Entre science et religion, le conflit est-il inévitable ?

« La science et la religion sont deux choses différentes.

En effet, la science est la connaissance, elle est prouvée pardes recherches alors que la religion n’est pas réel, elle est fondé sur la croyance de l’individu.

Il y a croyance la oule savoir est impossible.

Ne pas confondre la conviction religieuse avec la certitude scientifique.

Une croyancereligieuse peut être d’une très grande force (tel que le cas de la foi), elle ne peut s’appuyer sur aucunedémonstration ni sur aucune preuve.

Dans une première partie, nous allons démontrer que la science contredit lareligion.

Et dans une seconde partie, nous allons démontrer qu’au contraire la science ne contredit pas la religion.Tout d’abord, la science contredit la religion.

En effet, la religion est un ensemble de croyance et d’actions rituellesalors que la science est prouvée par des recherches, des expériences.

La croyance est différente chez chaqueindividu.

Certains individu croit en se qu’il voit alors que d’autre croit en leur religion.

Comme par exemple lacroyance en Dieu.

Certaine personne croit en Dieu, au fait qu’il a bien existé alors que d’autre non car son existencen’a pas été prouvé.

En effet, nous n’avons pas de fait réel qui prouve que Dieu à bien existé.

La science est aussiune croyance car certaine personne croit en la science est non en la religion.

L’évolution de la science fera toujoursrégresser la religion car la science se fabrique autour de l’analyse, de l’expérimentation et ensuite de la validation.Toutes les découvertes scientifiques se sont appuyées sur l’observation, l’analyse puis l’expérimentation.

Quand à lareligion, s’appuie sur de l’abstrait qui ne peut être étudié scientifiquement.

Par manque d’expérimentation, lesscientifiques refuseront toujours les religions et leurs opinions abstraits.Ensuite, la science ne contredit pas la religion.

En effet, malgré l’évolution technologique des scanners, IRM,l’homme essayera toujours de se rattacher à une source spirituelle.

Elle le rassure, le réconforte dans sa vie.

Lascience est une méthode au service de l’humanité pour mieux comprendre l’univers naturel.

C’est une recherche deconnaissance par l’observation et la supposition.

Les avancées de la science démontrent l’étendue de la logique etde l’imagination humaine.

Toutefois, la confiance d’un chrétien dans la science ne devrait jamais être semblable à saconfiance en Dieu.

Un chrétien peut avoir la foi en Dieu et le respect de la science, pour autant qu’il se souviennelequel des deux est parfait et lequel ne l’est pas.

Notre confiance en Dieu est une confiance fondée sur la foi.

Notreconfiance en la science devrait être intellectuelle rien de plus.

Nous pouvons attendre de la science qu’elle fasse degrandes choses, mais nous pouvons aussi attendre d’elle qu’elle fasse des erreurs.

Les chrétiens n’ont pas à craindrede la vérité et n’ont donc aucunes raisons de craindre ou détester la bonne science.

Or, les scientifiques les plusrationnels, même ceux qui refusent de croire en Dieu, admettent qu’ils ne comprennent que partiellement l’univers.Ils admettent que ni Dieu, ni la Bible ne peuvent être prouvés ou réfutés.

La science devrait être une disciplinepurement neutre, recherchant seulement la vérité et non les preuves pour soutenir une idéologie.En conclusion, la science ne contredit pas la religion d’après moi car l’homme à besoin de la croyance et de lascience pour construire sa propre opinion.

Chaque individu a un avis différent sur se qui l’entoure. La raison est le fait de réfléchir avant d’agir et sans excès, et savoir se maitriser sans se laisser influencer, ni soi-même ni son jugement.

Son rôle principal est quête du bonheur et du bien.A contrario, avoir la foi, c’est établir sa croyance là où la raison humaine interdit de croire.

On ne pourrait mieux ladéfinir, car ce n’est pas spécialement la croyance en un ou plusieurs Dieux (le bouddhisme est une croyance sansDieu) mais la croyance de ce qui n’est pas rationnel, qui ne se définit pas.La raison et la foi semblent être au cœur d’une rivalité depuis fort longtemps.

Au IIIe siècle avant Jésus Christ,l’Epicurisme, qui faisait entendre que « le monde n’est rien pour nous, il ne faut pas en avoir peur ni craindre lesdieux » s’opposait déjà au Stoïcisme qui énonçait que « le monde est un être vivant dont Dieu est l’âme ».L’explication rationnelle par la force des arguments paraît dénier toute objectivité à tout ce qui relève du surnaturelet de l’incroyable.

Ce rapport devient davantage conflictuel lorsqu’un des deux parti cherche à transgresser l’autre,à lui faire perdre toute crédibilité.Faudrait-il en conclure cependant que la foi s’oppose totalement à la raison, et que la réconciliation des deux seraitimpossible ?Dans un premier temps, nous étudierons en quoi la raison, par ses arguments, peut pousser à bout la croyance.Dans un second temps, nous verrons pourquoi la foi n’a guère envie que la raison cherche à la transgresser et enfin,nous nous demanderons s’il est possible qu’une compatibilité existe entre ces deux entités. I RAISON, LIMITE DE LA CROYANCELa Pensée n’est pas au centre de toute l’Humanité, bien qu’elle soit précisément le propre de l’Homme, ce qui ledéfinit.

Elle est plutôt ressentie comme un acte de liberté (les esclaves ne sont pas libres et n’ont pas le droit depenser : ils doivent se contenter d’agir et de subir).

De plus, la vérité ne repose pas sur des traditions mais sur untravail de l’esprit par recherche de jugement universel « penser par soi & pour tous » : raisonner, c’est doncrechercher par soit même les causes des conséquences.

LEIBNIZ : « rien n’est sans raison ».La Raison se base sur un enchaînement de questions, permettant aux idées de se lier afin de d’atteindre une véritéclaire et qui ne puisse être contredite.

Ce raisonnement a été défini par KANT, grâce aux questions fondamentales :* que puis-je connaitre ? (comment aller à la vérité & quelles en sont les limites). »