LETTRE XCVII - Lettres Persanes - Commentaire
Publié le 05/07/2012
Extrait du document
▪ L’auteur insiste ensuite sur lé vérité de ces lois. Contrairement aux lois divines qui peuvent être interprétées différemment selon la personne, ces vérités scientifiques sont valables en tout lieu et en toute fin. « des lois générales immuable, éternelles qui s’observent sans aucune exception «. Elles s’opposent aux lois floues et capricieuses des textes juridiques qui ne sont pas infaillibles. Montesquieu les qualifies de « vérités « à la ligne 42 et de « clef de la nature « à la ligne 39 ▪ L’écrivain des lumières évoque ensuite la simplicité des lois « elles n’éblouissent point par un faux respect ; leur simplicité les a longtemps fait méconnaître «. Néanmoins il explique que cette simplicité n’en font pas de fausses découvertes « on en a vu toute la fécondité et toute l’étendues «. Ces quelques que lois simples permet à l’humanité la maîtrise de l’eau, de l’air, et de la lumière.
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Néanmoins il explique que cette simplicité n'en font pas de fausses découvertes « on en a vu toute la fécondité et toute l'étendues ».
Ces quelques que lois simplespermet à l'humanité la maîtrise de l'eau, de l'air, et de la lumière.
▪ Dans l'avant dernier paragraphe, on observe une opposition entre les textes religieux et les textes scientifique.
Le style allégorique religieux s'oppose à la pauvretéapparente du style scientifique.
Montesquieu montre ainsi la clarté et la simplicité de la science.
Il suggère qu'il ne manque aux œuvres scientifiques que de larhétorique : « Peut-être que si, quelque homme divin avait orné les ouvrages de ces philosophes de paroles hautes et sublimes »
On assiste ici à un vibrant éloge de la science articulé au blâme de la religion.
Conclusion :
Ainsi, dans cette lettre destinée à un dervis fictif, Montesquieu critique la religion tout en se voilant derrière l'origine et le langage de son héros Uzbek.
L'auteur faitalors la satire de l'obscurantisme qu'il oppose à l'éloge de la science et de la philosophie.
On peut rapprocher cette lettre d'un autre texte du corpus : l'article Secte dudictionnaire philosophique de Voltaire.
Tout comme dans cette lettre, Voltaire y fait une satire encore plus virulente de la religion afin de l'opposer à la science..
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