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DICTIONNAIRE: de FORMALISME à FUTUROLOGIE

Publié le 13/08/2010

Extrait du document

FORMALISME. n. m. (à partir de formel).

1° Attitude générale qui consiste à s'attacher scrupuleusement aux formalités, aux aspects officiels des choses. Cette attitude se manifeste dans le domaine juridique par un respect sourcilleux des règles et des conventions. Elle se retrouve aussi dans l'attachement excessif aux formes extérieures de la politesse, de l'étiquette, des usages cérémonieux. Devant tout manquement, la personne « formaliste « se sent choquée, elle « se formalise « (voir ci-dessus).

2° Dans le domaine littéraire et artistique, tendance à privilégier avant tout la forme des oeuvres, leur aspect purement esthétique, au détriment du contenu, des idées, des thèmes. Tendance qui peut aussi bien concerner les créateurs que les critiques.

En particulier, on donne le nom de Formalisme à une école de critique littéraire russe du début du XX° siècle (Moscou, Leningrad, Prague) qui met l'accent sur les aspects proprement formels de toute oeuvre, insiste sur l'autonomie de l'art, et tente d'analyser les

lois esthétiques (structurelles, formelles) qui régissent la spécificité des oeuvres (par exemple : les structures narratives du conte). Les formalistes réagissent contre la tendance à expliquer les oeuvres par des éléments selon eux extra-littéraires (la biographie, le contexte socio-historique, les idées ou intentions de l'auteur). Les théoriciens formalistes seront à l'origine de la linguistique moderne et du structuralisme.

FORME. n. f En littérature, on appelle classiquement «forme« d'un texte la façon dont il se présente (style, composition) par opposition au «fond «, qui en est le contenu (sujet, matière, thèmes, message).

Cette distinction, parfois commode pour aborder une oeuvre en première approximation (ou pour soi-même composer un texte), est mise en cause par la critique moderne. D'une part, au niveau de l'émotion du lecteur, le fond et la forme sont souvent si bien fondus dans une oeuvre réussie qu'il est impossible d'attribuer l'émotion produite à l'un ou l'autre des deux aspects. D'autre part, lorsqu'on regarde avec précision une oeuvre, on est vite dans l'embarras : une figure de style est-elle purement formelle ou traduit-elle une manière de penser? Une structure narrative est-elle « pure forme « ou expression d'une façon de voir le monde, de situer l'événement dans le temps ? La forme n'est jamais pur ornement ; le fond n'est jamais une substance en soi inséparable de son expression. L'oeuvre originale crée en même temps une pensée et une forme neuves. Le « sens « n'est souvent qu'un effet produit par un agencement de signes, sans qu'on sache ce qui est premier. Forme et contenu participent consubstantiellement à l'oeuvre.

FORMEL. adj. 1° Qui est relatif à la forme, à l'apparence extérieure. Beauté formelle. Politesse formelle (hypocrite).

2° Qui est parfaitement clair, précis, sans équivoque. Déclaration formelle. Preuve formelle. Indiscutable : ordre formel, catégorique. Ton formel. Il a été formel sur ce point.

FORNICATION. n. f. Au sens religieux (classique), péché de la chair. «Il m'a toujours semblé que nos concitoyens avaient deux fureurs : les idées et la fornication « (Camus, La Chute).

FORTUIT. adj. Qui se produit de façon imprévue, par hasard. Une rencontre fortuite. Un incident fortuit. C'est souvent ce dont on ignore les causes qui nous semble fortuit. Mots de sens voisin : accidentel, inopiné, occasionnel.

FORTUNE. n. (du latin fortuna, «sort; hasard bon ou mauvais «). 1° Sens ancien. Sort favorable ou défavorable. La Fortune était une déesse chez les Anciens : elle décidait à l'aveuglette des hasards favorables ou non, des sorts heureux ou malheureux que l'existence dispensait aux mortels. D'où l'idée, dans la langue classique, d'une puissance qui distribue au hasard le bonheur ou le malheur.

Sens classique. Ensemble d'événements qui arrivent à quelqu'un. Il a traversé la vie avec une plus ou moins bonne fortune. Ses livres ont eu des fortunes diverses. Destinée, chance.

À partir de l'expression bonne fortune, le terme a eu peu à peu une connotation positive. Cette bonne fortune étant souvent de nature financière, le mot a pris le sens qui suit.

Sens courant (actuel). Ensemble de biens ; richesse, argent, patrimoine. Avoir une petite ou grande fortune. Par extension, grande richesse. C'est une fortune ! Faire fortune. Avoir de la fortune, être fortuné.

FORUM. Mot latin désignant la place publique où s'assemblait le peuple, à Rome ou dans les autres villes de l'Empire romain. Ce mot est utilisé en français pour désigner le lieu symbolique où se déroule le débat politique. La télévision est devenu l'unique forum où se joue le sort de la démocratie. On l'emploie aussi pour désigner des réunions ou des colloques qui se tiennent sur divers sujets. Vous êtes invité au Forum international sur la condition féminine. Pluriel : des forums.

N.B. Au mot latin forum correspond le mot grec Agora.

FOURVOYER (SE). v. pron. (de l'ancien français fors, «hors de « et voie, « chemin «). Sens littéraire : s'égarer, se détourner du bon chemin. « Un chien qui s'était fourvoyé par mégarde« (La Fontaine). Sens figuré (le seul actuel) : se tromper complètement ; être pleinement dans l'erreur. A partir d'une expérience fausse, des savants se sont fourvoyés dans une ridicule théorie sur la mémoire de l'eau. Cet idéaliste s'est fourvoyé dans le commerce.

FOYER. n. m. (à partir du latin focus, «foyer, feu «).

Au sens figuré, lieu central d'où provient quelque chose, par analogie avec le feu de l'âtre qui rayonne chaleur et lumière. Source, origine, cause. Le foyer de la maladie. Le foyer de la rébellion. Ce foyer d'images et de rêves d'où était issue son inspiration. Dans l'idée de foyer, il reste toujours une trace de l'image originelle, celle d'un rayonnement intense partant d'un point central.

FRANCOPHONIE. n. f Ensemble de pays ou de populations parlant la langue française, habituellement ou occasionnellement. Dans certains pays, le français peut être la langue officielle, mais les diverses ethnies peuvent pratiquer, dans leur communauté, des langues ou des dialectes qui leur sont propres.

FRAYER. v. tr. Ouvrir, tracer un chemin. Frayer une voie, au propre comme au figuré.

v. tr. ind. Frayer avec, fréquenter quelqu'un, avoir des relations amicales avec une personne ou avec un groupe. Il frayait peu avec ses collègues de bureau.

FRELATÉ. adj. (sens propre) Se dit d'un produit falsifié, dénaturé par quelque mélange (en vue de tromper le client). Un vin frelaté; des marchandises frelatées.

(sens figuré) Altéré, dénaturé, corrompu. Les moeurs frelatées d'un milieu décadent. Qui a perdu toute pureté, tout naturel. Le mode de vie frelaté des grandes agglomérations. Une littérature médiocre, commerciale, frelatée.

FRÉNÉSIE. n. f État d'exaltation violente, qui se manifeste par un comportement agité, fébrile, ou par une ardeur intense. Une foule en pleine frénésie. La frénésie d'une passion. Il travaille avec frénésie, avec enthousiasme. Des applaudissements frénétiques; un rythme frénétique ; un style frénétique, agité, passionné. Une littérature frénétique, qui pousse les sentiments, les thèmes, les scènes jusqu'à leur paroxysme.

FRUGAL. adj. Se dit d'une nourriture d'une alimentation simple et peu abondante. Un repas frugal. Par extension, s'applique à un mode de vie austère, sobre, ascétique, tempéré. Il dépense peu, il consomme peu : il mène une existence frugale.

FRUSTE. adj. Grossier, rude; mal dégrossi ; sans finesse. Un marbre fruste. Une personne fruste. Un style fruste.

FRUSTRER. y. tr. Priver quelqu'un d'un avantage (ou d'une satisfaction) qui lui paraissait dû, qui lui semblait naturel. Frustrer un héritier de sa part d'héritage, d'un bien qui devait lui revenir. Décevoir, plonger dans l'insatisfaction. Etre frustré dans ses espérances, dans ses désirs, dans ses attentes. La vie m'a continuellement frustré.

La notion de frustration dépasse la notion de privation. La privation est un manque auquel on peut se résigner. La frustration est un manque ressenti comme injuste : le frustré se sent lésé dans son droit, trompé dans son attente, que sa frustration soit objective ou subjective. La psychanalyse, qui confrère au désir une place essentielle dans la psychologie humaine, use abondamment de la notion de frustration. Pour l'inconscient, toute limitation est frustration, la sexualité est toujours «frustrée«. D'où l'acception courante du mot «frustré « au sens de «frustration sexuelle«. Il a des obsessions, des fantasmes : il doit être frustré.

FUG-. Racine issue du latin fugere, «fuir«. Elle entre dans la composition des mots Fugace (qui passe et disparaît promptement : une impression fugace), Fugitif (qui fuit, qui passe — un bonheur fugitif; comme nom : individu qui s'enfuit), Fugue (escapade, fuite; voir également ce mot dans son sens musical). Mais aussi, comme suffixe, dans Calorifuge (qui empêche la chaleur de fuir), Centrifuge (qui fuit le centre, qui s'en éloigne, contrairement à Centripète), Refuge (lieu où l'on fuit pour se mettre à l'abri), Subterfuge (prétexte, moyen par lequel on fuit une situation embarrassante; faux-fuyant), Transfuge (individu qui fuit d'un parti ou d'un groupe pour passer dans le camp opposé).

FUGUE. n. f En musique, composition dans laquelle un premier thème exposé «fuit « devant un second qui le chasse, pour se faire réentendre parallèlement dans une tonalité différente ou à une autre octave. Plusieurs autres thèmes (ou voix) peuvent entrer dans ce développement, selon une complexité croissante. Les diverses potentialités mélodiques des thèmes sont ainsi systématiquement explorées. La Fugue se fonde sur l'art du Contrepoint (voir ce mot). Elle constitue l'une des formes majeures de ce qu'on a appelé la polyphonie, dans la musique classique européenne.

FULMINER. y. tr. (du latin fulminare, « lancer la foudre«). Faire éclater sa colère en lançant des menaces, des injures, des reproches.

Fulminer contre quelqu'un, contre le gouvernement, contre l'époque. Le « Misanthrope « de Molière fulmine contre les hommes. Éclater, exploser, tempêter, vitupérer.

FUNÈBRE. adj. (du latin funus, funeris, «funérailles «). Qui est relatif à la mort, aux funérailles. Une cérémonie funèbre, les pompes funèbres, une marche funèbre. Par extension : qui évoque ou exprime des idées de mort, de tristesse mortelle; qui renvoie à une atmosphère sinistre, sépulcrale. Un silence funèbre, un visage funèbre, des pensées funèbres; une scène, une résonance funèbre. Voir la différence avec le mot suivant, funeste.

FUNESTE. adj. Qui annonce ou qui cause le malheur, la mort. Un funeste présage. Des circonstances funestes. Par extension, qui entraîne de graves conséquences, la désolation. Une erreur funeste. Un enchaînement funeste de causes et d'effets. Un spectacle funeste. Fatal, catastrophique. Le sens est parfois affaibli : une influence funeste (nuisible). Ne pas confondre avec funèbre, bien que les termes (d'étymologie commune) se rejoignent : ce qui est funeste aboutit souvent à des situations tragiques, funèbres.

FURIBOND. adj. Furieux, avec un excès qui tend au ridicule. Un petit homme furibond. Lancer des regards furibonds.

FUSTIGER. y. tr. (sens propre, ancien) Fouetter, battre à coups de bâton.

(sens figuré, littéraire) Blâmer, critiquer vertement. Fustiger les moeurs contemporaines. Fustiger les journalistes, les publicitaires et les politiciens, tous complices. Fustiger l'anarchie. Dénoncer, condamner, stigmatiser, flétrir.

FUTILE. adj. Vain, frivole, insignifiant. Des choses futiles, des propos futiles, des motifs futiles, des plaisirs futiles. Qui ne s'occupe que de choses sans importance. Une femme futile. Des magistrats futiles au plus profond d'eux-mêmes.

 

N.B. On oppose souvent, en jouant sur la rime, ce qui est futile à ce qui est utile. C'est un bel exemple de paronomase (voir Paronyme).

FUTURISME. n. m. Mouvement littéraire et artistique, né en Italie au début du XX° siècle, qui rejette les modèles esthétiques traditionnels et le culte des objets anciens, pour exalter tout ce qui, dans la vie moderne, annonce un futur en rupture totale avec le passé (en particulier la vitesse, la violence de la vie urbaine, la machine).

2° Attitude de ceux qui recherchent, dans tous les domaines, ce qui préfigure le futur. Caractère de ce qui annonce le style de l'avenir. Le futurisme cinématographique. Une esthétique futuriste. Des inventions futuristes. L'univers futuriste d'un roman de science-fiction.

FUTUROLOGIE. n. f Ensemble des études et des recherches concernant l'évolution à venir des sociétés humaines, dans tous les domaines (techniques, scientifiques, économiques, sociaux). La futurologie utilise toutes les méthodes de la prospective.

Ne pas confondre avec Futurisme.

 

 

« FOURVOYER (SE).

v.

pron.

(de l'ancien français fors, «hors de » et voie, « chemin »).

Sens littéraire : s'égarer, se détourner du bon chemin.

« Un chien qui s'était fourvoyé par mégarde» (La Fontaine).

Sens figuré (le seul actuel) : se tromper complètement ; être pleinement dans l'erreur.

A partir d'une expérience fausse, des savants se sontfourvoyés dans une ridicule théorie sur la mémoire de l'eau.

Cet idéaliste s'est fourvoyé dans le commerce. FOYER.

n.

m.

(à partir du latin focus, «foyer, feu »). Au sens figuré, lieu central d'où provient quelque chose, par analogie avec le feu de l'âtre qui rayonne chaleur et lumière.

Source, origine, cause.

Le foyer de la maladie.

Le foyer de la rébellion.

Ce foyer d'images et de rêves d'oùétait issue son inspiration.

Dans l'idée de foyer, il reste toujours une trace de l'image originelle, celle d'unrayonnement intense partant d'un point central. FRANCOPHONIE.

n.

f Ensemble de pays ou de populations parlant la langue française, habituellement ou occasionnellement.

Dans certains pays, le français peut être la langue officielle, mais les diverses ethnies peuventpratiquer, dans leur communauté, des langues ou des dialectes qui leur sont propres. FRAYER.

v.

tr.

Ouvrir, tracer un chemin.

Frayer une voie, au propre comme au figuré. v.

tr.

ind.

Frayer avec, fréquenter quelqu'un, avoir des relations amicales avec une personne ou avec un groupe.

Il frayait peu avec ses collègues de bureau. FRELATÉ.

adj.

(sens propre) Se dit d'un produit falsifié, dénaturé par quelque mélange (en vue de tromper le client). Un vin frelaté; des marchandises frelatées. (sens figuré) Altéré, dénaturé, corrompu.

Les moeurs frelatées d'un milieu décadent.

Qui a perdu toute pureté, tout naturel.

Le mode de vie frelaté des grandes agglomérations.

Une littérature médiocre, commerciale, frelatée. FRÉNÉSIE.

n.

f État d'exaltation violente, qui se manifeste par un comportement agité, fébrile, ou par une ardeur intense.

Une foule en pleine frénésie.

La frénésie d'une passion.

Il travaille avec frénésie, avec enthousiasme.

Desapplaudissements frénétiques; un rythme frénétique ; un style frénétique, agité, passionné.

Une littératurefrénétique, qui pousse les sentiments, les thèmes, les scènes jusqu'à leur paroxysme. FRUGAL.

adj.

Se dit d'une nourriture d'une alimentation simple et peu abondante.

Un repas frugal.

Par extension, s'applique à un mode de vie austère, sobre, ascétique, tempéré.

Il dépense peu, il consomme peu : il mène uneexistence frugale. FRUSTE.

adj.

Grossier, rude; mal dégrossi ; sans finesse.

Un marbre fruste.

Une personne fruste.

Un style fruste. FRUSTRER.

y.

tr.

Priver quelqu'un d'un avantage (ou d'une satisfaction) qui lui paraissait dû, qui lui semblait naturel. Frustrer un héritier de sa part d'héritage, d'un bien qui devait lui revenir.

Décevoir, plonger dans l'insatisfaction.

Etrefrustré dans ses espérances, dans ses désirs, dans ses attentes.

La vie m'a continuellement frustré. La notion de frustration dépasse la notion de privation.

La privation est un manque auquel on peut se résigner.

Lafrustration est un manque ressenti comme injuste : le frustré se sent lésé dans son droit, trompé dans son attente, que sa frustration soit objective ou subjective.

La psychanalyse, qui confrère au désir une place essentielle dans lapsychologie humaine, use abondamment de la notion de frustration.

Pour l'inconscient, toute limitation est frustration, la sexualité est toujours «frustrée».

D'où l'acception courante du mot «frustré » au sens de «frustrationsexuelle».

Il a des obsessions, des fantasmes : il doit être frustré. FUG-.

Racine issue du latin fugere, «fuir».

Elle entre dans la composition des mots Fugace (qui passe et disparaît promptement : une impression fugace), Fugitif (qui fuit, qui passe — un bonheur fugitif; comme nom : individu qui s'enfuit), Fugue (escapade, fuite; voir également ce mot dans son sens musical).

Mais aussi, comme suffixe, dans Calorifuge (qui empêche la chaleur de fuir), Centrifuge (qui fuit le centre, qui s'en éloigne, contrairement à Centripète), Refuge (lieu où l'on fuit pour se mettre à l'abri), Subterfuge (prétexte, moyen par lequel on fuit une situation embarrassante; faux-fuyant), Transfuge (individu qui fuit d'un parti ou d'un groupe pour passer dans le camp opposé). FUGUE.

n.

f En musique, composition dans laquelle un premier thème exposé «fuit » devant un second qui le chasse, pour se faire réentendre parallèlement dans une tonalité différente ou à une autre octave.

Plusieurs autres thèmes(ou voix) peuvent entrer dans ce développement, selon une complexité croissante.

Les diverses potentialitésmélodiques des thèmes sont ainsi systématiquement explorées.

La Fugue se fonde sur l'art du Contrepoint (voir ce mot).

Elle constitue l'une des formes majeures de ce qu'on a appelé la polyphonie, dans la musique classiqueeuropéenne. FULMINER.

y.

tr.

(du latin fulminare, « lancer la foudre»).

Faire éclater sa colère en lançant des menaces, des injures, des reproches. Fulminer contre quelqu'un, contre le gouvernement, contre l'époque.

Le « Misanthrope » de Molière fulmine contreles hommes.

Éclater, exploser, tempêter, vitupérer. FUNÈBRE.

adj.

(du latin funus, funeris, «funérailles »).

Qui est relatif à la mort, aux funérailles.

Une cérémonie. »

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