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Les misérables – Victor Hugo : Le jardin de la rue Plumet

Publié le 18/09/2011

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Roman, de Victor Hugo chef du romantisme, les misérables fut publié en 1862. Joyau du patrimoine littéraire national, il connut dès sa parution un énorme succès, qui ne s’est jamais démenti depuis, entretenu par le cinéma et même, récemment, par la comédie musical.

La rue Plumet est un lieu central du roman, notamment dans la quatrième partie intitulé « l’idylle rue plumet «. On trouve dans ce passage un jardin abandonné décrit par Jean Valjean d’une manière à ce que l’on découvre dans un premier temps la description d’un jardin abandonné puis le renouveau de la nature et enfin les idées de Jean Valjean.

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« la nature sauvage par oppositions à la nature civilisées – Jardin à la française - qui est développé à travers la description. Dans la même idée on retrouve une opposition constante entre la présentation chétive du lieu d’une part et de la richesse du même lieu d’autre part.

Ce pauvre « coin de terre » devient à la fin du texte une « broussaille colossale », ainsi on observe un retournement de situation illustrant.

Pareillement on retrouve aussi un retournement dans la question du manque de trace humaine dans la description, la désertassions de l’homme est contrebalancée finalement par l’expression « peuplé comme une ville » donnant l’impression que le jardin est finalement un endroit ou la vie humaine n’est pas rare. Pour finir sur l’hymne à la nature, on peu parler du procédé cumulatif qui est une des forces type de la description.

Il permet d’offrir dans le texte même une image d’un lieu à travers les multiplicités des éléments qui le compose.

Ainsi l’accumulation, comme figure de style, est omniprésente dans ce passage des Misérables ou Victor Hugo transcrit l’abondance et l’exubérance de la nature dans le jardin de la rue Plumet.

La juxtaposition des lignes 12 et 13 est un parfait exemple de l’accumulation : « Troncs, rameaux, feuilles, fibres, touffes, vrilles, sarments, épines, s’étaient mêlée, traversés, mariés, confondus.

», de plus le rythme scandé de la phrase donne aux lecteurs l’impression une image de foisonnement du lieu. Le procédé cumulatif est donc une image de fouillis : le regard ne sait pas ou se posés et le lecteur à l’impression de se retrouver dans un endroit complètement en désordres. De plus ces nombreux éléments du lieu signifient un retour à la vie de la nature et on peut remarquer cela grâce au nombreux parallélisme de l’extrait.

Les lignes 7/8 en sont une illustration parfaite car nous avons dans ces lignes le parallélisme entre « les arbres » et « les ronces » accentuée par un chiasme, qui donne l’impression qu’arbre et ronce ce confonde.

Parallélisme, oppositions et chiasme sont les principales figures de style qui traduise la richesse du lieu dans le texte même si le chiasme est celui qui exprime le mieux l’idée de fraternité humaine comme l’indique la fin du texte. 2. Le renouveau de la nature : une esthétique romantique.. »

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