Une lettre de Virieu à Lamartine.
Publié le 20/03/2011
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Matière. — Au lendemain de la publication des Premières Méditations (1820), Virieu écrit à son ami Lamartine pour lui faire part de l'enthousiasme suscité, surtout parmi les jeunes gens et les femmes, par la lecture des pièces qui formaient ce recueil. L'opinion a salué la naissance de la vraie poésie lyrique et reconnu qu'un grand poète venait de traduire en une langue immortelle les sentiments les plus élevés de l'âme humaine.
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