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Faut-il avoir peur de l'inflation ?

Publié le 27/06/2012

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La courbe de Philipps établie une relation inversement proportionnelle entre le taux de croissance des salaires et le taux de chômage. le développement de cette théorie mène a l’établissement d’une symétrie entre l’inflation et le chômage (moins vérifiée depuis la crise de la fin du 19eme), et implique un choix:opter pour un faible taux d’inflation, mais dans ce cas accepter un chômage important ou au contraire diminuer le chômage quitte à tolérer de l’inflation.  En effet, le politiques restrictives(limitation de la création monétaire et du déficit budgétaire, modération de la demande) permettent de ralentir l’inflation, mais réduise la croissance et favorise le chômage alors qu’inversement les politiques de relance de l’économie sont source d’inflation.  (courbe)  Les gouvernement des pays développés ont opté depuis les année 80 pour la lutte contre l’inflation, d’autant plus que les monétaristes dont Milton Friedman, pensent qu’en réalité toutes politique de relance ne se traduit à terme que par de l’inflation et non par une croissance.

« crainte d’une dépréciation de leurs réserves, les agents économiques peuvent être incités à moins épargner, ce qui est préjudiciable à l’investissement.De plus, l’inflation s’est en partie retournée contre les emprunteurs à la suite d’une montée des taux d’intérêt. B) Elle contraint les politiques économiques à un choix entre sa limitation et la relance de la croissance et de l’emploi La courbe de Philipps établie une relation inversement proportionnelle entre le taux de croissance des salaires et le taux de chômage.

le développementde cette théorie mène a l’établissement d’une symétrie entre l’inflation et le chômage (moins vérifiée depuis la crise de la fin du 19eme), et implique unchoix: opter pour un faible taux d’inflation, mais dans ce cas accepter un chômage important ou au contraire diminuer le chômage quitte à tolérer del’inflation.En effet, le politiques restrictives(limitation de la création monétaire et du déficit budgétaire, modération de la demande) permettent de ralentirl’inflation, mais réduise la croissance et favorise le chômage alors qu’inversement les politiques de relance de l’économie sont source d’inflation.(courbe)Les gouvernement des pays développés ont opté depuis les année 80 pour la lutte contre l’inflation, d’autant plus que les monétaristes dont MiltonFriedman, pensent qu’en réalité toutes politique de relance ne se traduit à terme que par de l’inflation et non par une croissance.

En effet les agentséconomiques adaptent leur anticipation (si leur quantité de monnaie augmente, ils anticipent une hausse des prix),de plus, on ne peut diminuer lechômage qui est naturel puisqu’il dépend du refus des demandeurs d’emploi et s’adapter aux conditions du marché du travail. Conclusion: Pour répondre à la question, faut-il avoir peur de l’inflation, il est surtout nécessaire de ce concentrer sur le présent, car l’urgence est aujourd’hui desoutenir la reprise, il faut donc éviter de mener une politique économique exagérément restrictive, et de ne pas faire comme si l’inflation était l’ennemiprincipal.Le véritable adversaire aujourd’hui est plutôt le chômage, il réside alors un vrai risque économique et social.. »

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