La nage papillon

« La vitesse linéaire maximale des mains durant la,,,,_• ,,.,mée la plus intense est de 2 à 2,50 rnfs.

Cette étape est marquée par la phase d'inspiration et par une utilisation de toute l'amplitude de la fin du mouvement les poignets sont bloqués, les coudes ne sont pas trop éloignés du corps, et les paumes sont orientées vers le bas pour supporter la levée de la tête et des épaules.

CINQUlblE hAPE : S0111E DES llAS, PUIS DES llAlllS Cette dernière étape caractérise la fin de la phase aquatique et le début de la phase de retour aérien .

Les épaules sont au-dessus de la surface, et elles entrainent les bras dans leur retour, en un mouvement circulaire .

les avant-bras et les mains sont décontractés (miao­ relachement).

L'inspiration doit déjà être effectuée au moins à moitié, et la tête se rentre dès la fin de l'inspiration.

La vitesse linéaire relative des mains lors du retour est de 0,20 à 0,80 rnfs.

les mains entrent dans l'eau juste au moment du second fouetté de jambes (deux ondulations par cycle complet de bras) .

UNE SYNCll-ISllllOll Nklswll le mouvement d'ondulation des jambes couplées Oes deux jambes doivent fonctionner simultanément) implique la quas~totalité du corps et nécessite une synchronisation parfaite entre les bras, les jambes et la respiration .

CHAMPIONNATS DU MONDE Dames ÎKHIQUE le mouvement d'ondulation, qui imite la nage du dauphin, est composé d'une phase ascendante et d'une phase descendante.

!.'.ondulation se répercute dans tout le corps.

Chaque segment du corps, des épaules aux chevilles, participe au mouvement et s'inscrit dans la même sinusoïde.

les jambes sont relativement tendues (sans être bloquées), souples pour la transmission et l'amplification du mouvement du dos jusqu'aux pieds, et fléchissent ensuite légèrement lors de la descente.

les pieds sont tournés vers l'intérieur, en extension.

le nageur utilise alternativement le cou-de-pied et la plante du pied comme surface d'appui lors du fouetté (en phase descendante).

Il est important de ne pas trop sortir les pieds de l'eau et de ne pas bouger la tête de haut en bas.

Ellc:llAlllUIENT Deux ondulations se suo:èdent pendant u n cycle de bras.

Elles ont des rôles différents .

La première , qui s'effectue lors de l'entrée des mains dans l'eau en début de mouvement (début de la phase aquatique), a essentiellement un rôle de propulsion .

La seconde, qui a lieu lors de la llflflSSft lies tw.s, a davantage pour fonction d'aider la tête et les épaules à sortir de l'eau pour la respiration .

llDDMrET ll WIUGE MPlllON le départ des courses de nage libre telles que la brasse et le papillon s'effectue par un plongeon.

Au long coup de sifflet du juge-arbitre, les Messlews Fukuoka 2001 I nge de Bruijn (P-8) Geoff Huegill (Aus) 1 Barcelone 2003 Inge de Bruijn (P-B) Matthew Welsh (Aus) 1 Montréal 2005 Danni Miatke (Aus) Roland Schoeman (AIS) (L'épreuve n'apparait qu'en 200 1 aux championnats du monde .) Belgrade 1973 Kornelia Ender (RDA) Bruce Robertson (ùn) (ali 1975 Kornelia Ender (RDA) Greg Jagenburg (t-U) Berli n 1978 Joan Pennington (É-U) Joe Bottom (É-U) Guayaquil 1982 Mary T.

Meagher (É-U) Matt Gribble (É-U) 1 Madrid 1986 Kornelia Gressier (RDA) Pablo Morales (É-U) 1 Perth 1991 Hong Qian (Chn) Anthony Nesty (Sur) Rome 1994 Liu limin (Chn) Rata i Szukala (PoQ Perth 1998 Jenny Thompson (É-U) Michael Klim (Aus) Fukuoka 2001 Petria Thomas (Aus) Lars Frolander (Suè) Barcelone 2003 Jenny Thompson (É-U) Jan Cracker (É-U) Montréa l 2005 Jessica Schipper (Aus) Jan Cracker (É-lJ) Belgrade 1973 Rosemarie Kother (RDA) Robin Bad. »