spéculations D) Détonateurs : Krachs boursiers vienne/berlin, faillite vourisere Pareil aux E-U qui montre une fragilité. Crise de l'Union Générale => Revele les exces de l'appareil de production . 2) La crise, aspect, mécanisme et sortie. Spirale descendante : Baisse prix => Déflation (prix industriels) + récession (contraction, activité éco) Conséquence : Baisse salaire => Baisse demande, chomage => Spirale. Commerce internationale contribue au fait que la crise continue. Les pays en crise se lance dans une guerre économique. Pour avoir la plus grande part du gateau on coule les autres en instituant aux frontieres des taxes => le protectionnisme Tarifs Melin : 1892 EU tarif max kinley 1890 Crise générale. Ce n'est pas une crise continue mais une crise marquée par des emboitements de crises. Tout le monde n'est pas en crise au même moment. Quand certains sont en crises, d'autres repartent. On a à ce moment là un tournant économique de mouvement planétaire => Le moment où l'éco anglaise cède le pas devant l'éco américaine. Cette stagnation cumule différents aspects : Industrielle, agricole. Elle peut être due à l'adoption de théorie de libre-échange. On arrive pas à trouver la sortie de la crise. . Comment en sortir ? Plan de relance : Plan Frecynet => Pue la merde. Cause endogène : La sortie de crise semblerait plutot avoir des raisons endogène. Baisse des salaires pour que les entreprises refassent du profit. Sauf que salariés doivent supporter. Montrer que l'industrie a su se reconvertir pour s'adapter à la société. Cause exogène : Découverte de gisements d'or (ruée vers l'or) alimentation des circuits monetaires Colonisation comme moyen d'avoir de nouveaux débouchés, nouveaux marchés De plus Changements Institutionnels. C'est le fait qu'on ait modifié le rôle des Banques, de la diffusion des billets (monnaie fiduciaire). Changement dans la société, dans certains pays comme en Allemange (domaine de la protection sociale) F) Les crises de la Belle Epoque 1900- 1907- 1913 A) La crise de 1900 Grand processus de concentration dans les entreprises. Cette crise débute dans les économies dominantes avec la Russie, mais elle touche non seulement les industries sidérurgiques russes mais les allemandes françaises etc qui les fournissait. Donc les economies développées => Crise. Marquée par une fort chômage. Pour lutter contre la crise, les entreprises, notamment d'Allemagne ont tendance à se concentrer. Les Allemands réagissent par une baisse des prix à l'echelle internationale. Vente à perte qui dévastent les industries des autres pays. Mais la crise s'approfondit et cela entraine sur l'allemagne une diminution de la masse monétaire. Cela déclenche un phénomène d'inflation qui inquiète les particuliers et qui se précipitent pour retirer leur fond, ce qu'on appelle des paniques bancaires. Donc cette panique bancaire débutant en Allemagne touche ensuite les autres banques en europe, notamment en Anglette. A partir de 1903 elle touche les US dans le domaine ferroviaire. Puis crise du Crédit qui est très forte aux US et qui poussera les autorités politiques à réfléchir à un systeme de régulation du crédit ou de traitement des banques. Les entreprises US évoluent vers la concentration : Trust et ce phénomene de concentration permet aux US de baisser les prix et en 1904 => Retournement de situation qui va se diffuser sur l'europe et d'un seul coup on trouve de nouveaux secteurs de développement industriel, notamment les tramways. Crise qui fut violente et qui a surpris Cycle JUGLARD B) La crise de 1907 Crise de rentabilité du tramway qui avait remplacé le chemin de fer. Moindre demande de produit sidérurgique et la crise se répercute sur les mines, notamment de cuivre. => Crise bancaire, donc banque en difficulté, retrait tres fort. Inquietude aux us car pas de banques centrales => injection d'argent. On en sort progressivement mais bcp touché, on en sort plus rapidement que 1900. 1909 => Reprise eco. Phase courte suivie par une phase de prospérité. 1911 => Crise coloniale. C) La crise de 1913 Peut être à l'originie de la WWI, crise du capitalisme. Incompréhensible en apparence. Mais en fait crise due à la pratique du dumping. Les allemands ont bcp exportés et ont mis en difficultés les autres économies. Ensuite, à l'intérieur de l'allemagne, sur le plan monétaire, on a un relevement des taux d'escompte. On releve le taux d'escompte en Allemagne=> Cela aurait destabilisé l'économie. Le tx d'escompte c'est le loyer de l'argent (les B commerciales vont chercher des sous à la banque centrale qui le donne à un certain taux d'intéret). Le Reischbank => Raréfaction du crédit. Qui certe a amélioré son taux qui conduit la banque allemande à hausser son taux d'escompte.La crise de la sidérurgie allemande demarre et se répercute aux autres pays. Mais elle entraine aussi des tensions sur les plans monétaires et les grandes banques comme la banque d'Angleterre essaye de protéger l'argent qu'elles ont. Les troubles politiques qui agitent l'économie et les régions balkaniques accroissent l'inquietude et font en sorte qu'on a un rationnement du crédit dans beaucoup de pays. Aux US on a créé la Banque Centrale en 1913 => Fédérale Reserve System. Pour prêter en dernier ressort afin de rassurer les petites banques et réinjecter des sous. On s'aperçoit que la guerre de 14 n'est pas issue de la crise. Cette crise n'est pas due au capitalisme mais à des jeux de puissance, des affrontements entre FR US RU ALL. Cette crise destabilise les sociétés qui sont sous tensions. Elle permet le basculement dans la guerre. Conclusion : Crise, cycle, changement social et régulation Il existe des cycles longs qui correspondent à des changements profonds. L'école de la régulation est développée par Boyer, Aglietta. Relier ces mvts longs de l'économie à une succession de différents modes de développements. Qd il y a un développment et croissance, c'est qu'on a un mode de développment de façon harmonieuse. Quand il y a des difficultés, c'est qu'on a des crises et des modifs dans le mode de dev. Cette école distingue deux choses : Mode de régulation et régime d'accumulation. Le premier est l'ensemble de mécanisme qui permettent la reproduction d'un système. Le régime d'accumulation est l'ensemble des régularités qui permettent une progression générale et cohérente de l'accumulation du capital. Ces régularités s'expriment à travers des formes insititutionnelles. Ils en distinguent 5. La 1ere est la contrainte monétaire (controle de la monnaie), les configurations du rapport salarial, les formes de la concurrence, les modalités d'adhésion au régime international (regles qui régissent les relations entre les Etats) et enfin l'ETAT (interventionnisme) Cela permet la stabilité du systeme mais elles peuvent rentrer en crise indépendamment. Destabilisation du systeme. Le systeme d'accumulation s'est modifié dans le temps à savoir qu'au XIXeme, accumulation extensive (création d'usine) et qu'on passe à une accumulation intensive (sauf que pour passer de l'un à l'autre cela se fait dans le temps) avec des à-coups .

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