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Peut-on concevoir une pensée exempte de tout préjugés?

Publié le 22/02/2012

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La philosophie des Lumières invite à se départir des préjugés, penser par soi même. Sapere Aude résume le mieux devise des Lum de Kant: cad ait le courage de te servir de ton entendement. En ce sens exigence de penser par soi même . Définition des Lum selon Kant: Qu'Est-ce que les Lumières ? La sortie de l'homme de sa minorité cad l'incapacité de servir de son entendement sans la direction d'autrui. Est-ce que une telle liberté de pensée est réellement concevable ou non? Peut-on: forme de possibilité particulière qui est la possibilité logique et pour déterminer ce qui est logique ou non il faut examiner si cela porte une contradiction interne. Concevoir: s'en faire une représentation non pas sous forme imagée mais sous forme conceptuelle . Le problème ici porte sur la nature de la pensée. Une pensée sans préjugées Est-ce possible ou non? Est-ce qu'elle peut se constituer indépendamment du préjugés? Donc préjugé et penser doit être défini.

« préjugé .

Avec Kandt on a bien d'un côté la sience de l'autre coté la superstition mais la question c'est de savoir siles exigences qui valent pour la sC peuvent également valoir dans d'autre domaine com pol et religion.

« On nommeles Lum la libération de la superstition en effet bien que cette dénomination convienne aussi à la libération despréjugés en générale la superstition doit être appelé de préférence un préjugé, puisque l'aveuglement en lequel elleplonge l'esprit, est bien plus qu'elle exige comme une obligation , montre d'une manière remarquable le besoin d'êtreguidé par d'autre et par conséquent l'état d'une raison passive » paragraphe 40 suite.

Ce qui def le préjugé c'estdonc cet état d'une raison passive qui consiste donc de penser ce que l'on pense simplement parce que telle outelle source d'autorités posent qu'il doit en être ainsi.

L'aveuglement dont parle Kandt est constitutif du préjugé lui-même , il peut y avoir préjugé que la où l'on refuse d'examiner les pensées que l'on pense dans la mesure ou lessources l'on dit.

Etant entendu que cette source est une source extérieure qui réside dans telle ou telle autoritéparticulière.

Donc Kandt présente ce mouvement des Lum comme étant la sortie hors de cette raison passive. 2 Raison passive et raison activeCe qui définit la raison active c'est le fait de se remettre à une autre autorité que celle de la maison , donc leproblème qui se pose est de savoir est- ce que dans des domaines qui ne sont pas ceux des sciences ,cad moralepolitique et la religion est-ce que la raison peut-être active entendu au sens qu'ele est active lorsqu'elle construitles lois de la nature.

La difficulté c'est de savoir si il suffit que la raison soit transparente à elle-même pour que l'onsorte du préjugé et qu'on parvienne à concevoir pensée à proprement parler.

Cad d'un point de vue subjectif , il estfacil défaire le partage entre pensée et préjugés.

Dans préjugé on pense ce que' lon pense par réf à source ouautorité externe , or dans lapensée on pense ce que l'on pense parce que il y a sorte de transparence et on trouvece qui constiitue bien fondé à nos yeux.

On peut penser par soit même des choses très diff les unes des autre onpeut se demander si en rélaité cela ne revient pas à substituer un préjugé à un autre préjugé.

Cad suffit il qu'nepensée soit transparente à elle-même pour qu'elle mérite le titre de pensée .Ce qui fait pb c'est donc la question dedimension de l'universalité.

Qu'est que c'est qu'à proprement parler de penser?Comment une pensée subjective peut devenir de l'ordre de l'universalité.

Sommes nous condamnés à substituer despréjugés à d'autre préjugés? Hannah Arendt :Le point de départ c'est le travail qu'elle à fait pour un journalaméricain en 1961 lors du procès de Eichman.

Dans ce procès il y a qlch qui la surprend c'est le contraste entre lamonstrueusité des crimes commis et la banalité de Eischman.Ce qui la surprend c'est l'écart entre le caractère tout à faire ordinaire de ce fonctionnaire qu'était Eischman etl'ampleur de ses crimes.

Pour qualifier cette surprise elle dit: « banalité du mal » qui ne veut pas dire que n'importequi pourrait faire la même chose mais ca veut dire que le mal est notamment dans les sociétés modernes peut êtrecommis dans des conditions ordinaires.

Or quelles sont -elles? Elles renvoient à thèse: ce qui a rendu possible lescrimes de Eischman c'est une absence de pensée.

Ce qui attire son attention lors du procès , c'est le fait queEischman est incapable de penser autrement que par des clichés; cad unepensée convenue qui finalement luitotalement extérieure et dc ce qu'elle comprend c'est que cete pensée formée de clichés c'ets ce qui lui a permis decomettre le mal sans ce que cela l'emmène à se poser la question dece que il était en train de faire.

Donc il estincapble de penser par lui-même .

Absence d'une pensée c'est l'absence d'une pensée active.

Les seuls critères quiapparaissaient ses yeux c'était le fait de vouloir faire carrière.

Il était incpable de développer pensée active , ce quiexplique son obéisancee zêlée à autorité nazi.

Penser par soit même c'est juger , et c'est le seul moyen qui permetde sortir d'une obéissance d'une autorité extérieure. 3 Juger.

Est-ce qu'on peut articuler jugement?Cette forme de jugement c'est que Hannah va chercher chez Kandt.

En effet dans cete critique est conçue unjugement entièrement subjectif et en même temps une certaine forme d'universalité: c'est le jugement esthétique.Dans ce livre KANDT cherche ce qui est en jeu de ce jugement particulier.

Il prend l'exemple : »cette rose est belle».

Qu'Est-ce qui est en jeu dans ce jugement?* Lorsque je dis d'une chose qu'elle est belle je ne dis pas que cette chose m'est agréable.

Si agréable c'est lamanière que cette chose m'affecte et donc on est bien ici dans qlch de subjectif mais il n' y a pas du tout dedimension d'universalité.

Ici on est enfermé dans le subjectif et donc on peut très bien comprendre que l'agrémentest dont par def relatif.

Mais lorsque je dis qlch qu'elle est belle , j'ai en tête que non seulement cette chose meplait mais qu'en plus chacun devrait pouvoir en droit sinone n fait trouver belle cette rose que je trouve belle.

Doncjugement esthétique il ya*dimension d'universalité : jugement qui à une prétention à l'universalité même si d'une autre côté on est dans uneforme de jugement dans laquelle il ne peut pas y avoir de preuves ni démonstrations.

Pour préciser cela il faitdistinction d'un coté les jugements déterminant : on peut s'appuyer su preuves ou démo et d'un autre cotéjugements esthétiques qui sont présentées comme étant de jugements réfléchissants cad de jugements qui sont àla fois soutenus en 1ere personne et qui 2e sont de jugements qui ont une prétention à l'universlaité et qui 3e sontdes jugements qui n peuvent s'appuyer ni sur des preuves ni sur des démos donc ce qui caratérise ce jugementc'est beau c'est que même si qlqun le coneteste cela ne m'empêchera pas de lui donner une dimension universelle .Derrière ce jugement esthétique appraît une dimension qui est propre à tout jugement et qui est précisément ce quimanquait à Eischman cad la possibilité de penser subjectivement qlch d'assumer subjectivement cette penser touten prenant en compte dimension d'universlaité ac en cherchant à se placer également à la place de l'autre.

Or c'estcde cete fçon que Kant def cette pensée(paragraphe 40) lorsqu il explique que ce qui caractérise la pensée activec'est le fait de penser en 1ère personne et en sem metant à la place de tout autre.

Ce qui est en jeu c'est ladimenson de l'intersubjectivité .

Il est tout à fait concevable d'vaoir pensée qui ne soit pas connaissance cad qui nerelève pas d'un principe déterminant qui soit donc une pensée réfléchissnate et qui présnet à la fois se doublecaractère d'être subjective et de se donne à travers une dimension qui soit une dimension d'universalité.Ce quiparaissait inconcevable cad la poss de sortir du préjugé et ce parce que on avit osi une dimension subejctive soitune dimension universele prait ici au ocntraire concevable mais. »

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