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FICHE DE LECTURE : « Le petit code de la communication » d'Yves St-Arnaud

Publié le 19/09/2012

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    Prenons par exemple comme autre ouvrage « Les secrets de la communication « écrit par Richard Bandler et John Grinder. Cet ouvrage traite du même thème, c'est-à-dire celui de la communication. Cependant, il étudie plus la programmation neurolinguistique, une technique de communication qui a pour but de changer nos anciens schémas mentaux pour trouver plus d'assurance dans la vie et optimiser notre potentiel énergétique et créatif. A la différence du « Petit code de la communication «, cet ouvrage est présenté sous la forme d’un stage d’une durée de trois jours. Mais tout comme
Yves St-Arnaud, les deux auteurs propose ici un point de vue et une analyse personnelle concernant les dessous de la communication.       Une toute approche sur le même thème serait l’ouvrage de Jean Claude Martin, intitulé « La bible de la communication «. En effet, ici l’auteur s’intéresse plus à la communication non-verbale et décode tous les mouvements susceptibles d’émettre un message chez les individus. Avec son analyse du langage du corps, J-C Martin aborde donc le thème de la communication sous un tout autre angle que celui d’Yves St-Arnaud.       Dans son ouvrage « Communiquer : pourquoi, comment ?-Le guide de la communication sociale «, Hervé Collet lui aussi aborde un tout autre aspect de la communication. Il s’intéresse notamment à la communication sociale et aux défis auxquels sont couramment confrontés les responsables de collectivités. Cette mini-encyclopédie couvre en fait l'ensemble des démarches qu'un organisme est amené à accomplir pour mener une stratégie de communication externe et interne. Il diffère donc totalement de « Petit code de la communication « d’Yves St-Arnaud.   

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« nommer la divergence afin d’y revenir au besoin lorsque cela risque de les faire bifurquer 5- Le lave-glace pour débarrasser le pare-brise des éclaboussures, les éclaboussures étant psychologiques 6- Les phares antibrouillard pour rester sur la route lors d’un moment difficile : pour prévenir ou régler un conflit, l’individu présente la situation comme un problème commun et chercheune solution sans perdant 7- Une conduite sans intrusion pour que chacun demeure maître de sa voiture : l’individu doit laisser son interlocuteur avoir sa propre opinion et prendre ses responsabilités sansl’influencer.

8- Le régulateur de vitesse pour éviter les interprétations trop rapides 9- Une précaution concernant la marche arrière c’est-à-dire que lorsqu’il est impossible de s’entendre sur un évènement passé, l’individu renonce à avoir raison et repart avec ce qui sepasse au présent 10- L’aire de repos : l’individu met fin à une conversation qui s’envenime hors de tout contrôle.L’auteur s’arrête finalement là, son ouvrage étant un « petit » code de la communication.

Il fait donc un résumé de ces règles et ces astuces pour ensuite finir par conclure.Dans sa conclusion, Yves St-Arnaud nous parle des limites de son Petit code de la communication ainsi que le fait qu’une cinquième partie existait à la base.

Cependant, cette partieconcernant le covoiturage, il l’a supprimé car la voiture représente, dans ce livre, le non-verbal de chaque conducteur.

De plus, il n’y a qu’un seul conducteur même si chacun peutconduire à tour de rôle.

L’ensemble de son guide de la communication repose donc sur le contrôle personnel que chacun exerce sur la conversation. II- ANALYSE L’auteur fait donc de son ouvrage un code de la route de la communication.

Analysons alors ce guide ainsi que les termes employés afin de me mieux comprendre de quoi l’auteurparle.

Tout d’abord il expose la route comme celle de la communication bien entendu.

Les voitures sont donc les individus en tant qu’interlocuteurs.

Il assimile ensuite l’accélérateurlorsque l’individu prend la position d’émetteur et exprime son point de vue, et le frein lorsqu’il prend la position de récepteur et écoute son interlocuteur.

Les feux de signalisations sont enfait ainsi des signes indiquant l’effet produit chez l’interlocuteur, si l’individu peut continuer à parler ou s’il doit adopter une différente manière.

De plus, lorsque le feu est rouge, cela signifieque la réaction chez l’interlocuteur n’est pas du tout ce que l’individu attendait.

En revanche, s’il est vert, cela signifie que la réponse de l’interlocuteur convient exactement à ce quel’individu attendait.

Alors, s’il est jaune, la réponse n’est pas exactement celle qu’il attendait mais peut convenir.

Les codes sont eux personnels à chaque personne, selon sa culture ou sonenvironnement ; ils correspondent à l’éducation.

Dans son deuxième chapitre, Yves ST-Arnaud introduit la circulation par 12 procédés pour avancer ainsi que 12 procédés pour freiner.

Ces différents procédés permettent en fait àl’individu d’utiliser différentes manières pour communiquer selon la réaction de l’interlocuteur.

Ainsi la communication se fait avec plus de diversité.

Dans le chapitre trois, cinq règles pour une conduite prudente sont présentées.

Tout d’abord il y a l’arrêt au feu rouge, ce qui veut dire que l’individu ne doit continuer plus loin si laréponse de l’interlocuteur ne le permet pas.

La deuxième règle, partir ensemble, signifie que qu’il faut préparer le terrain afin de pouvoir mieux enchaîner.

Ensuite, la règle n°3 supposel’utilisation de clignotants, c’est-à-dire que l’individu doit montrer à son interlocuteur dans quelle direction et vers quelle destination il est en train d’aller.

La règle n°4 dit qu’il ne faut pasdoubler dans une zone dangereuse ; l’individu ne doit en aucun cas rester en position d’émetteur trop longtemps en laissant son interlocuteur en position d’écoute.

Enfin, la dernière règlesuppose qu’il ne faut jamais se laisser distancer signifie que l’individu ne doit jamais rester trop longtemps à l’écoute, mais reprendre la position d’émetteur de temps à autre afind’exprimer son point de vue.

Dans son dernier chapitre, l’auteur propose différente astuces afin de mieux communiquer.

Par exemple, l’utilisation du GPS signifie que l’individu ramène toujours son interlocuteur ausujet principal si celui-ci s’égare, afin de ne jamais perdre de vue sa destination.

De même, le lave-glace est en fait une astuce qui consiste à se poser une question, donc une activitémentale, afin de se distraire de la douleur ou la peine infligée et de prendre ainsi de la distance.

Les éclaboussures correspondent ici aux insultes psychologiques.

Tout au long de son ouvrage, St-Arnaud utilise donc différents termes de la route afin de constituer un guide de la communication, d’où le titre : « Le petit code de la communication ». III- COMMENTAIRES PERSONNELS SUR L’OUVRAGE A- Sur le fond et la forme Le fond de cet ouvrage est simple mais intéressant et utile.

On peut constater que l’auteur a fait de réelles recherches, qu’il a pris le temps d’expérimenter chaque situation évoquéedans son livre et d’en rapporter les problèmes.

Il a par la suite cherché à trouver des solutions et les a essayé.

Toutefois, il se remet toujours en question, incitant le lecteur à lui faireparvenir son opinion s’il n’est pas d’accord.

Parmi les situations évoquées, plusieurs m’ont été familières, ce qui montre bien que l’auteur a pris son travail et la rédaction de cet ouvragetrès au sérieux.

En effet, il illustre chaque situation par un exemple, incitant le lecteur à prendre la place de l’interlocuteur.

La lecture reste ainsi animée et captivante.

Le fond de cet ouvrage est donc très pertinent et intéressant.

Cet ouvrage est présenté sous la forme d’un petit code, comme un code de la route sauf qu’il s’agit ici de la route de la communication.

L’auteur parle donc du décor, de la circulationet des règles de conduite.

Il définit ainsi les voitures comme les interlocuteurs La forme de cet ouvrage se fait de manière très simple.

En effet, l’auteur découpe la lecture en quatreparties bien structurées.

Celles-ci ne se suivent pas forcément même si elles sont reliées, ce qui permet au lecteur de lire les informations et situations qu’il préfère à sa guise.

Chaquesituation est précédée d’un titre et d’une explication, et toujours accompagnée d’un exemple.

Il utilise ainsi des dialogues afin de représenter cette situation, mettant en scène plusieursinterlocuteurs.

L’ouvrage est écrit de manière simple et facilite une lecture aisée. B- Ouvrages traitant du même thème Prenons par exemple comme autre ouvrage « Les secrets de la communication » écrit par Richard Bandler et John Grinder.

Cet ouvrage traite du même thème, c'est-à-dire celui dela communication.

Cependant, il étudie plus la programmation neurolinguistique, une technique de communication qui a pour but de changer nos anciens schémas mentaux pour trouverplus d'assurance dans la vie et optimiser notre potentiel énergétique et créatif.

A la différence du « Petit code de la communication », cet ouvrage est présenté sous la forme d’un staged’une durée de trois jours.

Mais tout comme Yves St-Arnaud, les deux auteurs propose ici un point de vue et une analyse personnelle concernant les dessous de la communication.

Une toute approche sur le même thème serait l’ouvrage de Jean Claude Martin, intitulé « La bible de la communication ».

En effet, ici l’auteur s’intéresse plus à la communication non-verbale et décode tous les mouvements susceptibles d’émettre un message chez les individus.

Avec son analyse du langage du corps, J-C Martin aborde donc le thème de lacommunication sous un tout autre angle que celui d’Yves St-Arnaud.

Dans son ouvrage « Communiquer : pourquoi, comment ?-Le guide de la communication sociale », Hervé Collet lui aussi aborde un tout autre aspect de la communication.

Ils’intéresse notamment à la communication sociale et aux défis auxquels sont couramment confrontés les responsables de collectivités.

Cette mini-encyclopédie couvre en fait l'ensemble. »

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