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Infarctus

Publié le 18/02/2012

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 Les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de mortalité dans ies pays occidentaux. Un adulte sur trois meurt des suites d'une altération des artères coronaires (vaisseaux nourriciers, du coeur) qui se manifeste notamment par l'infarctus du myocarde. L'inquiétude soulevée par l'infarctus résulte de sa fréquence sans cesse accrue et de la progression constante du contingent de « coronariens en puissance « chez les sujets apparemment sains....

« arterielle. Les traces electrocardlographiques montrent une sere d'alterations permettant de caracteriser ('affec- tion.

Des enzymes cardiaques sont liberties par la destruc- tion des fibres du myocarde et passent dans le sang.

La coagulabilite sanguine est modifiee. 5 L'infarctus evolue favorablement dans Ia majorite des cas sores quelques semaines de repos.

Cependant des complications sont a craindre, notamment dans les jours suivant la crise, qui justifient le repos absolu et le traite- ment anticoagulant d'urgence.

La defalllance cardio-cir- culatoire survient dans le tiers des cas :it peut s'agir d'un collapsus (diminution brutale des forces) ou d'une insuffisance ventriculaire aigue.

Des troubles du rythme peuvent seproduire, de merne que desaccidents thrombo-emboliques.

La rupture du cceur ou Iamoil subite sont moins frequentes.

Certains malades recuperent une vie normale sans trouble. 6 Le traitement de l'infarctus comporte, outre le repos et ('administration d'anticoagulants, des medicaments antal- gigues, Ia preoccupation premiere etant de calmer la dou- leur et l'angolsse (injection de chlorhydrate de morphine). Les techniques modernes (monitoring, reanimation) per- mettent de surveler les troubles du rythme et de pallier une eventuelle defaillance.

La prevention des recidives est fondee sur l'emploi a long terme des anticoagulants et sur le controle des differents facteurs de risque. artérielle. Les tracés électrocardiographîques montrent une série d'altérations permettant de caractériser l'affec­ tion. Des enzymes cardiaques sont libérées par la destruc­ tion des fibres du myocarde et passent dans le sang.

La coagulabilité sanguine est modifiée.

5 L'infarctus évolue favorablement dans la majorité des cas après quelques semaines de repos. Cependant des complications sont à craindre, notamment dans les jours suivant la crise, qui justifient le repos absolu et le traite­ ment anticoagulant d'urgence.

La défaillance cardio-cir­ culatoire survient dans le tiers des cas : il peut s'agir d'un collapsus (diminution brutale des forces) ou d'une insuffisance ventriculaire aiguë.

Des troubles du rythme peuvent se produire, de même que des accidents fhrombo-emboliques. La rupture du cœur ou la mort subite sont moins fréquentes.

Certains malades récupèrent une vie normale sans trouble.

6 Le traitement de l'infarctus comporte, outre le repos et l'administration d'anticoagulants, des médicaments antal­ giques, la préoccupation première étant de calmer la dou­ leur et l'angoisse (injection de chlorhydrate de morphine).

Les techniques modernes (monitorîng, réanimation) per­ mettent de surveiller les troubles du rythme et de pallier une éventuelle défaillance.

La prévention des récidives est fondée sur l'emploi à long terme des anticoagulants et sur le contrôle des différents facteurs de risque.. »

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