Devoir de Philosophie

Divertissement pascalien

Publié le 02/01/2011

Extrait du document


Pascal
Biographie : Le génie de Pascal frappe par sa diversité : génie scientifique qui invente une machine à calculer, se livre à des expériences de physique, résout de grands problèmes mathématiques ; mais aussi penseur étonnant, tour à tour théologien, philosophe, rhéteur, logicien. Pascal aborde ces divers domaines dans des oeuvres de circonstance, ce qui lui donne un caractère d'écrivain "engagé", mais toujours au service d'une vérité supérieure à l'actualité des discours, qu'elle soit vérité scientifique, morale ou religieuse. Toute son oeuvre témoigne ainsi de la quête qui anima sa brève existence. Pascal est né en 1623 à Clermont-Ferrand. À la mort de sa mère en 1625, il reste seul avec son père, de petite noblesse, cultivé et amoureux du savoir, et ses deux soeurs. La famille s'installe à Paris en 1631 et fréquente les milieux scientifiques. De son père, Pascal apprend les humanités et les sciences. Élève surdoué, il ne reçoit donc pas la culture scolaire de son époque, héritière du Moyen Âge, et ignorante de l'esprit moderne ; il rentre immédiatement dans un univers culturel où le précèdent les pionniers des temps modernes, comme Galilée, Descartes ou Fermat. Ce développement intellectuel va de pair avec une évolution religieuse : en 1646, à Rouen, toute la famille se convertit au christianisme austère de Port-Royal. Pascal, modéré jusque là, prend conscience de la pleine signification de la condition chrétienne. Sa foi devient militante et apologétique. Toutefois, il reste dans le monde encore sept ans pendant lesquels il se livre à des activités scientifiques célèbres comme ses expériences sur le vide ou le calcul des probabilités. En 1654, après l'expérience mystique de la "nuit du Mémorial", Pascal s'engage à vivre selon l'Évangile, oubliant tout hormis Dieu, non "le Dieu des philosophes et des savants", mais le Dieu sensible au coeur, celui d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Dès lors, Pascal se consacre à l'apologie de la religion chrétienne. De ce travail, seuls subsistent des fragments, les Pensées, rassemblés et classés par Port-Royal après sa mort, survenue en 1662 à la suite d'une maladie longue et douloureuse. Divertissement pascalien: Se divertir c'est aujourd'hui s'amuser, se distraire. Avant le 17° siècle, le mot, conformément à son étymologie latine (divertere) signifiait : « action de détourner de «, par Pascal construit sur l'étymologie une catégorie morale. Le divertissement est une pratique d'esquive, typique de l'existence humaine. Il s'agit de ne plus penser à quelque chose qui nous afflige, de nous détourner d'une réalité déplaisante. Exemple détourner un bien dans un inventaire. Cette réalité déplaisante n'est pas un mal circonstanciel, par exemple un deuil, un échec sentimental ou professionnel. C'est un malheur constitutif de notre existence. Notre condition est celle d'un être faible, mortel, exposé à la maladie, aux affres de la solitude, à de multiples soucis et de surcroît, privé du seul être qui pourrait le combler, entendons priver de Dieu. C'est donc celle d'un être « misérable « condamné pour supporter cette misère à tout faire pour n'y point penser. « Les hommes n'ayant pu guérir la mort, la misère, l'ignorance, ils se sont avisés pour se rendre heureux de n'y point penser « B. 168. L'homme ne peut être heureux ni en repos ni dans l'agitation qui fait l'ordinaire de sa vie. Analyse Se divertir dans le sens courant : avoir des loisirs, lecture, ciné, pêche, musique. Ainsi, le sens courant de se divertir c'est passer du bon temps, échanger avec des personnes, se sentir bien, de même se divertir est a n'importe quel temps de la journée. L'homme recherche ces moments de tranquillité. Moments exceptionnels d'échanges, de rigolade. C'est en second lieu un moyen d'oublier le stress, cela sous entend que se divertir n'est pas forcement liée au fait d'être tracasser, de s'ennuyer. Or, selon pascal on se diverti pour oublier qu'on vieillit, qu'on est misérable .le divertissement est une échappatoire pour ne plus penser a la mort. Refuge vital, occuper l'esprit. Pascal propose de faire la guerre car selon lui, cela permet à l'Homme d'avoir l'esprit acharné à faire autre chose. Solitude morbide, pour oublier a quel point il est. Pour pascal le divertissement inclus toutes les activités qui nous empêchent de réfléchir sur nous même. Chasse, jeu, danse. Pour pascal, l'homme ne peut être définit, cocu qu'avec une pensée, sa conscience. Pensée fait la grandeur de l'homme. Pascal affirme cette idée parce que l'homme est le seul être vivant sr terre a savoir prendre des décision s, avoir une conscience morale du bien et du mal ; il est celui qui s'engage dans des choix durant sa vie et c'est le seul être vivant a prendre en charge son existence du fait justement qu'il soit doué de ce privilège immense qu'est la conscience , pascal utilise le mot « grandeur «. L'homme est une plante, au même titre qu'un roseau mais c'est une plante qui PENSE « Ne que « è négation restrictive pour montre que l'homme est équivalant a de l'herbe au même titre qu'un arbre. Mais ce qu'il ajoute, ce qui fais la spécificité de cet être vivant c'est qu'il est doté d'une conscience, il est « pensant «. Au même titre que la tempête qui viendra abimer un arbre, l'homme est fragile : il peut être détruit par une tempête, une maladie, une souffrance, l'homme peut plier sous les maux de l'existence. L'homme sait qu'il souffre, qu'il plie face a la douleur, mais ce qui fait sa grandeur c'est qu'il a la capacité de ne pas se briser. C'est le fait de sa conscience qu'l est grand, il sait qu'il va mourir, qu'il est fragile, contrairement a un arbre qui n'a pas conscience de la MORT. Pascal veut montrer a quel point l'homme est fragile, a quel point il peut risquer sa vie, a quel point il est faible et que n'importe quoi peut le détruire. Ce qui fait la valeur de l'homme, pour pascal, est sa conscience, ce qui fait que l'homme est « digne « terme kantien. L'homme est a lui seul une fin en soit. « Travaillons donc a bien penser « phrase impérative. Pascal nous propose de mener notre vie le mieux possible parce que nous en somme capable. Parce que nous sommes dotés d'une conscience. Pascal nous invite à éviter de penser la MORT ou a penser autrement la MORT puisque cela nous rend malheureux, la condition humaine peut paraitre injuste mais c'est moi et moi seul qui l'interprète de cette façon. JE SUIS UN ETRE VIVANT COMME UN ARBRE, J'AI CONSCIENCE, CETTE CONSIIENCE ME REVELE MA MORT, DU COUP JE SUIS MALHEUREUX, JE CHOISIS DONC DES SUBTERFUGES POUR NE PLUS Y PENSER (DIVERTISSEMENT). Ce n'est pas la Multiplication de richesse qui va conditionner le bonheur de l'homme, le bonheur ne viens pas de ce qui est matériel, le bonheur a pour origine l'homme lui-même. CF : Don Juan de Moliére qui multiplie les conquettes amoureuses pour esperer trouver le bonheur, mais cette multiplication de paretnaires le fait sombre dans le malheur. à Mort Plan : Introduction d'explication de texte: L'homme est un être vivant au même titre que les autres sur terre ; ainsi je peux être considéré au même rang qu'un arbre dans la nature ou un coquelicot dans un pré.(AMORCE) Il s'agit d'un texte dont l'auteur est Pascal, c'est un extrait de l'ouvre entière Pensées, plus précisément le fragment 347.Dans ce texte l'auteur nous invite a réfléchir sur notre condition humaine et la relation que j'entretiens ave ma conscience. Je suis effectivement un être vivant mais doué de la conscience .(PRESENTATION) Dans ce passage l'auteur nous explique que l'homme est comparable a un roseau car c'est un être vivant . Cependant l'homme est un être a part car il est , contrairement a une fleur, doté d'une conscience. Cette conscience lui permet de se rendre compte qu'il est voué a la finitude et par conséquent I- L'homme est un être vivant fragile : Travaillions donc a bien penser. II- L'homme être vivant doté de la conscience : Je ne puis concevoir. III- L'homme « digne « construit son bonheur : Travaillions donc a bien penser.  

« plante qui PENSE« Ne que » è négation restrictive pour montre que l'homme est équivalant a de l'herbe au même titre qu'un arbre.Mais ce qu'il ajoute, ce qui fais la spécificité de cet être vivant c'est qu'il est doté d'une conscience, il est «pensant ».

Au même titre que la tempête qui viendra abimer un arbre, l'homme est fragile : il peut être détruit parune tempête, une maladie, une souffrance, l'homme peut plier sous les maux de l'existence.

L'homme sait qu'ilsouffre, qu'il plie face a la douleur, mais ce qui fait sa grandeur c'est qu'il a la capacité de ne pas se briser.C'est le fait de sa conscience qu'l est grand, il sait qu'il va mourir, qu'il est fragile, contrairement a un arbre qui n'apas conscience de la MORT.

Pascal veut montrer a quel point l'homme est fragile, a quel point il peut risquer sa vie,a quel point il est faible et que n'importe quoi peut le détruire.

Ce qui fait la valeur de l'homme, pour pascal, est saconscience, ce qui fait que l'homme est « digne » terme kantien.

L'homme est a lui seul une fin en soit.

« Travaillonsdonc a bien penser » phrase impérative.

Pascal nous propose de mener notre vie le mieux possible parce que nousen somme capable.

Parce que nous sommes dotés d'une conscience. Pascal nous invite à éviter de penser la MORT ou a penser autrement la MORT puisque cela nous rend malheureux, lacondition humaine peut paraitre injuste mais c'est moi et moi seul qui l'interprète de cette façon. JE SUIS UN ETRE VIVANT COMME UN ARBRE, J'AI CONSCIENCE, CETTE CONSIIENCE ME REVELE MA MORT, DU COUPJE SUIS MALHEUREUX, JE CHOISIS DONC DES SUBTERFUGES POUR NE PLUS Y PENSER (DIVERTISSEMENT). Ce n'est pas la Multiplication de richesse qui va conditionner le bonheur de l'homme, le bonheur ne viens pas de cequi est matériel, le bonheur a pour origine l'homme lui-même.CF : Don Juan de Moliére qui multiplie les conquettes amoureuses pour esperer trouver le bonheur, mais cettemultiplication de paretnaires le fait sombre dans le malheur.

à Mort Plan : Introduction d'explication de texte:L'homme est un être vivant au même titre que les autres sur terre ; ainsi je peux être considéré au même rang qu'unarbre dans la nature ou un coquelicot dans un pré.(AMORCE) Il s'agit d'un texte dont l'auteur est Pascal, c'est unextrait de l'ouvre entière Pensées, plus précisément le fragment 347.Dans ce texte l'auteur nous invite a réfléchirsur notre condition humaine et la relation que j'entretiens ave ma conscience.

Je suis effectivement un être vivantmais doué de la conscience .(PRESENTATION) Dans ce passage l'auteur nous explique que l'homme est comparable aun roseau car c'est un être vivant .

Cependant l'homme est un être a part car il est , contrairement a une fleur,doté d'une conscience.

Cette conscience lui permet de se rendre compte qu'il est voué a la finitude et parconséquent I- L'homme est un être vivant fragile :Travaillions donc a bien penser.II- L'homme être vivant doté de la conscience :Je ne puis concevoir.III- L'homme « digne » construit son bonheur :Travaillions donc a bien penser. Sujet désiré en échange : http://www.devoir-de-philosophie.com/commentaire-maurice-merleau-ponty-phenomenologie-perception-7049.html. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles