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la diane française, info sur plusieurs poèmes

Publié le 25/10/2012

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diane
LA ROSE ET LA RESEDA Introduction Ce poème, paru pendant l'Occupation dans le journal "le Mot d'ordre" a été inspiré par l'évolution des événements à partir de l'été 1941 : attentats contre l'occupant, exécutions sommaires..... Il fit l'objet, pendant la guerre de nombreuses réimpressions anonymes. Il doit sans doute son succès à la force des sentiments qu'il exprime et à sa forme de complainte populaire.... Il se compose de 64 heptasyllabes. Développement 1). Les épreuves et les combats d'une époque : a). l'occupation : "la belle/ prisonnière des soldats" "les blés sous la grêle" : les destructions, le rationnement b). la Résistance : les risques encourus les difficiles conditions de détention les exécutions au petit matin 2). La nécessité de l'union au service d'un idéal commun : a). l'union : le conflit entre cléricaux et anticléricaux déchirait la France depuis le XIXe (cf. l'affaire Dreyfus) la Résistance rapprochait les Français, idéologiquement divisés, dans la défense d'une même cause. L'auteur rend ici hommage aux militants chrétiens et communistes. Les deux vers du refrain s'opposent tout en étant de constructions symétriques, étrangement parallèles. "Tous deux" (v.3) rassemble les contraires b). l'idéal commun : l'amour de la France (fidélité indéfectible en paroles, en sentiments et en actes) et la libération du pays le sang des martyrs ne s'évapore pas, il féconde la terre de France et permet l'avènement d'une "saison nouvelle" évoquée à la fin du poème 3). La complainte populaire : a). dans sa structure et sa versification : dix sizains dont le distique initial revient comme un refrain. A la fin, un "envoi" (v. 56-64), dans la tradition médiévale, vient se substituer au refrain l'absence de distinction typographique des strophes ainsi que la suppression de la ponctuation concourent à donner sa fluidité la brièveté des vers de 7 syllabes, l'alternance des même rimes claires ("ciel") et graves ("pas"), les nombreuses répétitions (assonances, allitérations, reprise de termes) vont dans le même sens b). dans le langage et les images : l'image, traditionnelle et médiévale, des v.3-4 évoque une "belle" enfermée dans une tour d'où son amant cherche à la délivrer au péril de sa vie (cf. v.6-7) au v.18, l'auteur intègre tout naturellement au poème un proverbe : "Qui vivra verra" l'image des "blés" menacés par la grêle (v.21), qu'il faut rentrer à la hâte en faisant taire toute inimitié, est empruntée à l'expérience séculaire des communautés rurales Aragon est également séduit par la beauté des grands symboles chrétiens, tel le sang du Christ et des martyrs (v.51-54) le grillon (v.60) est le symbole populaire de la paix du foyer qui sera un jour restauré Conclusion Ce poème nous touche par son affirmation exemplaire de l'unité nationale, à une époque où les Français étaient plus divisés que jamais. Poète situé jusque là dans l'avant-gardisme littéraire, Aragon retrouve ici les sources de la tradition nationale, à la fois médiévale et populaire. ELSA AU MIRROIR Introduction : Aragon est un auteur surréaliste qui fut durement marqué par les horreurs des deux guerres qu'il a vécu en tant que soldat. Il s'engagea dans la résistance lorsque son bataillon fut défait par la capitulation française. Voulant combattre l'invasion culturelle allemande, il écrivit plusieurs poèmes sur l'espoir, la guerre et l'amour. En effet, Elsa, sa femme et muse, prend souvent une valeur symbolique : elle représente la France. Composé de quatre quintils et de cinq distiques, Elsa au miroir est un poème qui relate les événements de 1942 en prenant comme prétexte la chevelure d'Elsa. Nous l'étudierons en deux axes : I. La femme II. La souffrance I. La femme 1. La chevelure C'est l'élément déclencheur de la mémoire. En effet, ses cheveux blonds aux reflets roux lui font penser à un incendie : "et peigner sans rien dire un reflet d'incendie", "incendie", "feux", "cheveux d'or" et "cheveux dorés". La métaphore avec l'or est méliorative, elle rend compte de la beauté d'Elsa. Aragon fait une comparaison entre les cheveux de sa femme et la moire : "le peigne partageait les feux de cette moire" La moire est un tissu chatoyant, qui a l'apparence d'ondes. Cette comparaison montre que les cheveux d'Elsa étaient crantés. Aragon nous montre la longueur des cheveux d'Elsa : "Pendant tout ce long jour assise à son miroir" La durée de coiffure est évidemment une hyperbole, mais cache tout de même une réalité : la longueur des cheveux d'Elsa. Aragon exagère. Aragon compare les cheveux d'Elsa à une harpe : "Elle peignait ses cheveux d'or et j'aurais dit (...)Qu'elle jouait un air de harpe sans y croire" Cette comparaison montre que les cheveux sont longs et dégradés. En effet, les cordes d'une harpe sont disposées de la plus grave à la plus aiguë. De plus, avec cette comparaison, il considère le mouvement la coiffure comme un geste harmonieux, tel le son de la harpe, ce qui montre qu'il possède une extrême tendresse à l'égard de sa femme. Enfin, cette notion auditive équilibre les sensations visuelles. La chevelure d'Elsa guide le rythme du texte. Certaines phrases reviennent irrégulièrement au fil des strophes, parfois légèrement modifiées : "C'était au beau milieu de notre tragédie" "Elle peignait ses cheveux d'or ..." "Et pendant un long jour assise à son miroir" Cette récurrence de certaines expressions sont la transposition littéraire d'un geste quotidien : le mouvement du peigne dans la chevelure d'Elsa. En effet, le peigne ne reprend jamais exactement les mêmes mèches. La progression que l'on observe des quatre quintils aux cinq distiques témoigne de la structure de la chevelure : plus fournie à la base, plus légère aux pointes. 2. Le miroir D'après la description que Aragon nous bâtit des cheveux d'Elsa, nous pouvons en déduire que l'auteur se tient derrière sa femme, celle-ci se tenant assise à sa coiffeuse. Or, le miroir ne reflète pas le visage d'Elsa comme il devrait le faire, mais, d'après les dires d'Aragon, ce miroir reflète bien d'autres choses... En effet, c'est un miroir qui sert à la fois de "rétroviseur" et de "projecteur". Rétroviseur car Aragon y voit les événements du passé, il y revit ses souvenirs. Mais c'est aussi un projecteur car il y voit les événements du présent. Ce miroir montre également la télépathie entre Aragon et sa femme. En effet, les 2 personnes voient la même chose, mais sans se parler. "Sans dire ce qu'une autre à sa place aurait dit" Le miroir reflète leurs angoisses intérieures. Il s'agit d'une interprétation d'Aragon à propos des pensées de sa femme : "je croyais voir", "j'aurais dit" x2 ...etc. La signification du miroir est de plus en plus intense au long du texte. Le miroir devient la mémoire dans le vers : "Et pendant tout ce long jour assise à sa mémoire" Le miroir devient le pivot entre le monde et le jugement d'Aragon sur celui-ci : "Le monde ressemblait à ce miroir maudit" C'est le monde qui est maudis, et par là même la mémoire d'Aragon qui lui fait revivre de difficiles moments. On peut penser que la seconde Guerre mondiale lui rappelle les horreurs de la première. Le miroir et la coiffure révèlent certains aspects d'Elsa : tandis que le miroir est source de perturbations, Elsa les atténue par sa douceur : "patientes mains", "calmer" 3. La femme médiatrice, la femme intermédiaire Elsa ravive les souvenirs de son mari. Elle est sa muse sans en avoir conscience. Par associations d'idées, il relie le geste de la coiffure à la guerre. D'ailleurs, cette association est remarquable, puisqu'à un geste doux, il associe une période sombre : la guerre. C'est donc à son insu que Elsa fait souffrir son mari. Elsa se tait. Elle n'a pas besoin de parler. C'est une muse passive qui ne souffle pas au poète ce qu'il doit écrire. C'est en effet l'expérience commune qui l'inspire. C'est pour ça que la mémoire devient tantôt la sienne, tantôt celle d'Elsa : "Qu'elle martyrisait à plaisir SA mémoire" "Et ces feux éclairaient des coins de MA mémoire" L'analyse des temps des verbes montre une évolution. D'abord à l'imparfait, la description se fait ensuite au présent. Aragon montre ainsi que l'épisode se répète. Pour lui, le lien entre la chevelure et la guerre s'impose. C'est un thème d'écriture jusqu'à l'obsession : on parle d'hypotypose (c'est à dire le retour d'une image obsessionnelle dans un texte poétique) La chevelure d'Elsa sert également d'intermédiaire entre la vie intime d'Aragon et son rôle en tant que poète et résistant. Il voit le monde extérieur à travers cette chevelure. Cependant, l'interprétation d'Aragon reste mystérieuse. Il ne donne pas toutes les clés : "Et vous savez leurs noms sans que je les aie dits" Cela montre sa connivence avec le lecteur, et fait référence au silence d'Elsa. II. La Souffrance 1. Pourquoi et comment apparaît le thème du Théâtre Tout au long du texte, le mot "guerre" n'est pas prononcé. Le texte est donc crypté. Il est allusif. Effectivement, il y a des indications temporelles importantes : "comme dans la semaine est assis le jeudi" Par analogie entre la semaine et les années de guerre, on comprend qu'il s'agit de l'année 1942. À cette époque, les armées allemandes en sont à leur apogée. De même, les "flammes des longs soirs" correspondent aux bombardements. L'auteur indique qu'il faut décrypté le message par le terme "ce que signifient". La réalité est camouflée sous le champ lexical du théâtre. Tout d'abord, chacun sait qu'une tragédie se termine forcément mal, par la mort d'un des personnages par exemple. Ce terme traduit donc une vision désespérée quant à l'issue des combats. Il montre également le pessimisme de l'auteur quant à la souffrance. Le pronom "notre" qui la qualifie englobe tous les Français. Il s'agit d'une tragédie collective, où Elsa et Aragon ont une part active en tant que résistants. Le champ lexical du théâtre : "acteurs" est une allusion aux principaux résistants : "Et vous savez leurs noms.." Cette phrase fait penser à un générique. Aragon fait un parallèle entre la liste des morts sur les monuments (aux morts) et la liste des acteurs à la fin d'une pièce. On peut se demander pourquoi il a rapproché l'un et l'autre, puisque normalement, les acteurs ne meurent pas réellement. Il s'agit en fait d'un rapprochement étymologique : "acteur" signifie celui qui agit. Aragon montre que ce sont les plus actifs des restants qui meurent. Chacun joue un "rôle" dans la résistance mais le pathétique vient du fait que ce rôle conduit à la mort. Le miroir peut être assimilé à une ouverture scénique. Aragon et Elsa sont les spectateurs. Ils assistent à la représentation. 2. La souffrance Les temps sont subjectifs : "long jour", "longs soirs". L'auteur montre que c'est la durée qui lui pèse. En 1942, on ne voyait pas la fin de la guerre, il s'agit ici d'une souffrance morale. "Elle martyrisait à plaisir sa mémoire" Il s'agit d'une antithèse, presque un oxymore. Par un geste doux, elle ravive la douleur. Même le quotidien est douloureux pendant l'horreur de la guerre. "Sans y croire.." Cela montre le désespoir et l'aspect défaitiste qu'il régnait à cette sombre et terne période. On trouve plusieurs niveaux de souffrances : Celle d'Elsa n'est pas exprimée. C'est Aragon qui la suppose. Celle d'Aragon est due aux souvenirs des guerres. Elle est communicative. En effet, Elsa souffre qu'il souffre (mais on peut se demander le bien fondé de cette thèse. En effet, la souffrance d'Elsa n'est qu'imaginée par Aragon.) Il y aussi la souffrance de ceux qui sont morts : "Et qui sont les meilleurs de ce monde maudit" L'opposition entre meilleurs et maudit montre l'injustice de la mort. On peut rajouter de plus la souffrance collective par l'expression "notre tragédie" Il ne se plaint pas, c'est du lyrisme. La souffrance rapproche les êtres entre Aragon et Elsa. On peut l'observer par l'alternance de 2 rimes, à la fois au niveau sonore et par l'utilisation de rimes masculines et féminines. 3. Le thème du souvenir On observe dans ce poème le thème récurrent de la mémoire : le poème lui-même est un souvenir ("C'était...") de la situation (puisqu'il a été écrit après la guerre). C'est un hymne aux acteurs de la tragédie plus qu'à sa femme. Il se souvient malgré lui : "les coins de ma mémoire " Il n'est pas très sûr : "je crois". Ces souvenirs lui reviennent en flash, ce sont des traumatismes à propos de ces souvenirs : c'est un poids. Aragon associe ses souvenirs à quelque chose de beau. En effet, les souvenirs lui donnent l'inspiration : "A ranimer les fleurs sans fin de l'incendie" Lorsqu'il l'inspire, le souvenir est valorisé pour en faire quelque chose de presque beau. L'incendie n'est pas forcément associé à l'idée de brûlure. De plus, on peut voir que le souvenir s'estompe. Lorsqu'elle arrête de se peigner , le souvenir disparaît. On ne sait pas si c'est la souffrance qui donne l'inspiration, ou si c'est insupportable. Conclusion : Ce texte trouve sa beauté dans le non dit. En effet, Aragon suggère l'amour. Il trouve aussi sa beauté dans sa technique de construction rare, puisque la structure imite la chevelure d'Elsa. On assiste en effet à la séance quotidienne de coiffure. Ce n'est pas un texte surréaliste, mais presque : la cohérence des mots n'est pas recherchée, l'auteur s'intéresse à celle des idées. (Exemple : "assise à sa mémoire" n'a aucun sens hors contexte) . Aragon invente un monde virtuel pour évoquer une réalité horrible, cruelle. "Paris" Explication " Paris " est extrait de La Diane française, recueil publié en 1945 qui réunit les poèmes qu'Aragon diffusait clandestinement sous l'occupation allemande. Composé de quatre quintils, ce poème présente Paris, dont Aragon se fait le chantre, comme le lieu de la résistance face à l'occupant et comme l'emblème symbolique du sentiment patriotique. I. Le contexte tragique de la guerre et de l'Occupation 1. Un contexte de guerre On observe la présence du champ lexical de la guerre (" poudre ", " insurgé ", " vainqueur ", " libéré "). Au vers 12, " front " peut également s'interpréter comme la ligne de combat d'une armée. À ce premier champ lexical s'en ajoute un second, celui du feu, qui évoque la destruction de Paris pendant la Deuxième guerre mondiale. Dans les deux premières strophes, Aragon offre donc une vision à la fois émouvante et pathétique de Paris, en insistant sur les souffrances occasionnées par la guerre. 2. L'espoir d'une vie nouvelle De la douleur naît en effet l'espoir, notions indissociablement liées comme l'attestent les antithèses des vers 1 et 2, doublées d'un parallélisme. La répétition de l'adverbe " même " insiste sur la faculté qu'a Paris de rayonner malgré le combat dont la ville est le théâtre. L'ellipse de l'auxiliaire "être" au vers 3 tend à rapprocher davantage encore " malheur " et " courage ". De cet espoir témoigne également le champ lexical de la vie, métaphoriquement assimilée aux vertus euphorisantes et vivifiantes de l'alcool. 3. La métaphore du Phénix Outre la métaphore du " rosier " (qui évoque l'idée d'un cycle naturel, donc d'une renaissance), Aragon compare (aux vers 5 et 6) Paris au Phénix, oiseau légendaire capable de se consumer et de renaître de ses cendres. Ce don d'immortalité explique l'absence de pessimisme du texte : malgré les destructions matérielles, Paris reste un centre vital où peut germer la joie et l'espoir. II. Un vibrant éloge de la capitale 1. La progression du poème Le nom de la ville n'apparaît que dans la troisième strophe. Auparavant, la ville est évoquée de manière mystérieuse et elliptique (sous forme de questions, dans les vers 1 et 2 ; " y ", au vers 4 ; par le biais de deux lieux de la capitale, au vers 8). Dans les quintils 3 et 4, on assiste à un vibrant éloge de Paris : on note en effet des personnifications (vers 10 et 12), un rythme plus ample vers la fin du texte, l'anaphore de " rien " (qui a valeur d'hyperbole), l'accumulation d'adverbes d'intensification (" si pur ", " si fort ") et une diérèse expressive de " défiant " au vers 14. 2. Paris en personnage héroïque Paris est présentée comme une ville éternelle : on remarque la diérèse de " perpétuel " au vers 7, ainsi que la périphrase qui suggère l'immortalité de la ville au vers 8 (le " Point-du-Jour ", symbole du début de la vie, forme une boucle temporelle avec la cimetière du Père-Lachaise). Bref, ce qui caractérise Paris, c'est la courage et la révolte, qualités que résume le terme d'" insurgé " (vers 12). Cette héroïsation de Paris est sensible à travers le réseau très dense de termes laudatifs (" éclat ", " pur ", " front ", etc.), attributs traditionnels des héros mythologiques. III. Les sentiments du poète 1. Les indices énonciatifs de sa présence Le locuteur n'apparaît que tardivement, au vers 14 (" mon "), puis au vers 15 (" ce Paris que j'ai " puis aux vers 16 et 17 : le poète semble s'approprier la capitale. 2. Un lyrisme discret et pudique Le poète n'intervient qu'une seule fois, à la fin du texte : on ne compte qu'une seule occurrence du pronom je (au vers 15). On note à ce propos le jeu paronomastique (" le Paris que j'ai " évoque " le Paris que j'aime ") : cette pudeur de l'expression et ce lyrisme discret s'accordent à la simplicité des émotions (résumées en deux verbes : " rire et pleurer "). 3. Le dernier vers Le vers 20 témoigne cependant d'un lyrisme plus affirmé : la répétition du nom de la capitale rend sensible l'enthousiasme du poète et semble un cri de libération. Le pronom personnel " soi-même " permet de conclure enfin sur un point capital : la ville est le seul artisan de sa libération, ce dont elle est capable dans la mesure où elle possède une grande force intérieure. À la fois chant d'amour lyrique et profession de foi engagée, ce poème situe l'évocation de Paris sur un double plan, poétique et idéologique, dimensions qui se conjuguent pour rapprocher ce texte des grands chants de la Résistance. la diane francaise (2 receuils) caracteristique de ses poemes : 1) forme poetique jusqu'en 1940 il se consacre au poemes surrealistes Apres il revient a des poémes avec des strophes des rimes aux oriqines de la poesie francaise "la rime est l element caracteristique qui libere notre poesie de l emprise romaine " =preface des yeus d elsa . il a un desir de renouer avec les origines avec la musique .les chansons , l aspect musicale rend les textes pour facile pour les lecteurs 2)inspiration medievale il se passionne pour la litterature francaise du moyen-ages du 12 eme siecle chretien de troyes ivan le chevalier lion il est passionne par le roi arthur et de ses cycles il reve de la foret de brocéliande en bretagne ses histoires se passent souvent dans cette foret un roman=écrit en langue romane (ancien francais) dans la litterature medievale :roman poesie epique.Avec le poeme legende de gbriel peri , il le celebre les troubadours ont ecrit une poesie secrete des messages a decripter, on appel sa l art fermé des troubadours il y a plusieurs niveaux "clus trover" fermé trouver d aragon Avec elsa T il se remet au gout du jour avec la poesie de contre -bande .En 1940 il y a deux censure s les nazis et la police francaise (regime de vichy ) le vocabulaire on le retrouve dans le "descort" .Dans le poeme plainte pour le grans descort de france .En 1943 il ne peut plus jouer avec la censure , il est dans la lutte clandestine .L amour , un ideal de sittuation un amour raffiné ou la femme a une place importante ="amour courtois" " la fin amor" le chevalier accompli les missions de sa dame 3) la religion aragon etait haté , communiste .Dans ses poemes il se refere a la religion , il veut reunir croyant et non croyant la rose et le reseda .Il identifi la france a la vierge marie , unitée nationale contre les ennemis il veut vraiment que tout le monde se reunissent. Louis Aragon 97/82 -C'est un fils illegitime d'un haut-fonctionnairede la 4 eme republique.Classe sociale ,bourgeois déclassé par l argent .Passe son bac en 1914-1915 .Fait des etudes de medecine en 1917, il rencontre André Breton dans une formation pour etre médecin auxiliaire ,avant de partir au combat .1918 : il part au front mais sa famille lui révéle le nom de son pere biologique qui est Louis Andrieux et que sa mere avait 24 ans quand elle l a eu . -Participe au chemin des dames ,a ete enseveli plusieurs fois avec des obus. a ete medaille .Apres l armistice, il a ete obligé de rester millitaire en alsase.Fait l experience de l occupation en 1919, il comprendra mieu lorsque son pays sera occupé en 1940 par les Allemands . "les formes se ressemblent" -il participe a la création de la revue "littéraire " en 1919 son premier recueil dans les années 1920 s appele "feu de joie" mouvement dada puis mouvement surréaliste manifeste du surréalisme 1924 Andre Breton il ecrit un roman surréaliste " le paysan de paris "1927 -en 1927 il rencontre Elsa Tviolet , elle l entraine de plus en plus vers le communisme . 1939: il est mobilisé en belgique meme des combats a Dunkerque, il traverse la Loire avec "le pont de Cé " il passe en zone sud (non occupé )avec sa compagne a partir de 1940 .Il créé les premier réseau intellectuel et de createur. cette zone libre jusqu'en novembre 1942 ,Aragon trouve le partit communiste, il devient clandestin apres novembre 1942 .il publit en 1942 les yeux d elsa (car non surréaliste) en 1943 : les ecrivains faisaient ce qu ils voulaient (2 RECEUILS) la diane francaise decembre 1944 les yeux d elsa 1942 47,80

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