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critique littéraire - littérature.

Publié le 28/04/2013

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critique littéraire - littérature. 1 PRÉSENTATION critique littéraire, action (parfois élevée à la hauteur d'un art) de juger les oeuvres littéraires et, par métonymie, ceux (universitaires, journalistes, etc.) qui s'adonnent à cet exercice. Avec le développement de la presse au XIXe siècle, la critique littéraire, musicale, théâtrale ou plus généralement artistique se constitue en genre littéraire avec le « feuilleton « (rubrique périodique) et, vers la fin du XIXe siècle, se créent dans les universités des départements voués à l'étude de la littérature française : une partie de la production universitaire est dès lors rangée sous le nom de « critique littéraire « dans son sens le plus large. 2 LA « CRITIQUE « AVANT LE XIXE SIÈCLE Le mot apparaît dans son sens moderne à la Renaissance (Scaliger, 1580), puis devient courant à l'âge classique. La critique est alors une activité culturelle (et non un genre littéraire) liée au plaisir de la conversation : La Bruyère regrette même que « le plaisir de la critique nous ôte celui d'être vivement touchés des très belles oeuvres «. Molière, avec la Critique de l'École des femmes (1663), nous livre l'image comique de ce type de conversation, et les gazettes en conservent les traces. L'art de la critique n'est pas reconnu : « La critique est aisée et l'art est difficile «, dit Destouches. La critique est surtout la mise en évidence des fautes des auteurs ; en réalité, elle se limite souvent à une critique de détails, comme en témoigne l'image négative du critique incarné par la figure antique de Zoïle, « fléau d'Homère «, ou les annotations féroces des vers de Desportes par Malherbe, ou encore le commentaire des pièces de Corneille par Voltaire. C'est que la critique renvoie à un « bon goût « qui, s'il est le terrain de tous les conflits culturels, n'en est pas moins pensé comme absolu et universel. Voltaire écrit qu'« un artiste qui aurait beaucoup de science et de goût, sans préjugé et sans envie « serait le critique idéal. À l'âge classique, la critique n'est que l'application, à une oeuvre particulière, de la poétique : Corneille complète ainsi l'édition recueillant ses pièces en 1660 par des « discours « constituant une poétique et des « examens «, où il se propose de « faire une censure de chacun de ses poèmes [pièces] en particulier «. 3 LA CRITIQUE LITTÉRAIRE JOURNALISTIQUE Au siècle suivant, Goethe s'oppose à l'idée de bon goût universel (« il n'y a qu'à définir un étalon idéal, un modèle ou un autre [...] puis affirmer avec arrogance : l'oeuvre d'art en cause n'est point égale à cet étalon «) et à une critique productive, celle qui pose des questions comme : « Qu'a voulu faire l'auteur ? Ce dessein est-il raisonnable et judicieux ? Dans quelle mesure l'auteur a-t-il réussi à le mener à bien ? « C'est pourtant de cette critique à la fois descriptive et normative que se réclame la critique littéraire journalistique, prompte à cacher son approche forcément partisane ; Baudelaire, lui, veut au contraire qu'on revendique sa subjectivité comme un atout. Le journaliste littéraire peut « assassiner « un livre, mais le plus souvent il masque la violence liée à son pouvoir économique (sélection et promotion des livres) et symbolique (consécration ou disqualification des auteurs). Une telle attitude alimente naturellement le discours « anticritique «, qui utilise les erreurs de jugement faites par la critique dans le passé pour la discréditer dans le présent. Ainsi Sainte-Beuve a-t-il été souvent retenu, parmi d'autres critiques du XIXe siècle, comme figure emblématique du critique dont les jugements ont été infirmés par la postérité. La multiplicité des écrivains-critiques contredit cependant ce stéréotype. De plus, la critique littéraire (qui connaît ses premières heures de gloire avec les critiques du Temps, du Figaro ou de la Nouvelle Revue française entre les deux guerres) s'enorgueillit aujourd'hui encore de quelques noms prestigieux, comme Matthieu Galley, Jean-Louis Bory, Angelo Rinaldi, etc. Notons que la presse écrite est, dans ce rôle comme dans d'autres, de plus en plus concurrencée par les médias audiovisuels (« La tribune des critiques « à la radio, émissions télévisées de Bernard Pivot). 4 LA CRITIQUE LITTÉRAIRE SAVANTE TRADITIONNELLE Sainte-Beuve est à la fois un journaliste littéraire (les Causeries du lundi, 1851-1862 ; Nouveaux Lundis, 1863-1870) et un grand historien de la littérature (Tableau historique et critique de la poésie française au XVIe siècle, Chateaubriand et son groupe littéraire, 1861 ; Port-Royal, 1840-1859). Hippolyte Taine, lui, est un universitaire (il enseigne l'esthétique) ; son oeuvre de critique littéraire (La Fontaine et ses fables, 1853-1861 ; Histoire de la littérature anglaise, 1864) popularise l'explication déterministe de la littérature par la « race « (la culture), le « milieu « (géographique et social) et le « moment « (la conjoncture historique). Mais c'est Gustave Lanson (1854-1934) qui fonde les études littéraires en France en fixant une méthode et en constituant des instruments (Manuel bibliographique de la littérature française moderne de 1500 à nos jours, 1909-1921). Lanson affirme que « la littérature n'est pas objet de savoir : elle est exercice, goût, plaisir «, mais les études universitaires vont longtemps s'orienter exclusivement vers l'histoire littéraire, produisant de monumentaux travaux, qu'on ne range d'ailleurs plus sous la rubrique « critique littéraire « : éditions critiques, sommes historiques (de Lanson, de Chamard pour la Pléiade, d'Adam pour le XVIIe siècle), thèses sur un auteur (Pommeau, la Religion de Voltaire, 1956), sur une période (Hazard, la Crise de la conscience européenne, 1680-1715, 1935), sur un genre (Scherer, la Dramaturgie classique, 1952), sur l'histoire d'une notion (Mauzi, l'Idée de bonheur au XVIIIe siècle, 1963) ; citons aussi dans cette catégorie les travaux de littérature comparée (Van Tieghem, le Romantisme dans la littérature européenne, 1948). 5 LA NOUVELLE CRITIQUE LITTÉRAIRE SAVANTE En marge de cette tradition se constitue une « nouvelle « critique littéraire, qui se heurtera à l'université dans les années soixante ; l'un de ces affrontements les plus connus reste la polémique entre un professeur de la Sorbonne, R. Picard, auteur d'une somme sur la carrière de Jean Racine, et Roland Barthes, auteur d'un Sur Racine « structuraliste «. C'est d'abord chez les écrivains que se développe le refus de la critique historique et biographique telle que l'incarne Sainte-Beuve ou Lanson. Pour Marcel Proust, la lecture est expérience de la conscience, le « moi « social de l'auteur est radicalement distinct du « moi profond «, lequel s'exprime dans l'oeuvre. Celle-ci est alors une « langue étrangère «, que le lecteur apprivoise peu à peu (Contre Sainte-Beuve, le Temps retrouvé). Pour les écrivains de la Nouvelle Revue française, le critique doit pouvoir « admirer une oeuvre d'un esprit contraire au sien et dont tout le sépare, moins la forme « (Suarès) ; quant à Paul Valéry, il appelle à un retour à la poétique. C'est sous le signe de Proust, d'une part, et de Valéry, d'autre part, que l'on peut ranger deux des courants de la critique savante moderne. Le premier courant s'attache à rendre compte de l'« univers imaginaire « propre à un auteur. L'épistémologue Gaston Bachelard ancre la poésie dans la sensation : la littérature est une rêverie à partir de la conscience immédiate du monde avant la « coupure épistémologique « qui fonde son étude scientifique -- de l'Eau et les Rêves (1942) à la Poétique de la rêverie (1960). Il est suivi dans cette voie par Jean-Pierre Richard (l'Univers imaginaire de Mallarmé, 1961 ; Poésie et Profondeur, 1955). Georges Poulet explore les différentes modalités de la conscience de la temporalité (Études sur le temps humain, 1950-1968). Jean Starobinski médite sur le regard, celui du critique (l'OEil vivant, 1961) et celui de l'auteur : l'oeuvre de Rousseau s'avère ainsi pour lui une dialectique de la transparence heureuse et de l'opacité inévitable. L'approche plutôt thématique de ces derniers critiques peut être complétée par une approche plus stylistique mais poursuivant les mêmes objectifs, celle de l'Allemand Spitzer, déjà pratiquée par Proust (dans son étude sur l'imparfait chez Flaubert). Citons également ici le nom de l'écrivain Maurice Blanchot, qui travaille à la recherche du « lieu « où la littérature s'origine ( l'Espace littéraire, 1955 ; le Livre à venir, 1959). Mais de la « vision du monde « ainsi dégagée, on peut -- contre Proust -- essayer de retrouver, derrière l'oeuvre, l'homme ou la société. La critique littéraire s'appuie alors sur une philosophie ou une science humaine. Critique psychanalytique : après Freud, on lit l'oeuvre comme on le ferait d'un rêve ou d'un phantasme (Rank, Dom Juan, 1932 ; Marie Bonaparte, Edgar Poe, 1933 ; Marthe Robert, Roman des origines et Origines du roman, 1972). La « psychocritique « de Charles Mauron tente de passer des « métaphores obsédantes « au « mythe personnel «. La critique sociologique ou marxiste, illustrée par Lukács -- de la Théorie du roman (1920) à la Signification présente du réalisme critique (1958) --, inspire de nombreux travaux : Köhler, Auerbach, Hauser et, en France, Bénichou (Morales du Grand Siècle, 1948), Goldmann (le Dieu caché, 1959), Barbéris (Balzac, une mythologie réaliste, 1973). La notion de l'oeuvre comme « reflet « posant problème, Goldmann, par exemple, essaie de dégager d'abord des textes de Racine et de Pascal l'expression d'un tragique particulier avant de les lire comme la mise en forme du malaise social qu'il croit sentir dans la noblesse de robe au XVIIe siècle. Critique existentialiste : Sartre raconte les aventures de la liberté face au regard d'autrui dans des biographies (Baudelaire, Mallarmé, Genet, Flaubert), après avoir soulevé le problème du rapport entre l'écrivain et son public ( Qu'est-ce que la littérature ?, 1947). L'autre courant, qu'on peut mettre sous le signe de Valéry ou de T. S. Eliot, a révolutionné la critique anglo-saxonne entre les deux guerres sous le nom de New Criticism (Richard, Empson, Lewis, etc.). En France, il prend son essor à la fin des années soixante sur des bases tout à fait différentes avec le structuralisme, inspiré de la linguistique structurale (Saussure) et des formalistes russes (Chklovski, Eichenbaum, Tynianov), diffusés par Jakobson, Lévi-Strauss ( « les Chats « de Baudelaire, 1962) et par Todorov. En rupture avec la critique littéraire au sens propre, il s'agit de fonder une science ou théorie générale du texte (définition de la littérarité, réflexion sur la notion de genre), voire de tous les systèmes de signes (sémiologie). Sont particulièrement importants les travaux des structuralistes sur la poésie (Ruwet, Riffaterre) et sur le récit (Barthes, Todorov, Genette, Brémond), dont Propp, avec la Morphologie du conte (1928), est l'inspirateur. Les textes singuliers de Barthes sont parmi les plus représentatifs et les plus importants de ce mouvement. Là encore, on passe vite d'une étude formaliste à une étude qui reprend en compte l'auteur à travers la psychanalyse (« sémiotique « de Kristeva, « textanalyse « de Bellemin-Noël), la sociologie ou l'histoire (Genette, Compagnon, Lejeune, Zumthor, H. R. Jauss). Les nouvelles tendances de la philosophie (herméneutique), de la linguistique (pragmatique) et de la logique ravivent le mouvement. La réflexion sur l'énonciation permet à Dupont d'opposer la culture orale de l'événement à la culture « morte « du livre (l'Invention de la littérature, 1994). La philosophie de déconstruction de Derrida alimente les théories de l'école de Yale : le texte mine sa propre signification dans le déplacement infini du sens (de Man, Allégorie de la lecture, 1989). La sociologie de Bourdieu (les Règles de l'art, 1992) résout le problème de l'oeuvre comme « reflet « : l'oeuvre reflète moins le « champ social « que le « champ littéraire «, ce système construit par la « lutte des places « (les luttes pour le profit social et / ou symbolique), surtout à partir du moment (fin XIXe siècle) où ce champ acquiert une certaine autonomie (sociopoétique de Vialla). La critique universitaire d'aujourd'hui intègre des courants fort divers ; c'est pourquoi un travail comme celui de Fumaroli (l'Âge de l'éloquence : rhétorique et res litteraria de la Renaissance au seuil de l'époque classique, 1980) trouve son sujet dans le renouveau formaliste du goût pour la rhétorique tout en s'inscrivant dans la tradition érudite. Cette critique s'est cependant fermée à la critique politique, qui existe encore dans les marges de l'université anglo-saxonne (marxisme anglais de Terry, études noires, féministes, homosexuelles aux États-Unis), alors même que celle-ci puise aux sources de l'Europe continentale (Benjamin et l'école de Francfort) et même de la France (Foucault, Cixous). Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

« Le premier courant s’attache à rendre compte de l’« univers imaginaire » propre à un auteur.

L’épistémologue Gaston Bachelard ancre la poésie dans la sensation : la littérature est une rêverie à partir de la conscience immédiate du monde avant la « coupure épistémologique » qui fonde son étude scientifique — de l’Eau et les Rêves (1942) à la Poétique de la rêverie (1960).

Il est suivi dans cette voie par Jean-Pierre Richard ( l’Univers imaginaire de Mallarmé, 1961 ; Poésie et Profondeur, 1955). Georges Poulet explore les différentes modalités de la conscience de la temporalité ( Études sur le temps humain, 1950-1968).

Jean Starobinski médite sur le regard, celui du critique ( l’Œil vivant, 1961) et celui de l’auteur : l’œuvre de Rousseau s’avère ainsi pour lui une dialectique de la transparence heureuse et de l’opacité inévitable.

L’approche plutôt thématique de ces derniers critiques peut être complétée par une approche plus stylistique mais poursuivant les mêmes objectifs, celle de l’Allemand Spitzer, déjà pratiquée par Proust (dans son étude sur l’imparfait chez Flaubert).

Citons également ici le nom de l’écrivain Maurice Blanchot, qui travaille à la recherche du « lieu » où la littérature s’origine ( l’Espace littéraire, 1955 ; le Livre à venir, 1959). Mais de la « vision du monde » ainsi dégagée, on peut — contre Proust — essayer de retrouver, derrière l’œuvre, l’homme ou la société.

La critique littéraire s’appuie alors sur une philosophie ou une science humaine. Critique psychanalytique : après Freud, on lit l’œuvre comme on le ferait d’un rêve ou d’un phantasme (Rank, Dom Juan, 1932 ; Marie Bonaparte, Edgar Poe, 1933 ; Marthe Robert, Roman des origines et Origines du roman, 1972).

La « psychocritique » de Charles Mauron tente de passer des « métaphores obsédantes » au « mythe personnel ».

La critique sociologique ou marxiste, illustrée par Lukács — de la Théorie du roman (1920) à la Signification présente du réalisme critique (1958) —, inspire de nombreux travaux : Köhler, Auerbach, Hauser et, en France, Bénichou ( Morales du Grand Siècle, 1948), Goldmann ( le Dieu caché, 1959), Barbéris ( Balzac, une mythologie réaliste, 1973).

La notion de l’œuvre comme « reflet » posant problème, Goldmann, par exemple, essaie de dégager d’abord des textes de Racine et de Pascal l’expression d’un tragique particulier avant de les lire comme la mise en forme du malaise social qu’il croit sentir dans la noblesse de robe au XVII e siècle. Critique existentialiste : Sartre raconte les aventures de la liberté face au regard d’autrui dans des biographies (Baudelaire, Mallarmé, Genet, Flaubert), après avoir soulevé le problème du rapport entre l’écrivain et son public ( Qu’est-ce que la littérature ?, 1947). L’autre courant, qu’on peut mettre sous le signe de Valéry ou de T.

S.

Eliot, a révolutionné la critique anglo-saxonne entre les deux guerres sous le nom de New Criticism (Richard, Empson, Lewis, etc.).

En France, il prend son essor à la fin des années soixante sur des bases tout à fait différentes avec le structuralisme, inspiré de la linguistique structurale (Saussure) et des formalistes russes (Chklovski, Eichenbaum, Tynianov), diffusés par Jakobson, Lévi-Strauss ( « les Chats » de Baudelaire, 1962) et par Todorov.

En rupture avec la critique littéraire au sens propre, il s’agit de fonder une science ou théorie générale du texte (définition de la littérarité, réflexion sur la notion de genre), voire de tous les systèmes de signes (sémiologie).

Sont particulièrement importants les travaux des structuralistes sur la poésie (Ruwet, Riffaterre) et sur le récit (Barthes, Todorov, Genette, Brémond), dont Propp, avec la Morphologie du conte (1928), est l’inspirateur.

Les textes singuliers de Barthes sont parmi les plus représentatifs et les plus importants de ce mouvement. Là encore, on passe vite d’une étude formaliste à une étude qui reprend en compte l’auteur à travers la psychanalyse (« sémiotique » de Kristeva, « textanalyse » de Bellemin-Noël), la sociologie ou l’histoire (Genette, Compagnon, Lejeune, Zumthor, H.

R.

Jauss).

Les nouvelles tendances de la philosophie (herméneutique), de la linguistique (pragmatique) et de la logique ravivent le mouvement.

La réflexion sur l’énonciation permet à Dupont d’opposer la culture orale de l’événement à la culture « morte » du livre ( l’Invention de la littérature, 1994).

La philosophie de déconstruction de Derrida alimente les théories de l’école de Yale : le texte mine sa propre signification dans le déplacement infini du sens (de Man, Allégorie de la lecture, 1989).

La sociologie de Bourdieu ( les Règles de l’art, 1992) résout le problème de l’œuvre comme « reflet » : l’œuvre reflète moins le « champ social » que le « champ littéraire », ce système construit par la « lutte des places » (les luttes pour le profit social et / ou symbolique), surtout à partir du moment (fin XIX e siècle) où ce champ acquiert une certaine autonomie (sociopoétique de Vialla). La critique universitaire d’aujourd’hui intègre des courants fort divers ; c’est pourquoi un travail comme celui de Fumaroli ( l’Âge de l’éloquence : rhétorique et res litteraria de la Renaissance au seuil de l’époque classique, 1980) trouve son sujet dans le renouveau formaliste du goût pour la rhétorique tout en s’inscrivant dans la tradition érudite.

Cette critique s’est cependant fermée à la critique politique, qui existe encore dans les marges de l’université anglo-saxonne (marxisme anglais de Terry, études noires, féministes, homosexuelles aux États-Unis), alors même que celle-ci puise aux sources de l’Europe continentale (Benjamin et l’école de Francfort) et même de la France (Foucault, Cixous). Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation.

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