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Frontières religieuses et frontières politiques.

Publié le 19/08/2013

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Des institutions martyrisées et piétinées par l'instrumentalisation du religieux constate également Alioune Tine de la Raddho (Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme).

En effet se rappelle t-il, au lendemain de l'alternance, « le nouveau homme fort de l'avenue Roume avait tout simplement pli é les genoux de la république devant le pouvoir religieux (l'autorité religieuse dirions nous) et cela à des fin politiciennes «.

C'est qu'alors les acteurs du jeu politique savent user de religieux à leur compte tant que cela les arranges or ces pratiques peuvent engendre des conséquences désastreuse sur le système social global.

B. Conséquences de la politisation du religieux

Politisée, sinon apprivoisée, la religion est au cœur des conflits et guerres civiles que traverse la plupart des pays africains.

«  « il est impossible que nos jugements soient si purs ni si solides qu’ils auraient été si nous avions eu l’usage entier de notre raison dès le point de notre naissance, et que nous n’eussions jamais été conduits que par elle »  Choisit de conduire sa vie selon sa propre raison plutôt que sur de vieux fondements  réforme s a pensée, de construire un fond tout à lui  ex : se dit que ceux qui ont des sentiments diff érents des nôtres ne sont pas forcément barbares comme on l’a appris L’isolement qui lui permet de comprendre combien travailler sur les idées d'autrui n'apporte rien sinon une multitude d'opinions diverses.

Or, puisque la raison est universelle, et que l'esprit le plus simple peut arriver aux mêmes conclusions que tout le genre humain, Descartes décide d'être la matière de son raisonnement, se distinguant de ceux qui se précipitent dans leur raisonnement, et de ceux qui se contentent de se référer à des au torités intellectuelles.

(NB de Descartes : « la seule résolution de se défaire de toutes les opinions qu’on a reçues auparavant en sa créance n’est pas un exemple que chacun doit suivre »)  « C’est bien la coutume et l’exemple qui nous persuade, qu’aucune connaissance certaine »  Cherche la vraie méthode pour parvenir à la connaissance et toutes les choses dont son esprit serait capable  se fixe 4 préceptes à suivre coute que coute : o Ne jamais concevoir quelque chose comme vrai s’il ne l ’a pas connu comme tel et n’en est pas sûr .

o Diviser chaque difficulté rencontrée en autant de « parcelles » qu’il faut pour mieux les résoudre o Conduire par ordre ses pensées (du plus simple au plus compliqué o Faire partout des dénombrements « si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre »  démultiplie les domaines d’ examen ( Choisit de d’abord s’attaquer à l’analyse géométrique et à l’algèbre, et corrige tous les défauts de l’une par l’autre ) Csq de cette méthode : utili ser au mieux sa raison.

Sent que son esprit « s’accoutumait peu à peu à concevoir plus nettement et plus distinctement ses objets » 3e partie : moralité de cette méthode Se forme une morale et des bases pour travailler déclinées en trois maximes : • Obéir aux lois et aux coutumes de son pays, respectant la religion en laquelle Dieu lui a fait grâce d’être instruit dès son enfance.

• Etre le plus ferme et le plus résolu possible dans ses actions, ne pas suivre les opinions douteuses , sans non plus être s ceptique  Lorsque nous ne savons pas discerner les vraies opinions, nous devons suivre les plus probables : "c'est une vérité très certaine, que lorsqu'il n'est pas en notre pouvoir de discerner les plus vraies opinions, nous devons suivre les plus probable s"  Puisque rien n'est en notre pouvoir à part nos pensées, ne rien vouloir de plus que ce qui est possible, afin de ne pas en éprouver le manque ( stoïcisme ?). »

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