Maurice de VLAMINCK : LA SEINE A CHATOU

Aussi révolutionnaires qu'ils soient, les fauves sont restés fidèles aux sites impressionnistes. «Je n'étais nullement tenté de changer de paysage «, expliquera Vlaminck.

« Bougival, Marly, Villennes, tous ces sites que je connaissais si bien, la Seine avec les trains de péniches, les remorqueurs avec leurs panaches de Fumée, les guinguettes, la couleur de l'atmosphère, le ciel avec ses gros nuages et ses éclaircies ensoleillées étaient ce que j'aimais à peindre«, écrit-il dans Por¬traits avant décès.