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histoire de l'europe, introduction

Publié le 18/05/2011

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histoire

INTRODUCTION

 

Les héritages européens des concept° du pv. Les pays europ: 3 héritages fondamentaux: héritage du droit romain, celui de la pensée chrétienne, et celui de la concept° germanique du pv.

 

$1: la concept° romaine du pv : un pv impersonnel

 

Les romains ont dégagé la not° d'état = res publica, latin: la chose publique, cad la chose qui appartient à ts les citoyens. C'est une not° abstraite, qui désigne une org° pol, qui est commune à ts les citoyens et distincte de la pers des gouvernants.

 

A) La dissociat° du pv de la personne des gouvernants

 

Les empereurs et autorité publique ne confondent pas la chose publique ou l'état à leur propre personne. Le pv est concu comme une charge publique. L'empereur est titulaire d'une charge de l'interet gén, il n'exerce pas le pv pr lui mm, ou sa fam. Il exerce un officium, cad une fct° ds l'état, dont il est le représentant. Il est l'administrateur de la res publica. Le pv romain ne confere aucun droit de propriété. L'empereur n'est pas le propriétaire de l'empire, il n'a pas le droit de disposer du trésor public ou du domaine public. Les biens publics sont inaléniables. Il n'a pas le pv de les transmettre et de les céder librement. Le pv est un pv de droit . L'empereur comme ts les agents publics sont soumis au droit et à la loi, ils doivent respecter le droit existant. Ils doivent le respect aux pers: Jiqment, aucune autorité publique ne peut incarcérer un ind, ou faire executer un ind, sans respecter la loi. Ils doivent aussi le respect des biens, l'empereur est dc tenu de respecter la propriété, il ne peut pas faire confisquer discrétionnairement les B des citoyens romains. Le D en vigueur devait etre respecté ou etre modifié si l'on désirait un chgmt.

 

B) La reconnaissance de pv exhorbitants de l’etat

 

Les romains avaient concus que la charge de l'intéret général justifie des pv imp. Ils ont concu l'idée d'une superposit° des autorités.

not° d'autoritas = not° présente à la fois ds le D privé et le D public. En matiere privée: il existe une autorité domestique, cad la patria protestas = puiss paternelle. Cette puiss paternelle régit les rapp entre les pers privées, comme ceux du pere et de ses enf. Elle confere au pere des pv sur leurs pers et leurs biens. Ds les rapp entre l'état et les citoyens, le D reconnaît à l'Etat, des privileges, inconnus en D commun, et ces pv sont justifiés pr pv servir l'intéret gén. L'autorité se traduit par le reconnaiss au gv de ses prérogatives exhorbitantes. On lui reconnaît une autorité surnaturelle, cad une supériorité morale et religieuse.

  • Notion d'imperium: terme intraduisible en fr, il se rapproche de la souveraineté, quand il désigne le pv absolu de commandement. Les romains concoivent que la seule puiss publique détient cette puiss supreme. Sous l'empire, l'impérium désigne le pv pol supreme, reconnu à l'empereur. Ce pv pol de l'empereur lui confere des prérogatives de puiss publique, on lui reconnaît le D de faire la loi, rendre la Ji, lever l'impot, battre monnaie, faire la guerre et la paix. L'impérium s'imposait à quiconque traversait, ou résidait le territoire de l'empire romain.

 

L'europe va etre marqué par un 2e héritage: la pensée chretienne.

$2: la concept° chrétienne du pv: un pv providentiel

 

Le pv est également analysé comme une entité abstraite, indépendante de son titulaire, mais la concept° nvlle, chrétienne est que le pv est une créat° de Dieu, il a été crée et voulu, par Dieu.

 

A) la révolut° chrétienne

 

D'une part: la distinct° du spirituel et du temporel. La concept° chrétienne de cette distinct° entre le pv spirituel de l'église et temporel de l'état est une idée nvlle. Elle s'opposait à la pensée paienne de l'antiquité, selon laquelle, le citoyen se devait corps et ame à la cité. Pr les paiens, les citoyens devaient mettre leur vie à la disposit° de la cité, et quant à l'ame, le citoy avait l'oblig° de participer au culte de la cité. Les cérémonies relig visaient à rendre les dieux favorables à la cité. Dès lors, l'abstent° à une particip° à un culte était une infract° relig, mais aussi une manif° antipatriotique. La religion et la vie de la sté étaient indissociablement liées. Ainsi, les décisions étaient prises apres l'invocat° des dieux. La concept° chrétienne s'oppose à cette concept°: en distinguant les 2 pv, le spirituel et le temporel: le spirituel = ame; temporel = chose terrestre. Le fondemt de cette doctrine chrétienne est fondée sur le passage des évangiles: rendez à césar ce qui est à césar, et rendez à dieu, ce qui est à dieu. Les chrétiens ne nient pas la part de césar, cad qu'il ne nie pas l'état et le pv de ses représentants, mais les gvernants ont comp temporelle à gverner les choses terrestres, comme les finances, la Ji ou le commerce. Cette comp s'explique par la finalité du pv temporel, qui est de rech le bien matériel des citoyens. Ce pv temporel ne doit pas etre confondu ac la sphère de comp du pv spirituel de l'église. C'est dieu, pr les chrétiens, qui a le gv des ames et des csce. Il revient à son église d'accomplir la finalité du pv spirituel, cad celui de permettre le salut éternel de ses membres. Selon cette concept°, le prpe d'obéissance est dble. Le chrétien doit obéir à la fois au temporel et au spirituel. Il doit etre un bon citoy et un bon chrétien. Cette concept° induit une hierarchisat° des pv. La hierarchie vient de la finalité des pv, car la vie spirituelle et la rech du salut éternel d'un homme prime sur les considérat° terrestres et morales. Cq de la différence de finalités des pv ds la concept° chrétienne: pr qu'une décision du pv soit exécutée par un chrétien, il fallait qu'elle soit légale et dc conforme à l'int gén et aussi conforme aux preceptes du christianisme et dc ne pas violer la loi de dieu. En cas de conflit, le chrétien obéira d'abord à son église.

 

D'autre part: le christianisme considère que le pv est une partie intégrante de la créat°. \"il n'est de pv que de dieu, comme ttes les choses, il a été crée par dieu, c'est dc une oblig° et un devoir relig, que d'obéir aux autorités\": Apotre St paul. Les chrétiens doivent dc obéir aux lois, payer ses impots, porter les armes, exécuter tte décision des autorités publiques. A aucun moment, mm au tps des persécut° des chrétiens, l'église ne remettra en cause le prpe de l'obéissance à l'état.

Concept° ministérielle des pv: min en latin = serviteurs, domestiq. Selon la concept° chrétienne, les gvernants ont recu le pv de dieu, en vue de servir la loi divine. Ils doivent dc favoriser le bien et combattre le mal. Ils doivent assurer la paix, developper la Ji, défendre les préceptes chrétiens de l'anc et du nv testament. Cette concept° min du pv a une dble cq: le pv a une fct° princ répressive: les autorités publiques doivent réprimer les transgress° à la loi divine: c'est la doctrine d'idéologie du glaive. Les autorités publiques perdent légitimité si elles violent la loi publique. Le devoir relig est de ne pas exécuter un ordre contraire à la religion chrétienne. Concept° chrétienne = il faut obéir à dieu plutot qu'aux hommes.

 

 

B) collaborat° entre l'église chrétienne et l'empire romain

 

Collab° = cq de la christianisat° de l'empire. Quand il y a eut la naiss du christianisme: 3 étapes: indifférence du gv; puis répress°; puis phase de reconnaiss officielle de cette religion. Les concept° chrétienne et paienne n'étaient pas conciliables. Les paiens croyaient en une multitude de divinités alr que les chrétiens avaient un dieu unique. Ces chrétiens vont refuser les autres divinités. Pb: le refus d'adorer les dieux, était pr les paiens un comportement anti patriotique. Et l'incivisme des chrétiens se heurta à l'état, car les chrétiens refusaient de prendre part à la vie pol. Ex: les chrétiens refuserent d'exercer des fct° adm, judic et mil, car ces fct° impliquaient de preter un serment de fidélité à l'empereur et au dieu protecteur de Rome. Les chrétiens furent persécuter au 3e s, mais malgré les répress°, les conversions se sont multipliées. Un rapprochement de l'église chrétienne fut précipité par les empereurs, au début du 4e s, qui vise un interet pol. La religion chrétienne à vocat° universelle, pouvait selon eux, servir de lien fédérateur des peuples de l'empire. La conversion du 1er empereur a été le fruit d'un calcul pol conjugué ac des convict° pers et en 312, l'empereur constantin se convertit au christianisme. En 313, par l'édit de Milan, l'empereur constantin autorisa le culte chrétien. La pratique de la religion était permise au mm titre que les autres cultes. A partir de 380, le christianisme devient ensuite la relig° d'état de l'empire, par l'édit de Thessalonique: l'empereur impose le christianisme theodose, comme la seule religion officielle de l'émpire romain. Les autres religions seront alr interdites, comme celle des paiens ou des juifs. Ds cet empire chrétien, Théodose a surtt combattu la religion des paiens (paianisme), les biens des paiens furent confisqué et leur cérémonie est faite suppr. Cette derniere étape de la christianisat°, fut marqué par sa reconnaiss inst comme religion d'état. La christianisat° de l'empire a eut pr cq de faire reculer la distinct° entre le spirituel et le temporel. D'un pt de vue des instit°, la collab° entre l'église et l'état se renforce autour d'une mm finalité: le bien de l'homme. En prpe, il existe une collab° mutuelle, l'empire soutient l'église, par sa législat°, ses libéralités et sa protect°; l'église soutient l'empire par ses prieres et l'obéiss imposée aux autorités établies. Ds la réalité, une compétit° s'ouvre entre les pv, et tantot, le temporel l'emporte ac un Etat ds l'église, on parle d'immixt° de l'état ds l'église = intervent° de l'état ds l'église. Cette intervent° apparaît notamment ds l'élect° des eveques. L'empereur constantin fut le 1er à vouloir choisir les eveques, car il voulait empecher que les eveques deviennent des opposants pol. En prpe, ils étaient élus mais en réalité, ils étaient imposés par l'empereur, qui suggérait les choix ou exercait des pressions; tantot, le spirituel l'emporte, ac une immixt° de l'église ds l'état. Cette intervent° apparaît lorsque le pv temporel est soumis au contrôle spirituel de l'église. Il s'agit d'un contrôle permanent de l'église. Il est assuré grace à l'intervent° ratione pecati, en raison du péché du chrétien. L'empereur est chrétien, s'il commet un peché, l'église doit contrôler ce peché => excommunicat°. Le pv est exercé par des gvernants chrétiens, et ces gvernants sont dc soumis en tant que chrétien, à un contrôle de l'église. En 390, pv impérial a du se soumettre aux exigences de l'église, et en 390, l'empereur a du faire pénitence en réparat° du massacre de thessalonique: c'était une ville dt les hab se sont révoltés, des mgt impériaux ont été tués. Théodose avait promis un chatiment. Or à l'occasion de jeux publics, il ordonna le massacre des hab. => 7000 morts. Il suscita ds l'empire, un sentiment d'horreur, et lorsque l'empereur se présenta qq tps apres, aux portes de la cathédrale de Milan, l'eveque de milan, st anbroise, eut le courage de l'arreter. Il lui interdit tte participat° au culte, l'excommunia. L'empereur s'opposa à cette sanct°, en disant, qu'il s'agissait la d'un acte de gv. Il ne jugeait pas l'empereur en tant que chef temporel, mais en tant que chrétien. Il reprochait que l'empereur est ds l'église et non au dessus de l'église. Il accepta cette pénitence publiq. Les rapp entre le pv spirituels et temporels ont une influence forte sur l'org° pol en Europe et ds les pays europ se rattachant à la relig° catho, l'église a conservé son indép: elle a cherché à exercer une influence pol tres grde et c'est pk, en react°, les royautés ont cherché à se séparer des pv de l'église. Et les naiss des états en europe sont aussi nés des conflits de pv ac l'église catho.

 

 

 

§3: concept° germanique du pv : un pv personnalisé

 

La germanie = pr les romains: région située au dela des frontieres de l’empire, à l’Est du rhin et du danube. Les germains, sont dc pr les romains, les peuples installés au dela du LIME, au frontiere formé par les fleuves. Germains = \"peuples barbares\" pr les rom. Pas une connotat° péjorative. Les barbares étaient ceux qui ne parlaient ni grec, ni latin. Ces germains n’avaient pas une unité linguistique, ils parlaient différents dialectes, ils ignoraient les lois écrites, ils ne connaissaient pas l’écriture et les tradit° étaient transmises à l’orale, de générat° en générat°. Les peuples germaniq les plus connus sont les francs (=> la Fr), les goths, les burgondes (=> bourgogne), les allamands (=> All), les vandales (=> \"vandalisme\"), les saxons, et les angles (=> Angl). De nbreux pays d’europe doivent l’origine de leur nom aux peuples germains: il existait des peuples germains différents. Ttefois, les germains avaient des traits sociopol commun = org° soc et pol dt on retrouve des pt communs entre eux. Pr eux, les grpes hum, les liens pers étaient fondam.

 

A) Les liens personnels de parenté familiale

 

La sté germanique est concue comme une alliance de tribus et de clans.

 

1) La société tribale et de clans

L’org° soc est de type tribal: on trouve des fam (foyers conjugaux à la base) qui sont réunies sous l’autorité d’un chef et forment un clan. Ce chef a été choisi parmi les anc du clan fam. Puis plusieurs clans forment une tribu. Et leurs membres résident momentanément sur un territoire. Au départ, les germains étaient des nomades, ils occupaient des terres qu’ils exploitaient en commun. Et une fois les terres épuisées, ils les abandonnaient pr conquérir de nv territoires. L’ens de ces tribus formaient un peuple, ainsi, les germains concoivent un peuple comme une alliance de tribus. Org° soc tres peu structurée: pas de cadre adm ou judic. L’état organisé n’existe pas. C’est la fam qui reste l’institut° princ. Elle joue un role protecteur de l’ind. Une solidarité forte était org.

 

2) La forte solidarité du clan fam

La fam était de type patriarcal. Le pv du père était imp. Le père exercait une autorité liée à la protect° = le MUNDIUM. Le clan fam avait une fct° de grpe solidaire. Car le germain dépendait du clan fam, pr sa subsistance et sa protect°. Dépendance au clan fam pr la subsistance, à cause du regime de la propriété collective: c’est le clan fam qui possédait les biens et terres agricoles, et non pas un ind. Le germain dépendait de son clan pr sa protect°: les réparat° des crimes et délits étaient une aff privée, entre la fam de la victime et la fam du délinquant. Les fam étaient resp solidairement des préjudices de leurs membres. Et les dommages causés à un ind, étaient considérés comme infligés à la fam tte entiere. 2 voies offertes à la victime:

la vengeance: FAIDA: Ji privée: ds ce syst, la vengeance était illimitée. Pas de proportionalité entre la gravité de l’acte et la sanct°. La sanct° n’était pas individualisée: un dommage ouvrait un D de vengeance sur l’auteur et n’imp quel membre de sa fam => guerre privée => violence.

la composit° permettant la paix entre les fam: pacte entre les fam qui prévoit un renoncement au D de vengeance, mais aussi une indemnisat° pécuniaire. Les crimes et délits privées etaient jugées par une Ji privée => revele le peu d’org° de ces peuples, et l’imp des liens fam.

 

 

 

 

B) Les liens personnels d’adhésion volontaire

 

Des liens personnels étaient créés, non pas basés sur le sang, mais sur un acte volontaire déclaré. C'est un acte de soumission créant des liens d’allégeance envers un chef. Allégeance désigne l’oblig° de fidélité et d’obéiss, envers un souverain ou une nat°. Soumission volontaire à une autorité qui représente l’état. Le concept romain de la res publica n’est pas connu des germains. Il n’y a pas l’idée d’une soumission à un homme, sur le fondement inst. La soumission à un ind n’est fondée que sur son charisme pers. Le chef devait son prestige qu’à son succes. Chez les germains, l’acte d’allégeance était instable, car elle dépendait de la réussite du chef.

 

1) L’organisation militaire et la soumission au dux

 

L’autorité mil était confiée à un dux, désigné par une ass des guerriers de la tribu. Le dux = chef germanique, qui avait pr unique fct°, le commandement de l’armée. Dux = latin DUCO = conduire, diriger => \"duc\", en fr. En période de paix, il n’avait pas de fct°. Il n’avait l’autorité mil qu’en période de guerre. Il était choisi sur un fondement de charisme pers: le meilleur des guerriers. Le choix du chef mil reposait sur une elect°, par reconnaiss collect. Il y avait un choix direct, qui était fait par l’ass des guerriers de la tribu = \"conseil\" ou \"concilium\" = ass gén regroupant ts les hommes libres en état de porter des armes. L'ass débatait des aff imp (guerre, paix, occupat° de nvlles terres). En matiere judic, l'ass débatait des crimes publics (trahison, desert°). Le concilium était effectué en armes, et l’ordre du jour de la séance était présenté par le roi (=> pv de prop°). Le véritable pv pol appartenait aux hommes libres. Chacun donnait son pt de vue sur la prop° du roi. Si elle était approuvée, elle était accueillie par des bruits d’armes agités. Si elle déplaisait, elle était accueillie par des murmures et des huets. Le nom d’un prétendant mil était soumis aux acclamat° de l’ass, et celui qui l’emportait était celui qui avait recueilli le plus d’acclamat°. Ces derniers étaient l’express° de la volonté gén = volonté déclarée du choix du dux et de se soumettre au dux. Le choix du chef mil reposait sur des réseaux de fidélité qui influencent le vote et de fideles compagnons de guerre. Le dux devait disposer d’un large grpe de compagnons de guerre = le comitatus. Ce comitatus = promeces = compagnon. Le comitatus est une inst° de compagnonnage mil, c’est un grpe solidaire de guerriers, associant un guerrier expérimenté et de jeunes guerriers. Ce regrpmt est libre, il n’y avait pas de soumiss° au chef, sans consentement des jeunes guerriers; ils pretaient serment de fidélité, de dévouement absolu, en la pers du chef de grpe. Ces jeunes guerriers avaient choisi ce chef, pr son art ds la guerre et ses succes mil. Les liens pers étaient fondés sur l’admirat° et le mérite reconnu. Il leur apprenait le métier des armes et les entretenaient (nourriture + logement) et leur fournissait les armements. Il partageait ac eux les butins de guerre. Cette institut° du comitatus permettait à un chef de grpe, d’obtenir des suffrages, lorsque ce comitatus était large.

 

2) L’organisation politique et la soumission au roi

 

Il existait un roi ds la maj des tribus. Le roi exercait un mundium (protect°). Mais le roi joua lgpts un role 2ndaire, ses attrib° étaient limitées, le roi ne légiférait pas, et la prise de décision de gv était soumise à ces ass de guerriers en armes. Le roi = chef relig et judic: le roi prenait sous sa protect° spéciale certaines pers et certains lieux (les veuves, les sites sacrés: forets…). L’abs d’obéiss à cette protect° était considérée comme un affront à son autorité, qui était puni d’une composit° (indemnisat° pécuniaire) au triple. Le roi avait un pv essentiel de coercit°, de contrainte. Le roi avait la faculté de suggerer aux fam, de recourir à la composit°. Le roi = 2 qltés: il était issu d’une fam d’origine divine, il prétendait à une ascendance divine, du roi des dieux germaniq = WOTAN / ODIN ou dieu de la guerre. L’appartenance à la fam d’origine divine faisait que leurs membres étaient dotés de signes ext (longue chevelure: symb de puiss et force). Ce roi devait etre favorisé par les dieux et par WOTAN (= dieu de la guerre: imposer sa dominat° par la force + magicien: agir sur la nature). Comme wotan, le roi est un guerrier et ses qltés mil étaient essentielles. Ces pv surnaturelles assuraient la prospérité (fécondité des terres, des plantes…) La royauté et le choix du roi étaient tributaires des succes et des échecs. Quand le roi perdait les signes des dieux, cette faveur des dieux: le roi était soit démis de ses fct°, soit éliminé physiquement. Les fct° du roi et du dux ne coincidaient pas au départ. L’un s’occupant de l’org° mil; l’autre, l’org° pol. A partir du 4e siecle, les rois vont supplanter le dux ds la direct° de l’armée. Et le roi devient chef de guerre, assisté de chefs de clan. Chaq peuple germanique apparait commandé par un roi qui s’est imposé, au moment des invasions barbares ds l’empire.

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