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LE MODELE STANDARD DES ECHANGES

Publié le 11/05/2012

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echanges

Le modèle standard des échanges

 

 

Introduction : lors de l’introduction du chapitre, l’auteur se base sur la théorie de Ricardo et celle du modèle HOS. Cependant, il explique que les deux modèles ne prennent pas en compte les nouveaux déterminant des échanges. Il décide donc de les rassembler, tout en y ajoutant des éléments nouveaux ; il divise sa pensée en trois parties :

La première consiste à dire que qu’un pays a un nombre déterminé de capacité de production (production qui résulterait du plein-emploi des facteurs de production), c’est à dire de la production maximale qu’un pays pourrait avoir en optimisant ses facteurs capital et travail. Les limites de ces capacités justifient les échanges.

La deuxième est d’expliquer de la capacité de production d’un pays détermine l’offre du pays. Donc, les pays, selon leur offre déterminent l’offre mondiale.

La dernière admet que les échanges se basent sur l’offre et la demande mondiale.

Pour finir son introduction, l’auteur explique que les échanges sont bénéfiques pour le bien-être de chaque pays.

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« LE MODELE STANDARD DES ECHANGES Introduction : lors de l’introduction du chapitre, l’auteur se base sur la théorie de Ricardo et celle du modèle HOS.

Cependant, il explique que les deux modèles ne prennent pas en compte les nouveaux déterminant des échanges.

Il décide donc de les rassembler, tout en y ajoutant des éléments nouveaux ; il divise sa pensée en trois parties : La première consiste à dire que qu’un pays a un nombre déterminé de capacité de production (production qui résulterait du plein- emploi des facteurs de production), c’est à dire de la production maximale qu’un pays pourrait avoir en optimisant ses facteurs capital et travail .

Les limites de ces capacités justifient les échanges.

La deuxième est d’expliquer de la capacité de production d’un pays détermine l’offre du pays.

Donc, les pays, selon leur offre déterminent l’offre mondiale.

La dernière ad met que les échanges se basent sur l’offre et la demande mondiale.

Pour finir son introduction, l’auteur explique que les échanges sont bénéfiques pour le bien- être de chaque pays.

I.

le modèle standard d’économie ouverte Dans la partie suivante, il défini le modèle standard du commerce.

Ce modèle ce construit sur quatre bases : la première met en relation l’offre et la demande mondiale ; la deuxième utilise le lien entre la demande relative et les prix relatifs ; la troisième de base sur l’influence qu’on l es conditions économique de l’échange sur le bien- être des nations ; la dernière est celle qui parle de la confrontation de l‘offre et de la demande mondiale pour trouver un équilibre.

1.1 Frontière des possibilités de production, droite d’isovaleur et of fre relative Il nous montre ensuite, grâce à une courbe, la confrontation de la production de deux biens et les limites de leur capacité de production et donc le point d ‘équilibre entre la production des deux biens .

Il utilise la droite d’isovaleur, c’est une droite qui combien la quantité de production des deux biens.

Il y ajoute une troisième valeur, celle du prix et explique que si le prix relatif d’un bien augmente, cela entraine une augmentation de la production de ce bien au détriment de l’autre bien, qui verra sa production baisser.

Un nouvel équilibre est crée (base numéro 1 du modèle standard du commerce) .

1.2 Prix relatifs et demande relative Selon le modèle standard, la production d’un bien dans un pays devrait être égal à la consommation de ce bien ; prenons un bien A, selon le modèle suivant : Q A=D A alors : P AQA=P ADA.

L’auteur rajoute un élément dans son graphique pour expliquer la demande ; il l’ appelle les courbe s d’indifférenc e, c’est à dire, qu’importe la combinaison de production de A et B, tant que la quantité totale est la même ; le s consommateurs seront satisfait s.

Ces courbes s’appuient sur trois phénomènes : si les consommateurs voient leur offre de A baissé, il leur fau t plus de B ; les consommateurs préfèrent avoir la plus grosse quantité de A et de B ; si on leur offre un grand nombre de produits A, ils se focaliseront sur le produit B, et si on veut encore agrandir la différence, il faut offrir une grande quantité de A pour compenser la perte d’une petite quantité de B.

Sur le schéma, on peut donc voir la limite des possibilités de production, la droite d’isovaleur et les courbes d’indifférence.

Deux points sont présents, celui qui relie la. »

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