Peut-on concilier croissance économique et développement durable ?

« que ces coûts fassent parti du calcul économique des agents.

Suite à ce rapport, l'ONU met en place des agenda 21 qui sont des programmes d'actions en faveur du développement durable au niveau national et local.

En 1992 a eu lui une conférence à Rio afin de mettre au point par exemple le protocole de Kyoto.

Ce protocole mis en œuvre officiellement en décembre 1997 était une réunion des délégués des 160 pays qui avait pour but de faire des négociations afin de régler le problème du réchauffement climatique.

Ces négociations ont débouchés sur un traité obligeant les États à réduire les émissions de 6 gaz à effet de serre (GES) (ex: CO2: dioxyde de carbone, CH4: méthane,...) (Document 4) Cependant les États-Unis n'ont pas ratifié ce traité.

En 2005, une autre conférence eu lieu à Copenhague sur le climat afin de renouveler, renégocier un accord international sur le climat remplaçant le protocole de Kyoto.

Ces nouvelles négociations viseraient à réduire de 50% les émissions de gaz à effet de serre en 2050 par rapport à 1990 pour éviter une augmentation de température qui ne dépasse les 2°C en 2100.

Du point de vue financement, l'Union Européenne proposait 7,2 milliard d'euro de 2010 à 2012 pour aider les pays en développement à réduire ses émissions de GES.

Afin de pousser les pays à réduire ces émissions, Nicolas Sarkozy et Jean-louis Borloo avaient voulu créé une taxe carbone à partir de 2010 dans leur grenelle de l'environnement qui a été mis en place en 2007.

(Document 4) Puis les entreprises elles aussi voulant contribuer à ce protocole, décidèrent d'utiliser des produits naturels et faire également des produits renouvelables.

(Documents 2 et 6) Le protocole a également aussi mis en place un marché sur lequel les entreprises peuvent vendre ou acheter des droits de polluer.

Cependant nous allons voir que malgré tout ces efforts, le bilan s'avère négatif et montre une non-durabilité.

Afin d'étudier l'évolution de la mise en œuvre de ces programmes, une autre conférence eu lieu à Johannesburg en 2002.

La mise en pratique de de la conférence de Rio n'a pas donné les effets attendu.

C'est pourquoi la conférence à Johannesburg a pour but de renouveler une Déclaration Politique et un Plan de mise en œuvre du développement durable qui rebondit donc sur le travail déjà effectué à Rio.

Cependant, un gros problème intervient dès le début du XXIème siècle.

Ces problèmes sont environnementaux comme les pénuries d'eau (surtout pour l'Afrique et le Moyen-Orient), la crise pétrolière ...

Des études ont donc été faite et les scientifiques ont relié ces problèmes au mode de croissance.

De plus, les inégalités sont toujours aussi importantes notamment dans les pays pauvres. (Document 5) Et des problèmes de ressources financières ne cessent de s'accroître.

Notamment à cause de la crise financière de 2008 qui a touché de nombreux pays et qui donc avaient une autre priorité que de financier un projet sur le développement durable.

C'est pourquoi les modes de consommation et de production semblent donc inchangés et le changement climatique ne cesse d'augmenter.

Les températures augmentent à cause des émissions de CO2 de l'Homme, ce qui provoquent les fontes des glaciers et des banquises et donc provoquent des niveau d'eau des mers et océans qui ont pour conséquences de nombreuses inondations.

Mais elles ont aussi pour conséquences des sécheresses accrues qui fait augmenter les phénomènes extrêmes comme les cyclones, les tempêtes.

La seule chose qui ait véritablement été faite mais de façon inégale, c'est le fait d'utiliser les produits. »