maths
Publié le 04/12/2012
Extrait du document
Ainsi contrairement à la théorie stoïcienne, Rousseau écrit : « malheur à qui n'a plus rien à désirer «. Si l'on suit cette logique selon laquelle l'état de désirer nous rend finalement plus heureux qu'une vie sans désir, il est évident que le bonheur suppose une amplification de ses désirs plutôt que leur réduction. Plus que cela même, Rousseau semble dire que l'homme est fait pour désirer, et que par le désir, il a « reçu du ciel une force consolante « qui l'aide à vivre. Dieu au fond aurait créé l'homme, mais sachant qu'il désirerait toujours et qu'il ne pourrait tout obtenir, il lui aurait donné ce don de consolation. Ainsi c'est l'imagination de l'homme qui fait que « l'on est heureux qu'avant d'être heureux « parce qu'elle nous donne la possibilité de désirer, de ne pas être directement satisfait mais de jouir du fait de pouvoir nous représ...
«
plantes qui vivent et qui meurent sans rien vouloir ni désirer.
Mais on n’est pas des plantes, on est des
être humains qui désirent justement et qui cherchent, qui doivent subir la peine mais seulement parce
qu’ils ont ensuite la chance de sentir la joie.
C’est le désir qui donne alors la preuve de notre
conscience, c’est le désir qui nous sépare des autres être vivants, et c’est le désir qui nous rend
heureux.
Le désir n’est donc pas une faiblesse de l’homme mais il est l’indice même de son humanité
et de la possibilité qu’il a d’être heureux ..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Grand oral maths question : quelle est la probabilité d'avoir un enfant atteint de la trisomie 21 ?
- Grand oral maths : Quel est le rôle des probabilités conditionnelles dans l'étude de l'efficacité d'un vaccin
- SOMMAIRE MATHS CM2 Numération CM2 Lire et écrire les nombres entiers jusqu'à
- Maths suite
- SOMMAIRE MATHS CE2 Numération Dénombrer, faire des échanges Grouper par dix, passer à