Le Discours sur les sciences et les arts - Rousseau

« --- Informations sur l'utilisateur --- Sujet que l'utilisateur souhaitait consulter : (Id: 28677) HANNAH ARENDT : LACRISE DE LA CULTURE (Résumé & Analyse) Nom : Em B E-mail : [email protected] Id user : 166441Vente autorisée : Oui Pour visualiser son profil suivez ce lien : http://www.devoir-de- philosophie.com/compte/emyyxmb.html --- Informations sur le document transmis --- Titre : Résumé sur le discours des sciences et des arts de Rousseau Catégorie: Philosophie Envoyé par copier/coller --- Contenu du document --- Contenu du copier/coller:Première partie Dans la première partie, Rousseau affirme que les sciences et les arts ont amené des choses magnifiques que l'on n'auraitjamais crues possible auparavant étant donné que l'Europe se trouvait dans une période où elle était dans un état pire quel'ignorance.

Par contre, elles ont brimées la liberté dont l'être humain serait supposé de bénéficier.

Les sciences et les artsviennent créer une sorte d'esclavage chez les êtres humains en voulant les transformer en un peuple civilisé.

De plus, selon lui, l'homme bien ne se vêtit point de parures, puisque celles-ci l'empêchent de montrer sa vraie nature etelles viennent s'opposer à sa vertu.

L'homme bien est nu, car il ne veut nullement cacher ses défauts qui ne feront que lerendre plus fort plutôt que de venir le gêner.

Depuis le rétablissement des sciences et des arts, nos moeurs ont perdu de leurauthenticité.

Elles étaient peut-être simples par le passé, mais personne ne doutait de l'exactitude de celles-ci.

À l'époque oùRousseau a écrit ce discours, les êtres humains tendent à devenir tous pareilles et ceux qui sont différents ont trop peurd'être ce qu'ils sont vraiment, car ils veulent plaire aux autres.

Avec toute cette fourberie dans les environs, il devient difficilede savoir à qui faire confiance, car auparavant les hommes trouvaient leur sécurité à travers la facilité à laquelle il pouvait voirà l'un travers l'autre.

Ces deux disciplines ont donc créé une incertitude qui n'existait pas précédemment.

Malgré cela,Rousseau croit que l'humain est de nature bon et devient le contraire à cause de la corruption faite par les sciences et les arts.

Un peu plus loin, Rousseau mentionne que nous sommes des gens bien à cause de la pureté de nos moeurs.

Les sciences etles arts, ayant mis fin à toute la simplicité que celles-ci possédaient, ne sont pas le moindrement responsable d'une telleoeuvre.

Le développement de ces deux domaines n'a fait qu'abîmer nos esprits et nous faire perdre de notre vertu.

Plusieursdes plus grandes puissances dans le monde, dont l'Égypte, la Chine et la Grèce, ont adhéré à ce mouvement.

À l'opposé,certains peuples comme : les premiers Perses, les Scythes et les Germains ont préféré résister à cette nouvelle mode.

Cettedécision de leur part ne s'est faite à cause d'une stupidité ou d'une ignorance de l'éclosion des sciences et des arts, mais parcequ'ils ont voulu rester fidèles à leurs moeurs et à qui ils sont.

Dans une partie de son discours, Rousseau fait appel à Socrate pour qu'il vienne l'appuyer dans ses propos.

Autrefois, Socratea dit qu'il n'y personne sur Terre qui n'est capable de distinguer ce qu'est « le vrai, le bon et le beau.

»1 Donc, si l'on écoute ceque dit Socrate, personne ne sait rien, même les plus grands savants de cette époque.

Selon Socrate, il vaut mieux ne riensavoir et de ne point avoir de doutes que d'avoir des doutes en croyant savoir quelque chose quand en réalité on ne sait rien.. »