kobe ou la fille
Publié le 07/11/2012
Extrait du document
«
The Japanese believe that until the age of three, children, whether Japanese or not, are gods, each one an okosama,
or "lord child."
On their third birthday, they fall from grace and join the rest of the human race
The tube like describes by the narrator is the discovery of water in oceans, seas, pools, puddles, streams, ponds,
and, rain - one meaning of the Japanese character for her name and a symbol of her amphibious life.
The book is
mainly bases on “naive” experiences of a child.
First sentence: In the beginning was nothing, and this nothing had neither form nor substance – it was nothing
other than what it was.
(looks like the Bible)!
L'humour est très présent, souvent de manière subtile.
Cette autobiographie s'arrête à l'age de 3 ans juste après son
" suicide " car l'auteur annonce qu'après " il ne s'est plus rien passé ".
Elle pense qu'après 3 ans on ne vit plus, on
s'habitue.
Ce livre fait beaucoup de références à la mort.
On peut dire que l'auteur termine son livre à 3 ans car
c'est vers cet âge qu'elle apprend qu'elle ne restera pas éternellement au Japon.
Ce livre met bien en valeur
l'importance de son pays natal qu'elle aime beaucoup.
It encompasses the themes of self-awareness , language acquisition , bilingualism , and developmental psychology .
Les Personnages "principaux" : Il y a Amélie, l'auteur de l'autobiographie que l'on appelle aussi Dieu ou Le tube.
Au début, elle raconte l'histoire avec un certain recul, c'est seulement après son "réveil" qu'elle prend la parole par
elle même et le récit devient alors une vraie autobiographie, ce qui prend le lecteur dans un effet de surprise.
L'enfant, quand il parle dans le livre, a entre deux et trois ans.
La personne qu'elle préfère est sans doute sa
nourrice, Nishio-San, qui la considère comme un Dieu, tel que le veut la culture japonaise.
Elle lui accorde tout
son intérêt et fait d'elle le centre du monde, ce qui plaît à l'enfant qui se prend pour le maitre de l'univers.
Amélie a
également des frères et soeurs, notamment Juliette, sa soeur, qu'elle apprécie beaucoup et qui a 5 ans.
Les parents
d'Amélie sont assez présents dans le livre.
Elle ne les appelle pas leurs prénoms, elle utilise le terme « auteurs de
mes jours ».
On remarque aussi que le récit s'arrête lorsque l'enfant, dans les coutumes japonaises, n'est plus considéré comme
un Dieu.
On peut en déduire que ce roman fait refléter le sentiment d'égocentrisme des enfants avant l'age de 3 ans
qui se croient le centre du monde.
est drôle (Comme lorsqu'elle s'imagine que " consul " veut dire égoutier (sewerman) et qu'elle laisse son père
coincé dans une bouche d'égout car elle pense qu'il est au travail.
Ou bien, lorsqu'elle choisit quels seront ses trois
premiers mots, or belgian references to Tintin or.
La façon dont elle parle des cârpes est un bon exemple de son
humour acide, on ressent bien le dégoût envers ces poissons ; « Elles ressemblaient à des Castafiores muettes,
obèses et vétues de fourreaux chatoyants.
De tous les poissons, le plus laid était la carpe.
Les Japonais avaient eu
raison de choisir cette bête pour emblème des garçons or l'auteur, au début, prend une certaine distance pour
expliquer l'état post-natal, et le récit ressemble plutôt à un documentaire, ce qui rend la lecture plus drôle.
1) Quel moyen permet à Amélie de sortir de son comportement de tube ?
2) Quelle conclusion fait elle lorsque personne ne vient la sauver de la noyade ?
3) Comment Nishio-san a-t-elle perdu toute sa famille ?
4) Pour quelle raison Amélie s’aperçoit-elle que toute chose a une fin ?.
»
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