Devoir de Philosophie

kobe ou la fille

Publié le 07/11/2012

Extrait du document

was born in Kobe, Japan to Belgian diplomats. She lived there until she was five years old, and then subsequently lived in China, New York, Bangladesh, Burma, Coventry and Laos. She is from a distinguished Belgian political family; she comes from a family with lot of famous politicians and diplomats. Nothomb's first novel, Hygiène de l'assassin, was published in 1992. Since then, she has published approximately one novel per year, including Les Catilinaires (1995), Fear and Trembling (1999) and Métaphysique des tubes (2000, published in English as The Character of Rain). She has been awarded numerous prizes, including the 1999 Grand Prix du roman de l'Académie française, the Prix René-Fallet, and the 1993 Prix Alain-Fournier. While in Japan, Nothomb attended a local school and learned Japanese (we understood that in the book and her privileged link with the Japanese women). When she was five, the family moved to China. ("Leaving Japan was a wrenching separation for me"), she wrote in Fear and Trembling. Nothomb moved often, and she did not live in Europe until she was 17, when she moved to Brussels. There, she felt as much a stranger as everywhere else. She studied philology at the Université Libre de Bruxelles. After some family tensions, she returned to Japan to work in a Japanese company in Tokyo. Her experience of this time is told in Fear and Trembling. It is now known that many of her ideas included in her books come from conversations she had with an Italian man from the late eighties ; She used the French Minitel, while he used the Italian Videotel system. They never met in person. during the period beginning of the year 2000, so during the The Character of Rain, she also wrote the lyrics of several tracks of the a French artist. The book We understand that the novel is autobiographical and is the description a world as discovered and seen by a three-year old child born in Japan with the words of this age but with far matu...

« The Japanese believe that until the age of three, children, whether Japanese or not, are gods, each one an okosama, or "lord child." On their third birthday, they fall from grace and join the rest of the human race The tube like describes by the narrator is the discovery of water in oceans, seas, pools, puddles, streams, ponds, and, rain - one meaning of the Japanese character for her name and a symbol of her amphibious life.

The book is mainly bases on “naive” experiences of a child. First sentence: In the beginning was nothing, and this nothing had neither form nor substance – it was nothing other than what it was.

(looks like the Bible)! L'humour est très présent, souvent de manière subtile.

Cette autobiographie s'arrête à l'age de 3 ans juste après son " suicide " car l'auteur annonce qu'après " il ne s'est plus rien passé ".

Elle pense qu'après 3 ans on ne vit plus, on s'habitue.

Ce livre fait beaucoup de références à la mort.

On peut dire que l'auteur termine son livre à 3 ans car c'est vers cet âge qu'elle apprend qu'elle ne restera pas éternellement au Japon.

Ce livre met bien en valeur l'importance de son pays natal qu'elle aime beaucoup. It encompasses the themes of self-awareness , language acquisition , bilingualism , and developmental psychology .

Les Personnages "principaux" : Il y a Amélie, l'auteur de l'autobiographie que l'on appelle aussi Dieu ou Le tube.

Au début, elle raconte l'histoire avec un certain recul, c'est seulement après son "réveil" qu'elle prend la parole par elle même et le récit devient alors une vraie autobiographie, ce qui prend le lecteur dans un effet de surprise.

L'enfant, quand il parle dans le livre, a entre deux et trois ans.

La personne qu'elle préfère est sans doute sa nourrice, Nishio-San, qui la considère comme un Dieu, tel que le veut la culture japonaise.

Elle lui accorde tout son intérêt et fait d'elle le centre du monde, ce qui plaît à l'enfant qui se prend pour le maitre de l'univers.

Amélie a également des frères et soeurs, notamment Juliette, sa soeur, qu'elle apprécie beaucoup et qui a 5 ans.

Les parents d'Amélie sont assez présents dans le livre.

Elle ne les appelle pas leurs prénoms, elle utilise le terme « auteurs de mes jours ». On remarque aussi que le récit s'arrête lorsque l'enfant, dans les coutumes japonaises, n'est plus considéré comme un Dieu.

On peut en déduire que ce roman fait refléter le sentiment d'égocentrisme des enfants avant l'age de 3 ans qui se croient le centre du monde. est drôle (Comme lorsqu'elle s'imagine que " consul " veut dire égoutier (sewerman) et qu'elle laisse son père coincé dans une bouche d'égout car elle pense qu'il est au travail.

Ou bien, lorsqu'elle choisit quels seront ses trois premiers mots, or belgian references to Tintin or.

La façon dont elle parle des cârpes est un bon exemple de son humour acide, on ressent bien le dégoût envers ces poissons ; « Elles ressemblaient à des Castafiores muettes, obèses et vétues de fourreaux chatoyants.

De tous les poissons, le plus laid était la carpe.

Les Japonais avaient eu raison de choisir cette bête pour emblème des garçons or l'auteur, au début, prend une certaine distance pour expliquer l'état post-natal, et le récit ressemble plutôt à un documentaire, ce qui rend la lecture plus drôle.

1) Quel moyen permet à Amélie de sortir de son comportement de tube ? 2) Quelle conclusion fait elle lorsque personne ne vient la sauver de la noyade ? 3) Comment Nishio-san a-t-elle perdu toute sa famille ? 4) Pour quelle raison Amélie s’aperçoit-elle que toute chose a une fin ?. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles