L'HOMME : UN SAUVAGE CIVILISE ?
Publié le 15/08/2012
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Merleau Ponty propose en 1945 dans Phénoménologie de la perception une définition de l'équivoque grâce à sa capacité « d'échappement « c'est-à-dire sa capacité à « transcender « son simple donné biologique. L'homme donne à son univers une tournure symbolique en dépassant ses limites matérielles. Transition : Nous venons de voir que c'est la société qui permet à l'homme de réaliser son essence humaine et qui lui permet d'être un animal non seulement politique et social car il est capable de se doter de règles et d'institutions. Selon Bergson, la société close est la société naturelle de l'homme. Y règnent des règles intangibles qui visent avant tout à la conservation et donc à la répétition caractéristique de l'animalité. Mais avec le temps l'homme a su évoluer pour atteindre le type de société ouverte, créatrices de situations nouvelles notamment par l'échange. Dans une dernière partie nous allons donc voir que l'homme est également un animal économique.
« assure l'association. ConclusionAinsi nous avons vu à partir de ces 3 parties que l'homme est capable de transcender son état de nature, tout d'abord en surmontant ses pulsions d'agressivité qui vontlui permettre de cohabiter en société, faisant de lui un homme politique basé sur les échanges permettant à son tour de le faire évolué en homme économique.. »
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