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Monlogue de Don Carlos

Publié le 18/06/2012

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I) Monologue d’un roi

 

Une vision du peuple en bas Dans le monologue Don Carlos utilise beaucoup de mots differents pour definir le peuple au vision d’un roi. Par exemple tout au debut entre les lignes 2-4 il dit« Un grand bruit ; pleurs et cris, parfois un rire amer. Plainte qui, réveillant la terre qui s’effare, a travers tant d’échos, nous arrive fanfare ! « pour le peuple.  Il parle comme cela du fait qu’il le voit vraiment en. Ensuite au milieu, a la ligne 14 pour pointer le peuple il dit « regardez en bas ! «. Cela est toujours un exemple pour montrer que Donc Carlos voit le peuple vraiment inferieur que lui. Juste Apres a la 16eme ligne il  fait une expression sur le peuple : « Ou l’on ne jette rien sans que tout ne remue « c’est-à-dire que le roi ne prete pas d’attention au peuple sans aucune remue. La violence

Dans son monologue Don Carlos utilise souvent des points d’exclamations. Cela nous montre que il pense vraiment ce qu’il dit. Il est embarqué dans son discours. Par exemple au debeut entre la ligne 1 et 6 il utilise tout le temps des points d’exclamations sauf 1 (3eme). II) Le peuple L’importance du peuple Dans le monologue on voit clairement que dans un empire le peuple jouent un role tres importantes, qu’il est la base. Par exemple il dit que le peuple est la base de pyramide de societe, meme si en haut il y a des nobles et des riches. Ensuite il a la ligne 11 il dit qu’il font tous changer (la ligne11) et fait un metaphore du peuple en utilisant le mot escabeaux a la ligne 12 :« comme des escabeaux font chancheler les trones «.  Ici il dit que le peuple est l’escabeaux de trone. Si l’escabeaux se casse le trone se casse aussi car ils sont relies. La puissance et le danger Dans le monologue, Don Carlos nous montre plusieurs fois que le peuple est vraiment dangeroux et puissante par rapport le roi et qu’il peut tout changer. Par exemple au debut il compare le peuple avec les cites, les tours et un vaste essaim. Ces choses nous montre que ce peuple la est nombreux et donc puissante. Ensuite il compare le peuple avec des flots vivants qui symbolise qu’ils sont forts. A la ligne 10 il dit « la balancent, bralante, a leur vaste roulis « pour dire que le peuple peut meme balancer le haut. Apres a la ligne 17 il y a l’expression de « vague qui broie on trone et qui berce un tombeau. « ici le vague et le peuple et ce vague est assez forts pour detruir un trone et bercer un tombeau. Don Carlos dit ces trucs la parce que ces sont déjà passe au passe ou on comprends a la ligne 19-20 : «  Ah ! si l’on regardait parfois dans ce flot sombre, on y verrait au fond des empires sans nombre, grands vaisseaux naufragés …«  C’est-à-dire que au passé le peuple a déjà gagne contre le roi.

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