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Histoire du peuplement des États-Unis

Publié le 27/02/2008

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Une population très mobile. La densité n'est que de 27,3 hab./km2, mais les régions à l'Est du 1008 méridien rassemblent les 2/3 des habitants. Le mouvement de migration intérieure vers l'Ouest se poursuit, mais les régions les plus attractives sont désormais les États ensoleillés (Sunbelt) de la Floride à la Californie (fig. 1).

Une croissance qui se ralentit. Depuis le milieu des années 1960, les États-Unis sont entrés dans une nouvelle phase démographique. Elle se traduit par une baisse rapide des taux de natalité et de fécondité (1,9). La mortalité étant quasi stable, l'accroissement naturel diminue (fig. 2), et la population vieillit progressivement (fig. 3).

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« Le peuplement ■ 255 600 000 habitants : 5 % de l'humanité.

La population améri­ caine se claS6e au 4e rang mondial, après la Chine, l'Inde et la CEi. ■ Le rl)le de l'immigration.

Depuis le début du x1x• siècle, la population s'est toujours accrue par excédent naturel.

Il n'empêche que de 1820 à 1980, elle a bénéficié de l'apport de 49,5 M• d'immigrants pour les trois quarts venus d'Europe par vagues suc­ cessives.

■ Une nouvelle immigration.

En 1990, 1,5 M d'immigrants légaux perma­ nents ont été admis : réfugiés politiques, parents étrangers de citoyens américains, scientifiques et techniciens de haut niveau.

On trouve aussi des clandestins (entre 800 000 et 2 M de Mexicains et d'Hispaniques).

L'Europe ne fournit plus que 8 % des immigrants légaux, contre plus de la moitié dans les années 1960.

■ Une diversité ethnique.

En 1990, la statistique officielle dénom­ brait 80,3 % de Blancs, 12, 1 % de Noirs et 7,6 % d'« autres races ». Parmi celles-ci, 815 000 Amérindiens vivant dans des « réserves ». ■ Le creuset ou • melting pot » américain.

La capacité d'assimila­ tion de la civilisation américaine est telle que la plupart des nouveaux venus adoptent vite la langue et les mœurs du pays d'accueil. If> Vers un déclin du d namisme démographique ? ■ Une croissa nce qui se ralentit.

Depuis le milieu des années 1960, les États-Unis sont entrés dans une nouvelle phase démog raphique.

Elle se traduit par une baisse rapide des taux de natalité et de fécondité (1,9).

La mortalité étant quasi stable, l'accroissement naturel diminue (fig.

2), et la population vieillit progressi vement (fig.

3). ■ Une population très mobile.

La densité n'est que de 27,3 hab./km 2 , mais les régions à l'Est du 100 8 méridien rassemblent les 2/3 des habitants.

Le mouvement de migration intérieure vers l'Ouest se pours uit, mais les régions les plus attractives sont désormais les États ensoleillés (Sunbelt) de la Floride à la Californie (fig.

1). I> Un a s de villes ■ 77,6 % de citadins.

Cette proportion, déjà forte, continue de croître avec la tertiaris ation des activités (fig.

4).

De 1960 à 1987, la population urbaine s'est accrue de 50 M de personnes. ■ 34 villes (SMSA)* de plus d'1 M d'habitants.

Les plus impor­ tantes constituent d'énormes conurbations, telle la Mégalopolis atlanti­ que. ■ Un plan en damier.

Les villes ont généralement un_plan régulier, avec un centre de gratte-ciel et de gigantesques banlieues, souvent très éloignées des quartiers d'affaires (CBD = Central Business District). ■ De nombreux problèmes.

Parmi les plus préoccupants : la congestion des centres, la pollution, l'appauvrissement, l'insécurité.. »

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