La France à la belle époque

« II] Une France républicaine : 1) Les caractères du régime :  IIIème république depuis 1870 (après la guerre franco- prussienne).

C’est ma première qui s’inscrit dans la durée.

Elle est continuellement menacée jusqu’en 1880. On a bien une démocratie (Libertés fondamentales, pouvoirs séparés et suffrage universelle).

Le président, élu par le sénat et par la chambre des députés, a un mandat de 7ans.  On a un système parlementaire.  En 1881, une loi garantie la liberté de presse et de réunion.  En 1881, 1882 et 1885 : Lois Jules Ferry : Instruction primaire gratuite laïque et obligatoire de 6 à 13 ans.  On délivre parmi l’enseignement une instruction morale et on leur enseigne leurs droits et devoirs pour la république. 2) La crise de l’affaire Dreyfus : L’affaire Dreyfus est un conflit social et politique majeur de la Troisième République survenu à la fin du XIX esiècle, autour de l’accusation detrahison faite au capitaine Alfred Dreyfus, français d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté.

Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. III] La « République radicale » : 1) Les radicaux au pouvoir :  Le parti au pouvoir est le parti radical.

C’est un parti républicain qui défend le système parlementaire et la démocratie.  Ils veulent supprimer les congrégations pour retirer l’Eglise du pouvoir.  Revendications politiques : réclame l’abolition de la peine de mort.  Favorable à la suppression de la propriété privée.  Refuse la théorie de la lutte des classes  Ne remet pas en cause le capitalisme mais veut combattre les inégalités sociale trop fortes.  Ils défendent la classe moyenne  Mise en place de la laïcité : Loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat.

Parti anticléricale.  En 1901, loi sur les associations (à but non lucratif). 2) La montée de la contestation sociale :  De 1906 à 1909, Clémenceau président du conseil.  Grèves puissantes des ouvriers (CGT) et le gouvernement répond par la répression.

L’armée et les forces de l’ordre sont envoyées face aux manifestants.  En 1905, Jean Jaurès rassemble tous les socialistes dans un même parti : La SFIO qui réclame des réformes sociales en faveur des ouvriers, mais ne veut pas de révolution. 3) L’affirmation du nationalisme et la montée des périls. »